Chapitre I : Naissances
Joey activa la Ink Machine. Moi, Henry, je doutais un peu de cette machine. Créer des êtres vivants pouvait être dangereux...mais bon, il venait de le faire ! Alice Angel, puis Boris, puis Bendy apparurent. Ils étaient très étonnés. Bendy n'osait pas avancer contrairement à Boris et Alice. Boris dévora le bol de bacon soup qui était que mon bureau pendant qu' Alice discutait avec Joey pour savoir ce qu'ils faisaient là. Bendy se cachait derrière mon bureau.
- Bonjour Bendy, lui dit je calmement. Je m'appelle Henry. N'ai pas peur, je suis celui qui t'a créé.
Il sortit de sa cachette et s'approcha doucement de moi.
- Bon...Bonjour...me répondit il enfin. Je...je suis Bendy.
- Tu veut faire quoi, maintenant, Bendy ?
- Je peut dessiner ? Demanda-t-il. Je l'ai jamais fait avant.
- Si tu veut, installe toi là, dit je en désignant mon bureau.
J'alla vers Joey, il fallait que je lui parle.
- Joey ?
- Oui ? Quoi ? Me Demanda-t-il.
- Que va t'ont faire maintenant ?
- Ils vont devenir célèbres ! On va les montrer au public ! Répondit Joey heureux. Et nous deviendront riche ! Très riche !!!
- Oui mais...
- Mais ?! Répéta-t-il.
- Ils ne sont pas prêts pour l'instant.
- Ce n'est qu'une question de temps !
Je retourna voir Bendy, il avait fait un très joli dessin. Mais Alice renversa accidentellement un pot d'encre dessus.
- Je suis désolé Bendy ! S'exclame-t-elle. Je ne l'ai pas fait exprès.
- Mon dessin...il est fichu ! Répondit Bendy en commençant à pleurer.
De l'encre commença à couler le long de son visage. Joey le dévisagea avec horreur, son plan "parfait" venait d'être louper. Bendy avait un défaut ! Il ne pourrait pas le présenter au public si il avait un tel défaut ! J'essaya alors de calmer Bendy.
Au bout de quelques minutes, il se calma enfin et l'encre disparut. Joey était très énervé, tout était gâcher pour lui.
- Il a un défaut ! Cria Joey en pointant Bendy du doigt. À cause de lui, adieu les millions !!!
- Calme toi ! Lui répondit je. Il n'y peut rien ! De tout façon, ce n'était pas une bonne idée, ils ne sont pas prêts.
- Ils sont à moi, c'est moi le patron, donc c'est moi qui dit ce qu'y est bien !!! Me rappela-t-il sèchement.
- Si tu me prend comme ça, je démissionne, répondit je en colère.
Je rassembla mes affaires, vida mon bureau et dit au revoir à Bendy, Alice et Boris.
- Au revoir, dit je tristement.
- Au revoir ! Tu reviendra nous voir, hein ? Demanda Bendy inquiet.
- Oui, je reviendrais, lui assurais je.
Et je parti.
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