9.
Harry.
Apprendre que mon meilleur ami était malade, ça a été dur. Vraiment. Je pensais que tout allait bien pour tout le monde, je me bercé un peu d'illusion. Et ça m'a fait un choc. Jamais j'aurais pensé que Zayn tomberait malade aussi jeune. Louis est optimiste. Et ça me rassure un peu, parce que Louis est toujours le premier à paniqué quand il arrive quelques choses, alors qu'il soit serein, ça m'apaise un peu.
Toute cette histoire, ça m'a donné envie de lui prouver que je l'aime, que je suis là pour lui, que rien n'a changé. A vrai dire, je le materne un peu, mais je veux juste qu'il se sente aimé, bien et tranquille. Je lui fais toujours du thé, je fais ce qu'il aime à manger, je lui offre des fleurs presque chaque soir, je lui dis que je l'aime. J'ai envie qu'il se sente bien, et je fais tout pour ça. Il ne comprend pas trop, je crois. Je n'ai jamais vraiment été comme ça, aussi protecteur et attentionné. Je l'étais, mais beaucoup moins. Louis a toujours été le plus attentionné de nous deux.
Ça fait deux semaines qu'on a appris pour Zayn, on est vendredi, il est 14h, et on est seul dans notre maison. Les enfants ne rentrent pas avant 17h30-18, donc on est seul jusque-là. Louis travaille encore, dans son bureau. Je prépare deux tasses de thés, et rejoins Louis dans son bureau. Il me sourit et prends sa tasse qu'il sirote doucement en lisant des papiers. Puis il reprend ses croquis et moi je reste là à l'admirer dans son travail. Regarder Louis travailler c'est juste étonnant. Il est concentré, il a les sourcils froncés la plus part du temps, il n'arrête jamais, il gomme, il recommence, il améliore, peaufine. Il aime ce qu'il fait, et c'est juste beau et intéressant à voir. Il relève les yeux vers moi, une petite demi-heure plus tard, et m'interroge du regard :
- Rien, je te regarde c'est tout, dis-je en lui souriant
- C'est ça ouais. Je te connais Haz, qu'est ce qu'il y a ?
Je lui souris encore, et pose ma tasse de thé sur le meuble auquel j'étais appuyé. Je m'avance vers Louis, toujours avec un sourire énigmatique. Je me place devant lui, et attrape son menton pour qu'il se lève de sa chaise. Et je plaque enfin mes lèvres sur les siennes.
Lemon.
Mes mains passent derrière son dos, et je le rapproche de moi en appuyant sur ses fesses. Il pouffe légèrement dans le baiser, et je lui mords la lèvre inférieure pour qu'il arrête. On se sépare un peu, et j'en profite pour déboutonner sa chemise. « Haz, t'en a pas eu assez ce matin ? » me demande-t-il avec un sourire en coin. « J'en aurais jamais assez de toi, Lou » dis-je en enlevant complétement sa chemise. Sa tête plonge dans mon cou, et je lâche un gémissement en le sentant mordiller le lobe de mon oreille. Ses mains débouclent rapidement ma ceinture et le fait glisser jusqu'à mes chevilles. Il bloque mes mains avant que je ne puisse défaire son pantalon. Il me sourit et m'embrasse avant de me retourner face au bureau et de me pencher dessus. Je gémis en sentant le bois frais sur ma peau. Louis appuie sur torse contre mon dos, et embrasse la base de ma nuque avant de descendre jusqu'à mon bas dos. Mordant et embrassant chaque parcelle de mon corps. Ses mains descendent mon boxer et ses baisers descendent aussi. Il embrasse chacune de mes deux fesses avant de revenir à mon oreille. « Vous êtes beaucoup trop gourmand en ce moment, Monsieur Styles » murmure t'il a mon oreille avant de commencer de léger va et vient sur mon érection. Je m'agrippe au pan du bureau et me mord les lèvres pour ne pas gémir encore plus. Sauf que plus rien ne me retiens lorsque je sens la bouche de Louis s'aventurer sur mes fesses, et à l'intérieur d'elles. Et non, il n'a pas le droit. Pas ça, pas maintenant, pas comme ça. « Lou, non » essaye ai-je, « Non, Harry. Tu as voulu tout ça, alors tu prends tout ce que je te donne ». Je gémis à ses mots, et il continue à me faire languir. On n'a pas l'habitude de faire ça, d'être cru dans nos paroles, et de vraiment parler. Mais c'est... Intéressant comme ça. Par contre, rien ne devient vulgaire, violent. C'est tout langoureux, amoureux et tendre. J'entends Louis ouvrir son jean, et il arrête ses mouvements pour l'enlever complétement. Il reviens s'appuyer sur moi, collant son érection contre mes fesses. Il m'embrasse tendrement et entre en moi délicatement. Il bouge lentement, mais sachant très bien ce qu'il fait, et ce qu'il faut pour me rendre fou. Son torse ne se décolle pas de mon dos et nos corps se recouvre doucement d'une fine pellicule de sueur. Louis taquine ma nuque avec de légère morsure et je ne suis plus qu'un pantin fait de gémissement et de plaisir. Louis me retourne délicatement, pour que je lui fasse face, et je le laisse faire. Ses lèvres s'accrochent au mienne, et mes bras passe derrière sa nuque, pour que je me redresse un peu. « Emmène-moi dans notre lit » demande ai-je entre deux gémissements et coup de rein. Il m'embrasse et entoure mon corps de ses bras, pour me lever du bureau. Bien que Louis soit le plus petit de nous, il a de la force et il arrive à me porter, mes jambes enroulé autour de sa taille. Il nous guide, je ne sais foutrement pas comment, dans notre chambre. Il place une main tendre dans mon dos, et je me sens basculer sur le dos. Ses lèvres retrouvent les miennes, et dans un dernier geste d'amour, on atteint l'orgasme au même moment. Louis s'effondre sur moi, son visage se cachant dans mon cou, alors qu'il rit légèrement. J'entoure son corps de mes bras et le sert contre moi amoureusement. Louis se retire de moi, mais reste couché sur mon torse, et après quelques minutes, je le sens respirer calmement, régulièrement, et ronflé légérement, signe qu'il s'est endormi. Je souris et le pousse un peu sur le côté, gentiment, avant de le serrait sur mon côté droit.
Lemon.
Louis se réveille, pas longtemps après s'être endormi. Une vingtaine de minutes plus tard. Il me regarde en souriant timidement.
- Ne me dis pas que je me suis endormi ? me demande-t-il
- Si, comme un gros bébé.
- Arf, c'est de ta faute ça.
- Quoi ? Comment ?
- Tu veux l'amour toute les minutes de ta vie depuis 2 semaines. Tu m'épuises.
- Très bien, je ne ferais plus rien.
- Ce n'est pas ça, Haz. Mais je vois bien qu'il y a un truc qui va pas, juste dis le moi.
- Je vais bien Louis.
- Promis ?
- Oui, promis. Tu veux manger quelques choses ?
- Hm, j'ai un peu faim oui. Il est quelle heure ?
- 17heure, les enfants ne vont pas tarder. Je vais faire un brownie pour le goûter.
- Merci, Haz. Mais à 17heure, ce n'est pas un goûter.
- Ah ouais, hm et bien, je vais te faire quelques toast apéritifs, ouais ?
- Ça m'ira bien, merci. On sort ce soir ? On pourrait aller manger quelques parts et aller au cinéma, avec les enfants ?
- Bien sûr, tout ce que tu veux.
- Je t'aime, me dit-il en m'embrassant rapidement
- Moi aussi, Lou. Moi aussi.
On est sorti en famille, au restaurant puis au cinéma, voir un film que les jumelles voulaient absolument voir. Louis a bougonné quand les enfants ont choisis, mais en réalité, il voulait le voir aussi. On a passé une bonne soirée, et j'ai réalisé que j'étais chanceux, d'avoir une famille comme la mienne. D'avoir un mari splendide, drôle, attentionné même après des années, intelligent, et juste formidable. Et d'avoir des enfants magnifiques, gentils, intelligents et adorable. Ouais, je crois que je suis le plus chanceux des hommes.
Quand on est rentré du cinéma, il était près de minuit, mais c'est le weekend, donc ce n'est pas très grave. Toute façon, demain on ne verra même pas Joanne qui sera déjà chez Maël quand on sera levé, Emma va dormir jusqu'à midi, voire plus, et Teddy sera surement calmement en train de lire un grand livre. En parlant de ça, c'est demain après-midi qu'on va faire le test de QI de Teddy. Je crois qu'il a peur de nous décevoir, mais ça ne sera jamais le cas. Je passe rapidement à la salle de bain, avec Louis. On se brosse les dents, et il essaye de me chatouiller pour me faire cracher mon dentifrice. Je crois que c'est la base de notre relation, ne pas avoir perdu notre âme d'enfant, tout en étant adulte. On sait quand on doit être l'un et l'autre, et j'aime ça chez nous. Je suis le premier à rentrer dans notre grand lit, rapidement suivi de Louis. Il se cale sur mon torse qu'il embrasse tendrement avant de lever la tête vers moi :
- Parle-moi, Haz.
- Je t'ai dit que j'allais bien, arrête avec ça.
- Je ne me plains pas de toi étant un mari attentionné, qui me montre qu'il m'aime tous les jours, et qui m'offre tout ce dont j'ai envie et besoin. Mais ça ne te ressemble pas. Si c'est par rapport à Zayn, et que tu as peur de...
- Bien sûr que j'ai peur Louis ! J'ai peur qu'un jour ça t'arrive, ou que ça m'arrive ! le coupe ai-je en criant un peu. J'ai le droit d'avoir peur ! Je m'en voudrais toute ma vie Louis, s'il t'arrive quelques choses, et que je ne t'ai pas assez prouvé que je t'aime, et que je sois là quoi qu'il arrive. Et ne me dis pas que ça nous arrivera pas, parce que je suis sûr que tout le monde dis ça et regarde Zayn ! Je veux pas qu'il ne parte, Louis, je ne veux pas, murmure ai-je sur la fin.
- Harry, Haz, mon cœur, Zayn ira bien, je te le promets, et j'irais bien aussi. Je sais que t'as mal, mais Zayn ne va pas quitter ce monde. Tu rigole ou quoi ? Avant qu'il est pu effrayer deux-trois copains de Victoire et Elena ? Jamais. Et moi je serais là aussi, toujours. Et crois-moi, je sais que tu m'aimes.
- Je suis désolé, j'ai tendance à m'emporter rapidement quand il s'agit des gens que j'aime.
- Je sais. Je sais ce que tu as vécu, Haz, et je sais que c'est dur pour toi. Viens ici, sert moi dans tes bras, et dors mon ange, je suis là.
- Je sais, je le sais. Je vais avec Zayn demain matin à l'hôpital pour sa chimio, dis-je rapidement
- Calme-toi. Je sais que tu n'aimes pas les hôpitaux, mais sois fort pour Zayn. D'accord ?
- Oui, bébé. Je ne te le dis pas assez mais merci.
- Je suis là pour ça, Haz. Je t'aime.
- Je t'aime aussi.
Je me recouche, Louis retrouvant sa place initiale, et je m'endors finalement. Je me réveille tôt, le lendemain matin, et j'embrasse rapidement Louis avant de quitter la maison. Joanne est déjà réveiller, bien sûr, et elle vient avec moi pour que je la dépose chez Zayn et Liam en prenant Zayn. On arrive chez eux, et Zayn sort de sa maison, laissant la porte ouverte pour accueillir Joanne. Zayn a maigri, beaucoup. Liam a dû lui tondre les cheveux, et Zayn déteste ça, porter quelque chose sur la tête, mais il n'aurait pas supporté de voir ses cheveux tomber. Il doit faire 2 séances de chimio par semaine pendant 2 mois avant de voir s'il a besoin d'une opération ou si la chimio suffira. Et si la chimio suffit, il lui restera 2mois à faire. Son médecin est vraiment confiant pour lui. On arrive à l'hôpital, et Zayn ne parle pas vraiment. La chimio, ça le fait vraiment souffrir, physiquement et moralement. C'est toujours Liam qui l'emmène, mais je me suis dévoué, parce que je sais que Zayn a aussi besoin de moi. On l'installe dans son fauteuil, et une infermière lance le programme avant de sortir. On est seul dans une pièce, Zayn l'a en quelques sortes exigées. Il n'aime pas qu'on le voit comme ça.
- Alors hm qu'est-ce que tu fais généralement avec Liam ?
- J'écoute de la musique alors qu'il me caresse le bras en lisant un magazine. Ou alors il me lis quelques choses, ça voix m'apaise. Mais s'il te plait, chante. Ça me manque de plus t'entendre chanter, Haz.
- Tout ce que tu veux.
Je fredonne quelques chansons pour Zayn, les miennes, des chansons connus, je chante pour lui. Il ferme les yeux, et je crois que m'entendre chanter ça l'apaise. Je chante doucement pour lui pendant les 2heures de son traitement. Une fois fait, on rejoint l'accueil, pour que Zayn retrouve Liam qui l'attend. Zayn lui a dit que ce n'était pas la peine de venir mais Liam est Liam donc il n'en a fait qu'à sa tête. Il reparte tous les deux, après qu'on est discuté rapidement, puisque Zayn est fatigué, ce que je comprends. En route pour la maison, je m'arrête dans un fast food pour toute la famille, avant de retrouver ma famille.
C'est la deuxième fois aujourd'hui que je me retrouve à l'hôpital. Mais pour une raison plus joyeuse. Pour le test de QI de Teddy. J'ai hâte de savoir, parce que je sais déjà qu'il est hyper intelligent. La dame qui s'en occupe nous appelle et Teddy doit y aller seul. On lui sourit et il rentre dans la pièce, nerveux. Il en ressort, une trentaine de minute plus tard, et nous rejoins pour attendre les résultats, qui arrive aussi, une trentaine de minute plus tard. La psychologue nous accueille dans son bureau, et je commence aussi à stresser :
- Messieurs, je dois vous dire que votre fils est vraiment impressionnant, commence-t-elle alors que je souffle de soulagement. D'après nos calculs, son QI est de 140. Le QI moyen étant de 100, votre fils est un surdoué. Vous avez plusieurs option maintenant pour Teddy, vous pouvez le laissez dans sa classe actuelle, ou demandez à ce qu'il saute une classe, ou encore, à ce qu'il intègre une classe avec des enfants surdoués, avec des programmes spéciaux, dit-elle en nous souriant
- Très bien, nous en parlerons avec Teddy pour savoir ce qu'il en pense, ai-je répondu en souriant fièrement
- C'est la meilleure chose à faire. Tenez, c'est tous les papiers dont vous aurez besoin pour les deux dernières options.
- Merci beaucoup, finis Louis.
Elle nous sert la main, et nous souhaite une bonne fin de journée. On sort de l'hôpital en félicitant Teddy qui rougit un peu. Puis on va manger une glace, ensemble, comme une récompense pour lui. Je suis tellement fière de lui. Puis je réalise qu'en fait, c'est le fils de Louis. Génétiquement parlant je veux dire. Et c'est con de penser ça, mais si il aurait eu mes gênes, peut-être qu'il ne serait pas intelligent comme il l'est. Et je me rends compte que c'est totalement idiot puisque c'est mon fils autant que celui de Louis. Je secoue la tête pour m'ôter ses idées, et je profite de la journée avec mon fils et mon mari, avant de rentrer chez nous, pour discuter de ce que Teddy veut.
- Alors mon grand, tu as entendu la psychologue, qu'est-ce que tu veux faire ? lui demande Louis Tu peux rester dans ta classe actuelle, ou aller directement dans celle d'après, ou encore, aller dans une classe ou il n'y aura que des enfants aussi intelligents et précieux que toi ?
- Je hm... hésite-t-il j'aimerais aller quelques parts ou il tous les enfants sont comme moi, avoue-t-il en rougissant
- Très bien chaton, on va discuter avec ton père et te trouver une école pour toi, d'accord ? lui demande ai-je
Il hoche la tête avant de nous faire un câlin, et de monter dans sa chambre, surement annoncer la nouvelle à Emma puisqu'on l'entend crier de joie pour lui. Je regarde Louis et on rigole, avant de s'enlacer dans le canapé. On ne parle pas, mais je sais qu'on ressent la même chose : de la fierté.
- On devrait lui organisait une fête, propose Louis
- Bonne idée, oui ! m'exclame ai-je en embrassant sa joue.
- Je sais, j'ai toujours des bonne idées.
- Je me rappelle d'une de tes idées, il y a quelques années, alors qu'on était en vacances en Espagne avec les enfants, qui consisté à faire l'amour sur la plage, et ce n'était pas la meilleure idée que tu es eu.
- On va en reparler longtemps, encore ? râle-t-il
- Oh oui. Le coin que tu avais trouvé était parfait, sans personne. T'as demandé à Brad de garder les enfants, mais Teddy a surgit d'on ne sait où. Tu m'as poussé, et j'ai roulé nu jusqu'à la mer, alors que tu t'es relevé et que tu as tapé dans un rocher et que tu t'ai cassé l'orteil, dis-je en éclatant de rire. Heureusement que Teddy était jeune, à cette époque.
- Arrête de te moquer de moi, dit-il en boudant
- Non. Et tu sais pourquoi je n'arrêterais pas ? demande ai-je alors qu'il secoue la tête de droite à gauche. Je n'arrêterais pas parce que tous ses moments d'imperfections, ses moments où on a était interrompu, ou quelques choses c'est mal passé, sont les moments que j'ai préféré partagé avec toi. C'est les moments les plus parfaits qu'on a vécu. Et je t'aime pour ça, aussi. Parce que tu es un peu maladroit, farfelu, fou. Tu m'a fait faire des trucs de malade pendant des années, comme ce saut en parachute, comme tous les pays qu'on fait durant notre lune de miel, comme ce soir-là sur la plage, comme la semaine à Bali, comme toutes les petites choses que tu m'as offerte, autant matériellement que mentalement, pour tout ce que tu as fait pour moi, pour qui tu es, et pour ce que tu as fait de moi. Alors non, je n'arrêterais jamais de me moquer de toi, Louis Styles-Tomlinson, parce qu'à chaque fois ça me rappelle un autre souvenir parfait, un autre moment parfait que j'ai vécu avec toi, et qui est resté gravé dans ma mémoire. On ne retient jamais vraiment les moments parfaits, ou retiens ce qui nous font rire, ou pleurer. Et ces souvent nos meilleurs souvenir.
- Tu aurais pu me faire ce discours lors de ta demande en mariage, dit-il en souriant tout en essuyant les larmes qui avaient coulées
- On va en parlait encore longtemps ? demande ai-je en éclatant de dire, avant d'embrasser passionnément Louis.
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J'dois vraiment arrêter d'écrire des lemons non? J'ai l'impression d'écrire que ça depuis 3chapitres. Pas que ça me dérange vraiment, en fait, mais c'est plus pour vous.
Oui, c'était juste pour vous dire ça. Merci beaucoup tout le monde, ça me fait énormément plaisir les votes, les commentaires aussi. Merci beaucoup. All the love, virtual hug, -C x
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