𝐑𝐞́𝐯𝐞́𝐥𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬.

Pov Hinata :
Quelle malchance ! Me voici encore coincée avec Naruto pour un exercice qui ne me fascine tellement pas ! Pourquoi moi !! Toujours avec Naruto !! Naruto me parle :
-Hinata ?
-Euh...oui...
- Je veux qu'on mette les choses au clair.
- Ah.
- Oui. Venons-en au fait. Pourquoi tu t'es enfuie la dernière fois ? Et juste parce que tu ne parlais pas Anglais ? Ça peut s'arranger, je connais un très grand prof d'anglais !
La question que je redoutais le plus. Il pense comme ça que je ne sais pas parler Anglais. Ouah...Ma fierté en prend un coup ! Si bien que je réplique avec toute la hauteur que j'ai :
-N'importe quoi ! Je sais parfaitement parler Anglais. C'est juste que j'avais...peur des regards des autres. C'est tout.
Il me regarde, surpris. Je lui ai embouché un coin, Là ! Écoute. Il faut que j'arrête de parler le français Made in Farm. Sérieux !
- Ah d'accord ! Je pensais que tu étais une petite nunuche à sa maman. Bon, si tout est réglé, on peut commencer le travail donné ?
Nunuche à sa maman ? Et puis quoi encore ! Bon, il a dit que c'était réglé. Donc, basta !
- D'accord. Bon on lui choisis un nom ?
- Tu veux quel genre de nom ? Traditionnel ou moderne ?
- Je préfère de loin la tradition. Alors ? Des idées ?
- Hikari ? Kilari ? Himeka ? Hatsu alors ?
Hatsu ? Ça veut dire "première née " !
- T'as oublié la signification de Hatsu ? Lui demande-je.
-Bah non mais c'est tout comme ! T'as oublié qu'on doit faire semblant d'être les parents de cet oeuf !
- Ah d'accord. Bon, ce sera Hatsu alors.
-Bon. Première chose, réglée. On doit lui faire un visage à Hatsu !
-Ok, alors je sais peindre donc ça peut le faire. On la fait blonde ou brune ?
-Euh choisis ! T'es sa mère, non ?
Je rougis à cette pensée. La mère de la fille de Naruto ? L'offre est intéressante...
- Bon. Je la préfère brune aux yeux bleus. C'est comme une...mixture de nous deux ! Ça...te va ?
-Pas de problème. Mais avec la soirée à Sas'ke je sais pas qui va la garder ! Dit Naruto.
- On ira avec elle.
- Ah bah d'accord,Tu veux carrément son assassinat !
- T'as raison. Bon. J'y vais.
-Oh non, reste ! On va continuer à garder Hatsu.
-Ok...
Je m'asseois sur son lit. La journée promet d'être longue.
Fin Pov Hinata.
Pov Ino.
Mais c'est qui ce type ! Il est vraiment trop craquant avec ses allures de mec effacé. Et dire qu'on va faire semblant d'être les parents de cette omelette ! Ça m'enchante beaucoup. Il remarque que je l'observe et je détourne immédiatement les yeux, démasquée. Il sourit et dit :
-Ino, c'est ça ?
-Exact ! Je suis...
- Je n'ai jamais fait un travail avec une fille dans ton genre.
- C'est-à-dire ?
-Tu es, sans te vexer, un peu superficielle. Ce n'est pas dans mon habitude, je ne suis pas de cet univers-là.
- Ça veut dire quoi ? Que je suis une pouf ?
-Dans d'autre terme ; oui.
Je souris. A première vue, c'est à ça que les gens pensent en me voyant . Une fille écervelée qui n'a rien d'autre à faire que penser aux garçons. Je soupire et finit par lâcher en me couchant sur sa table de travail :
- Je ne suis pas comme ça.
- Je sais. Mais...
- Je donne l'impression.
-À vrai dire, tu ressembles à une jeune fille pourrie gâtée à sa maman. Dit-il, un sourire collé aux lèvres.
Ce qu'il vient de me dire me fend le coeur. C'est exactement comme ça que j'imagine les gens penser de moi. Une fille super MÉGA riche qui est super MÉGA bête. Bête comme un mouton, et qui ne pense qu'à baiser avec les mecs. N'empêche, il n'avait pas à me dire ça si méchamment avec un sourire égoïste collé au visage.
-Arrêtes de sourire si bêtement. Je déteste ça. Lui dis-je.
-Un sourire peut tout changer. Oui, il peut même sortir d'une situation délicate. Dit Sai.
- Tu as peut-être raison. Bon, on donne un nom à l'oeuf et tu lui dessines un visage. C'est bon ?
-Je ne suis pas habitué à recevoir d'ordres d'une fille !
- Tu es un gros macho, toi !
Je lui donne une petite tape dans le dos. On Continue :
- J'aimerais bien un nom occidental ! Dis-je.
- Vraiment ? Moi je préfère quelque chose qui reflète notre culture.
Il est timbré, lui ! La mode en ce moment c'est...bon, c'est vrai , j'exagère quand même, Je ne suis pas une occidentale. Bref, je vais commencer à croire que je renie mes cultures si ça continue.
- Je veux bien, alors. Lache-je.
-Bien ! Alors, des idées ?
-Ai ? Akiko ? Ayano ? C'est ma sélection. Choisis.
- Je n'ai pas le droit de choisir ?
- Je n'ai pas le temps de t'écouter.
Je suis ébahi par son franc-parler. Il me dit des choses désagréables et avec un faux sourire en plus ! Tu es quel genre d'être humain, toi !
- Tu dis beaucoup de méchanceté.
- Je suis ainsi fait. Tu as choisis ?
-Ayano. Ce sera Ayano.
Il sourit comme d'habitude mais avec plus de douceur et de sincérité. Ça, c'est un vrai sourire !
- Tu as fais le bon choix. Dit-il.
- C'est un vrai sourire, ça ! Et tu souris sans dire des méchancetés, tu vois, ça s'arrange.
On rigole un peu et Sai commence le visage de l'omelette. J'espère que ce sera beau.
Fin Pov Ino.
Pov Tenten :
Nous sommes chez les Hyuga avec l'aîné dans sa chambre.

. Un certain Neji qui est vraiment trop beau. Exactement. Mais il est de marbre face à mes tentatives pour détendre l'atmosphère, ce qui m'inquiète pour son état d'esprit et psychologique. Tu es distant comme ça, je me demande si tu as des amis. Ce qui veut dire que tu es un cas social à part. Je me demande comment Temari et les autres se débrouillent. Ça fait peut-être un jour qu'on se connaît mais je sens le début d'une amitié forte et fusionnelle avec les trois filles du matin : Sakura, Hinata et Ino. Des filles vraiment folles ! On va se revoir au dîner des Uchiha. Trop cool, j'ai hâte. Mais revenons au sujet de Neji qui... d'ailleurs est en train DE ME REGARDER !!!! OMG !!!! Je fais quoi, moi ?! Il remarque que je rougis. Il a un petit rictus avant de commencer :
-Tu es Tenten. Je me trompe ?
-Oui...oui et t...toi Neji. Je...viens d'arriver au...aussi.
- Tu es stressée.
Bien-sûr que Oui, idiot ! Comment quelqu'un peut être en train de faire la conversation avec un glaçon ?
-Euh...Non...N...Non, je ne suis stressée, pourquoi ?
- La preuve, tu doutes et tu choisis des mots précis pour me parler et tu bégaie.
Il est observateur, ma foi ! Je n'aurai même pas fais mieux ! Je dévie le sujet :
-Euh...On s'y met ?
-Si tu veux. On nous a demandé de choisir un nom. Je ne suis pas doué pour ça, choisis.
Je fais une petite mine et dis :
- On va choisir don sexe d'abord...
- C'est un garçon.
Il ne m'a même pas laisser le temps de continuer. C'est un vrai macho ! Temari n'hesiterait même pas à lui faire entendre ses quatre vérités. Je soupire puis dis :
- C'est comme tu veux, du moins...
-Bon, tu le choisis, ce prénom ?
- Kirua.
Il est surpris.
- J'ai...J'avais un ami qui...laisse tomber.
Avait ? Pourquoi a-t-il ajouté avait ? Ça m'intrigue.
-Tu as... bien dit...avais ?
-Cherche pas à comprendre. Il est décédé.
C'est...fracassant.
- Et.. .co....comment ? Je veux dire que....
- Je sais où tu veux en venir. On ne connaît pas la source de sa mort. Enfin si, en fait. Je...
C'est la première fois que je le vois douter.
-Tu peux tout me dire. Dis-je en posant ma main sur la sienne. Il retire la sienne en vitesse et me regarde dans le blanc des yeux. Il est mystérieux, ce mec !
- Je vois. Tu ne veux rien me dire. C'est compréhensible.
Il me regarde avec hésitation. Je suis digne de confiance, parole de future psychologue. Oui, je me suis vraiment battue pour arriver en série scientifique. Les cours stressants et tout. Ce Neji est un parfait sujet d'étude. Bipolaire donc lunatique , froid donc qui a vécu des choses horribles ou seulement qui veux se donner un air. Je suis sortie de ma rêverie par Neji qui me dit :
- Je vais tout te dire. De but en blanc. Si jamais ce sujet ressort, c'est à dire à cause des ragots, je nhesiterais pas à te tuer. Oui, je prends le risque d'aller en taule juste parce que tu trahis le secret.
Qu'est ce que je disais ? Il est tordu et chelou en plus.
-Oui, je prends le risque.
Il inspire et dit :
-C'était ce jour....
Flashback :
Une bande de jeunes hommes dans les rues sombres de Konoha, vendaient du crack. Le black bones, La boîte d'en face en commandaient une forte quantité. Ce soir, la police, comme tous les soirs, veillaient au grain. Violence, se faisaient la bande de jeunes hommes pour rester vigilant. Ils s'avançaient discrètement vers le black bones où un sacré client "pété de tunes" comme ils le décrivaient les attendaient. M Sakamoto, président du night club. Ils entrent enfin. En se servant de leur nom de codes, créés pour ne pas qu'on les reconnaissent et leurs cagoules aux teintes rougeâtres, ils s'avancent vers le client après une dernière vérification :
-Aruik ! Tu as le paquet ?
-Oui. Mais où est Ijen ?
- Ne t'en fais pas pour lui. Il surveille la porte arrière de la salle où se trouve le client, tandis que Amihsim
se charge de devant.
Aruik qui est en fait Kirua, acquiese. Il s'en fait pour son ami, Neji. Lui qui vient d'une famille aussi aisée, se retrouve en train d'aider ses amis pour l'opération FORSCHOOL. Oui, ils prennent cet argent, vous l'aurez compris, pour l'école et ses frais. Neji aussi aisée soit sa famille à accepter de se fourrer dans ce plan foireux, indigné que ses amis ne puissent retourner à l'école . Il lui sera toujours reconnaissant pour cet acte.
-Bonjour. Ou bonsoir peu importe. Vous avez ma commande ?
-Oui. Monsieur, vous avez l'argent ?
-Bien sûr, après tout, je suis riche !
Les jeunes hommes soupirent d'agacement face à l'incroyable humilité de m Sakamoto. Quoique.
Dehors, deux agents de police qui suivaient le gang se rapprochent du black bones.
- Ça fait deux ans qu'on les cherche ! Victoire, on aura une grande remise. Ma fille aura enfin la Barbie qui lui plaisait tant.
- Je ne te le fais pas dire. Et moi je pourrais enfin épouser Matsuri. Mais pour la réussite de la mission, mieux vaut être malins.
L'agent de gauche acquiese. Ils entrent en fracas dans le night club. La foule retient son souffle, la musique est coupée. Ce night club est le nid de malfrats expérimentés. Les dealers et barons de drogues illicites se mettent à tirer en désordre dans tout le black bones. Les clients, apeurés obstruent les sorties de secours :
- Ça s'annonce mal, pour la remise !
- Tu parles ! On va appeler du renfort.
Les policiers appelent, grâce à leurs talkies-walkies du renfort. Du côté du gang :
- Ikustim ! La mission est fichue, les flics !
Ce qui valut à Kirua un regard noir de la part de son chef. Le client, à la hâte bien sûr, était en train de leur régler le chèque qui leur permettra de leur solder la scolarité de trois années consécutives. Kirua était pressé mais pas pressé pour rejoindre les prisonniers du pénitencier de Konoha.
-Bon. Je te couvre. Et j'essaierai en même temps de prévenir Ijen.
Il sort de la pièce. Se fondant dans la foule apeurée des tirs et balles perdus des gangs. Une jeune fille. Oui, une jeune fille, tétanisée par la peur , ne sachant plus où aller. Une balle. Oui, une balle qui fonçait sur elle. Elle ne la voyait pas, bien sûr, trop occupée, à paniquer. Kirua, ne se préoccupe pas à ce moment là de sa propre vie. Mais de celle de cette fille, à première vue, même pas majeure qui à dû désobéir à ses parents , juste pour paraître "cool" devant ses amis. Si elle se prenait cette balle, elle allait encore faire pleurer ses parents ; si elle le fesait déjà. Bref, il n'avait pas le droit de la juger, juste parce qu'il était mineur, lui aussi. Mais lui, c'était différent, il n'était pas attendu à la maison, il n'avait personne. Juste parce que sa mère est morte et son père s'est suicidé peu de temps après. Il prend donc la résolution de permettre à cette fille de mener sa vie. Bref. Il court, court mais c'est comme si le temps avançait. Il ne saurait le décrire mais , il allait vers elle, c'était déjà ça...enfin. Il est enfin devant elle. Il se retourne, observe son visage apeuré et lui sourit puis encaisse la balle et son impact.Le sang. Il croyait qu'il allait s'en sortir. Oui, que la balle le toucherait au bras. Mais, comme ci elle l'avait entendu, elle se nicha en plein dans son coeur. Il cracha du sang, rougeâtre et translucide. C'était la première fois depuis plus de cinq ans qu'il avait vu du sang couler à flot comme son propre sang le faisait en ce moment. Il s'écroula sur le sol, se noyant dans son propre sang. Il entendit alors la fille lui crier un "merci" avant de s'en aller, vers la sortie du black bones. C'est à ce moment là que Neji entre dans le night club, inquiet pour ses amis. Il trouve Kirua à même le sol, avec du sang affluant de partout. Une vision d'horreur. Son grand ami, dans son propre sang, un sourire bienveillant sur le visage. Il fonce vers lui, ignorant les balles que s'echangeaint et policier et dealers. Il s'agenoue devant son ami et dit :
- Kirua !!!!! Tiens bon !!! On ira à l'hosto.
-Shut !! Appelle moi par mon nom de code.
-Comment peux tu penser à ce genre de chose pendant que tu es en train de crever !!!!
- Je voulais te dire...me...r...c...i...
Le jeune homme s'éteint là, au milieu d'une marre de sang. N'entendant même plus les supplications et pleurs de son ami.
5h.
L'agitation est calmée. Les policiers sont encore en train de faire des constats. Certains dealers et clients ont perdu la vie. Neji et le restant de ses amis, ainsi que le propriétaire du black bones sont interrogés par un inspecteur.
-Nous avons là, le restant du gang de jeune dealers et leur client. Qui sera, soit dit en passant, le dernier de la liste. Les faits ?
Personne n'avait la tête à répondre. Il utilisa la manière forte, vu que les accusés sont attachés. Une nouvelle et forte matraque, qu'il savait bien utiliser. Il aimait les cris que les accusés produisaient pendant le châtiment. Ne pouvant plus résister, Mitsuki, le chef de gang dit :
-Nous sommes des dealers de quinze ans. Nous vendons du crack.
- Je peux savoir pourquoi ?
-Nous sommes orphelins. Et nous le faisons pour payer les frais de scolarité de nos études.
L'inspecteur est étonné. Des lycéens conscients de leur avenir. Des lycéens sans parents pour les protéger. Il soupire, fait le tour des visages et s'arrête sur Neji.
-Toi là.
Neji le regarde dédaigneusement.
- Tu ne serais pas un Hyuga ?
- Oui et donc.
-Changes de ton. Tes parents sont toujours là, non.
-Exact.
- Tu vends donc de la drogue pour le plaisir ?
- C'était pour aider mes amis.
- C'est interdit. Tu le sais ça ?
- Oui.
- Tu es culotté. J'aime ça. Emmenez les.
Les officiers s'exécutent. M Sakamoto se lamente :
- Je suis ruiné !!! Non pas moi !!! Tout ça à cause de vous !! Vous me le paierait !! Ah ça oui !!
Ils sont embarqués dans les voitures de la police.
Au poste.
-Appellez les parents du jeune Hyuga.
Ils s'exécutent. Les parents de Neji où devra-t-on dire ses oncles sont au poste de police. Sa tante, Mme Hyuga se dirige donc vers lui, avec sa démarche assurée et hautaine. Lui tire les oreilles et le giffle, les larmes aux yeux.
- Espèce d'inconscient !! Tu aurais pu te faire tuer !! Et mon Dieu !! Tu as vendu de la drogue ?! Que dirais ton père, paix à son âme, s'il te voyait comme ça ?! Qu'est ce qui t'arrives ? Tu ne manque de rien ! Hiashi, prend le relais.
Monsieur Hyuga, s'avance. Il ne lui dit rien, maille regarde avec pitié et mécontentement.
- Je vous prie d'agréer cette somme d'un million de yens pour la libération de mon neveu, ici présent.
-Il faudra vous adresser directement au juge. Il y'aura une audience dans un mois. Vous pouvez rentrer. Quant à vous, les "sans parents", vous serrez enfermés pendant le mois avant l'audience.
Ils furent emmenés. Neji, derrière ses oncles rentre chez lui, après avoir perdu son ami, sans un dernier regard pour ses amis.Depuis ce jour là, Neji n'a plus jamais été lui même.
Fin Flashback.
Il avait donc vécu ça ? L'affreuse sensation qu'on éprouve après avoir perdu un ami.
- Je suis désolée. Si je peux t'aider...
- Ne me dis pas que tu vas ramener Kirua à la vie.
- Je sais...
-Tout ça, à cause de cette idiote de pétasse qui aurait dû crever à la place de Kirua ! Si je la trouve, je terminerai le travail, parole de Hyuga.
Il dit Ça avec douleur et froideur. Je pense vraiment qu'elle va souffrir. Neji est un grand malade. Je lui donne l'adresse de M. Akimoto, psychologue de renommée. Il va faire du bon travail avec Neji.
-T'inquètes. M.Akimoto est vraiment un bon psy, il t'aidera.
Il me regarde avec reconnaissance. Je prends l'oeuf et sors de sa chambre. Hinata n'est pas là, je pense qu'elle est chez Sakura. Je rentre chez moi en pensant à l'histoire de Neji. Ce Kirua me fait penser au garçon qui s'est pris une balle au Black bones. Ce garçon à qui j'ai dis merci...
Fin Pov.
Pov Temari :
Nous sommes dans la chambre de Shikamaru Nara.

Le nouveau de la classe. Il fait des devoirs, pendant que moi je peins le visage de notre oeuf qui s'appelle Satoshi. La sagesse. Il représente parfaitement Shikamaru, un peu vieux jeu. Il m'interpelle :
- On a enfin fini, tu peux rentrer chez toi.
- Je sais mais j'ai la flemme.
Il sourit.
- Je déteins sur toi, la féministe.
- 'Porte quoi ! C'est juste que je n'ai pas envie de me taper un kilomètre de marche. Il est quatorze heures, le soleil est à son zénith. Je ne veux pas cuire, d'autant plus que le dîner des Uchiha est important pour ma famille !
- Je vois.
- C'est bien de faire ses devoirs en avance. L'intello. Et je peux savoir pourquoi vous êtes venus si tard, avec ton ami ?
- Je peux te poser la même question ?
- Je viens des USA avec mes parents et mes frères. On n'est venu que depuis une semaine. Donc...
- Je n'avais pas envie de venir.
-Juste pour ça ?
-Euh...ouais.
-Bon, j'y vais. Je n'ai pas envie d'entendre tes sornettes. À plus !
Il hoche la tête. Je sors de sa maison. Ça promet. Je me suis enfin fait un ami. Au masculin je veux dire....
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3173 mots, je bats mon record ! À vrai dire, j'étais étonnée...Je fais que 1000 mots ou plus mais pas AU GRAND JAMAIS 3000 !!! À PLUS POUR LE MOMENT !! KISU KISU 😍😘😍😘

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