Le froid couvrait Londres, les passants se hâtaient de trouver refuge pour réchauffer leurs corps meurtris par le déluge.

Anne trouva réconfort dans son café habituel. Elle salua l'hôte, la serveuse et se dirigea vers sa table.

Cette soirée là, elle avait ramené son livre favoris " Dix petits nègres" , elle se mit à l'aise , lisant sans insouciance et buvant son lait au chocolat chaud. Elle était assouvis par le bonheur, c'était son moment, son concon.

Le bruit des clochettes retentit, c'était un nouvel arrivé, se disait-elle . Elle releva les yeux de son livre, et croisa deux paires de yeux bleu. Un homme d'une grande taille ayant une belle carrure,  vêtu d'un long manteau noirs,  cherchait incontestablement une place. Il remarqua la table à la gauche de Anne et se posa là-bas .

Il commanda un café , pris son livre  " La république" de Platon, et voyagea lui aussi dans un autre monde.

Anne était captivée par ce personnage,  la quarantaine, des lunettes, un profile sérieux, c'était totalement son style.

"Dix petits nègres" ne faisait pas le poids face à la curiosité qui salivait notre belle lectrice.

Il émanait de l'homme, un charme virile et apaisant, il correspondait bien au critère d'homme écrits par la femme.

C'était le type idéal.

L'homme captivant.

Ses regards attiraient l'attention de l'homme, et le ramena à la réalité. Il observa longtemps Anne, regarda sa table, puis lui souris, ensuite il tapota la chaise à ses cotées.

Il incitait Anne à le rejoindre, ce qu'elle ne manqua pas de faire. Une fois installée, il prit l'initiative de faire la présentation et sont suivis les mondanités .

Ils parlaient, de nombreux sujets, que sa soit de la science, littérature, politique...

Leurs conversation était animées, ils se souriaient, se racontaient des histoires.

C'était le comble pour eux. 

C'était un moment magique. Ils avaient passé une dizaine d'heures à papoter, ce qui fait que venu le moment de fermeture, nos deux tourtereaux était encore dans leurs échange culturelles, et le gérant se devait de les virer.

Depuis ce jours là , chaque jeudi soirs, c'était devenue leurs petit rituel de se rejoindre autours d'une table pour analyser, décrypter un sujet quelconque .

Anne ce matin là ,ne se doutait pas que le froid lui avait ramener, inconsciemment le réconfort et la chaleur humaine qu'elle enviait tant.

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Voilààààààà un nouveau texte, que j'ai adoré écrire.

Moi étant une lectrice romanesque affamée, rêve d'un moment comme celui là.

Not me qui décrit l'homme à partir de son celebrity crush ahahahah.

ah mon dieu.

Anyways enjoy mes petits amours.

Ryma.