Remerciements
Alors que j'attaque cette page, un épisode de Shadowhunters est calé sur la télé, et je suis en train d'écouter une magnifique composition pour piano. Je vais d'ailleurs la mettre sur mon téléphone, pour les jours où je bosserai à la médiathèque. Deux heures de piano : elle pourra passer deux fois de suite dans mon casque sans que je devienne zinzin...
Je me suis promis de ne pas tomber dans le vieux travers qui consiste à remercier la Terre entière pour tout et pour n'importe quoi : on n'est pas aux César. Mais il y a un tas de gens que j'ai croisés, et à qui je dois quelque chose. La vie n'est pas toujours tendre, mais à ceux d'entre vous qui peinent, qui triment, qui souffrent, j'ai envie de dire : « Accrochez-vous ! Ça vaut le coup ! ». Pour reprendre les mots de Thoreau, je ne veux juste pas m'apercevoir, à l'heure de ma mort, que je n'ai pas vécu.
À ma famille, ceux qui ne sont plus là, et ceux qui sont toujours à mes côtés.
À vous qui êtes partis... il y a tellement de silences que je regrette. Mais j'ai l'espoir que, là où vous êtes aujourd'hui, vous savez enfin tout ce que je n'ai pas toujours eu la force ou le courage de vous dire. Je ne continue pas ma vie sans vous : vous êtes là, dans mon cœur, à jamais. Je vous aime, je n'oublie rien, et je fais face.
À vous qui êtes à mes côtés, je voudrais tellement trouver les mots pour pouvoir mieux exprimer ce que je ressens... Vous savez à quel point je tiens à vous, à quel point ce qui nous lie est plus fort que tout le reste. Je vous aime, et rien ne pourra jamais changer ça.
À toi, mon fils, toi qui es certainement l'homme de ma vie... Entre nous, les choses vont bien au-delà des mots. Je suis si fier de l'homme que tu es devenu, et je suis si fier d'avoir su t'aider à arriver jusque-là.
Pas un jour ne se lève sans que je pense à toi, que tu sois ici, près de moi, ou à l'autre bout du monde. Aucune distance ne sera jamais assez grande pour nous séparer. Si tu savais à quel point je t'aime...
À mes amis, rencontrés parfois au gré des hasards de la vie : les mots de François Mauriac me reviennent : ils étaient en exergue du Bracelet de vermeil de Serge Dalens : « Nous méritons toutes nos rencontres. Elles sont accordées à notre destinée et ont une signification qu'il appartient à chacun de découvrir ». Je suis un homme chanceux : ces rencontres n'ont souvent été que le début d'aventures si merveilleuses !
À mes lecteurs, et à mes followers, qui bien souvent êtes les mêmes : merci pour votre présence, merci pour vos encouragements, pour vos messages, merci pour tout ! Mention spéciale à Amine, mon centième abonné !
Aucun auteur n'existe sans ses lecteurs. Si j'écris avant tout pour moi, je suis tellement heureux de vous voir me suivre dans les univers de mes personnages, de vous voir prendre part à ces histoires qui naissent sur l'écran de mon ordinateur : c'est vous qui leur donnez vie, c'est vous qui avez fait de l'histoire de Romain et Ludovic ce livre que vous tenez aujourd'hui entre les mains. Sans vous, ces pages seraient sans doute restées lettre morte, cachées au détour d'un répertoire anonyme sur un disque dur. Grâce à vous, Gallerand a échappé à l'oubli de sa prison numérique. Encore une fois, merci d'être là !
À mon équipe, enfin. À celles et ceux qui supportent mes caprices de diva, mes extravagances, mes sautes d'humeur, mes divagations, mes délires à toute heure du jour ou de la nuit...
Merci Arthur, pour ces longues années de patience, de complicité, d'amour et de câlins ;)
Merci Oriane, Gyram, Pierre et Brian, pour votre amitié, votre tendresse, et votre soutien sans faille.
Merci Yvette, pour ta patience, ta gentillesse et tes éclats de rire. Pour ces échanges souvent si drôles autour de mes fantaisies orthographiques. Pour l'éradication quasi-systématique des « ça » que tu as patiemment traqués et débusqués... çà et là... avant de les éliminer sans la moindre pitié.
Merci David, pour ces interminables discussions à propos de tout et de rien, pour ta tendresse et ton indéfectible amitié.
Merci Thibault, pour le merveilleux travail que tu as fait sur la couverture de Baptiste : je n'aurais pas pu rêver d'un travail plus proche de l'esprit de ce livre, d'un écrin plus beau pour les aventures de Romain.
Merci à vous tous, qui m'aidez à être l'auteur que je suis aujourd'hui. Sans vous... Comme disait Marcel Proust : « Soyons reconnaissants aux personnes qui nous donnent du bonheur ; elles sont les charmants jardiniers par qui nos âmes sont fleuries. » Tout est dit :)
Une pensée, pour monsieur Marcel Pagnol, qui m'a inspiré l'idée de cette série de romans avec ses Souvenirs d'enfance. Pour avoir bercé mon enfance avec La Gloire de mon père, Le Château de ma mère, et tous ces autres récits fabuleux qui fleurent bon la lavande et le romarin, et qui me rappellent, aujourd'hui encore, cette terre baignée de soleil où j'ai vu le jour.
Enfin, une pensée toute particulière pour madame Juliette Benzoni, fabuleuse romancière et historienne hors pair. C'est aux côtés de ses personnages que je me suis découvert une passion pour l'Histoire, que j'ai parcouru le monde, du Moyen Âge aux années trente, et que je me suis trouvé une irrésistible envie d'écrire. Trop tôt disparue, ses romans restent néanmoins une référence dans le monde du roman historique, et occupent une place particulière dans ma bibliothèque et dans mon cœur.
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