Je reviens pour cette seconde analyse que vous (n') attendez (pas) tous. Je m'excuse d'avance auprès de la langue française *pleure *.

Bon y on va :

<<
Chase : Je vois que ma petite soeur à reussi à s'échapper.
Eh merde il m'as retrouvé . Vraiment la chance n'est pas avec moi ( Tu crois ? Tu ne pourrais pas... Je sais pas... Te tirer ?!)
Kaïra : Tu vois ! Donc si tu pouvait me laisser tracer mon chemin où tu pourrai aussi m'indiquer comment rentrer dans chez moi le vrai. Tu vois où il y a mon frère Charlie et mes parents. Ce serait bien aimable de ta part. ( Tu crois vraiment que l'on est dans le monde des Bisousnours. Je ne dirait pas Teletubbies, il me font peur).

Chase : Hum du répondant tu est bien ma soeur toi. Et tu peux toujours rêver pour que je te laisse rentrer chez toi comme tu le dis. Bon on y va. ( Tu as juste l'air d' un psychopathe, elle ne va pas te suivre. Prends des cours de théâtre, je sais pas mais bouge toi !)
Kaïra : Je ne bougerait pas ! ( *palm face, on avait pas remarqué).
Chase : Comme tu veux.

Il me souleva et me porta comme un sac à patates. Je me débattait en lui donnant tous les coups que je pouvait mais rien à faire. Au bout d'une vingtaine de minutes j'étais dans ma chambre. Chase était dans l'encadrement de la porte.

Chase : Bonne nuit et tâche de dormir cette fois. ( Je crois qu'ils sont tous les deux lunatiques. Mais vu l'auteur ça ne m'étonne pas.)
Kaïra : J'espère que tu passera la pire nuit de ta vie. Au revoir.
Chase : Hahaha allez je vais me coucher. Et au fait la prochaine fois que tu veux t'enfuir de laisse pas tes traces de pas visibles.>>
Chase s'en alla quelle idote je fait. (je confirme à 200000 %).

C'est une erreure de débutante. La prochaine fois je ne laisserai aucun détail au hasard. Car oui il y aura une prochaine fois et celle là je ne la raterait pas. Je suis fatiguée. Je m'allongeait sur le lit qui prenait une grande partie dans la pièce. Il y avait le cadre du lit en bois les draps étais en mousseline turquoise. Le matelas était très confortable j'éteignis la lumière qui était près de moi. Je réfléchissait de ce qui c'était passé aujourd'hui. Je me posais des questions sur ma famille et sur Chase pourquoi moi finalement même si quelque part c'est égoïste.( j'ai pas compris ce que faisait l'égoïsme ici. Mais bon. Allez tous ensemble : bonjour égoïsme.)

Je m'endormis finalement. Demain ce sera le jour de ma prétendu obtention de pouvoirs. Mais quand Chase vera qu'il ne se passera rien il me laissera partir d'ici. Et je serai enfin libre et reprendre le cours de ma vie "normale" ( et moi je vais te brûler et oublier ton
existence).

Voilà la fin de cette horreur. Je tiens à préciser qu'un des chapitres de cette histoire était je cite '' Bip. Bip. Bip. Bip. Bip. Bip. Bip. Biiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiip.''

Oui. Et rien d'autre. Faisons une comparaison avec une histoire qui sortira peut-être un jour après maintes réécriture. Là c'est la première version, écrite à l'arrache et non corrigée:

Les maths, c'est chiant. 

Qui a eu la fabuleuse idée d'inventer des nombres, et qui est le second nigaud qui a décidé que les lettres ce serait pas mal non plus ? Tant pis, ces inconnues resteront inconnues. Je préfère les laisser tranquille, elles ont assez souffert et moi par la même occasion. 

Je vois que le professeur est sur son téléphone sûrement en train de jouer à Candy Crush Saga comme la dernière fois que je l'ai surpris. Je lui avais adressé un regard réprobateur, le même que les jours où je ramenais une mauvaise note, ce qui est très fréquent du moins en mathématiques. Mais le plus important, c'est qu'il ne fait pas attention à nous.

Alors je sors mes affaires de svt, j'ai contrôle l'heure suivante et une petite révision ne me fera pas de mal. Je vois Sinsom jeter une boule de papier sur la table de Georgia. En voyant ce spectacle Paul,me tapote l'épaule et me demande :

<< Tu crois qu'un jour il va se rendre compte que Georgia ne s'intéresse pas à lui ? Je ne pense même pas qu'il fait parti de la friendzone, et même s'il y arrivait, il ne pourrait pas en ressortir. Pauvre petit. 

J'ai regardé Georgia - surnommée Gigi part tous le monde- serrer les poings. Si Sinsom continuait il allait se prendre une claque, en bon ami que je suis, j'ai fait tomber ma règle en fer par terre qui a fait sursauter toute la classe. 

Les regards semblaient braqués sur moi comme un vautour et sa proie. La sensation franchement désagréable ne cessait de s'accroître au fil des secondes. Mais je n'oubliais pas Sinsom et lui fit signe d'arrêter avec Gigi. 

Il a paru comprendre, car quelques instants plus tard, il a arrêté, je savais dors et déjà que j'allais devoir lui fournir ses explications et qui disait explication disait exposé sur sa situation amoureuse catastrophique dont je me passerai bien. D'ailleurs l'humanité entière s'en passerai bien. 

Moi, je n'étais pas amoureux et je me portais très bien. On dit que l'amour arrive quand il s'y attend le moins. Mais si je reçois un parpaing sur la tête, je ne m'y attendrais pas. Alors l'amour, c'est comme un parpaing ? 
Il faudra que je demande à Sin' de tous mes amis, c'est lui qui a les meilleures notes en philosophie. 

                  __________________
Tu devrais faire une école d'art, tu sais. Tu es très douée. 

Elle rangea son crayon dans sa trousse bleue. 
M
-Non Romy, je n'irais pas dans une école d'art, je m'inscrirais dans une école de commerce ou de droit comme le veut mon père.

J'ai regardé ses yeux, il y avait une étincelle triste qui traînait dans son regard. 

-Les rêves sont ici pour être réalisés. Tu ne vas pas te faire marcher sur les pieds par ton père ! 

-Si, parce que c'est la vie réelle. On n'est pas dans le monde des Bisounours, les rêves ne suffisent pas. Il y a des guerres dans le monde, des millions de rêveurs qui rêve du vie meilleur. Pourtant, tu le vois bien, rien ne se passe. Pas, ou peu de cesser le feu. Et c' est parce que nous sommes dans la vie réelle, que je ne vais pas faire d'art même si c'est ma passion, avoir un toit sur ma tête, c'est le plus important. Il faut avoir le sens des priorités. 

Et c' est parce que nous sommes dans la vie réelle, que je ne vais pas faire d'art même si c'est ma passion, avoir un toit sur ma tête, c'est le plus important. Je pensais qu'avec les rêves, tout était possible. Pourtant, Gigi et le monde réel m'ont rattrapés avant que je ne puisse m'envoler. Les rêves pleins la tête, j'en avais, alors j'essaierai coûte que coûte de les réaliser. 

-Pourquoi tu as dit non à Sinsom ? C'est un mec bien. 

-Ce n'est pas, souffla t-elle, parce que je lui ai dit non que je ne l'aime pas. Tu ne t'ai pas dit que je ne suis pas prête à aimer quelqu'un ? Tu ne t'ai jamais posé la question, si un jour, je serais à la hauteur pour que quelqu'un m' aime. 

- Pourquoi on ne t'aimerait pas. Je veux dire plus loin du physique. Malgré ce que tu as fait ces derniers temps, je sais que tu es une personne bien. Je suis sûr que quelqu'un te verra comme tu es vraiment. Alors, que tu ne sois pas prête d'accord, mais que tu te dévalorises non. Par exemple, tu es l'une des personne les plus courageuses que je connaisse. Tu es toujours prête à aider quelqu'un, et tu fais les meilleurs cookies que j'ai jamais mangés. 

C'était ma façon un peu maladroite de lui redonner un tant soit peu de confiance en elle. Et puis dans ses qualités, la nourriture s'y étais incrustée, sûrement due à l'heure. Il était presque midi et mon ventre emmétait des gargouillements. 

- Et ta Juliette, elle est où ? Dit-elle curieuse. 

Je me demandais quand ils allaient arrêter avec cette histoire. Peut-être jusqu'au moment où je la trouverai. Mes neurones grillaient à une vitesse insolente. 

-Elle semble cachée dans son donjon, avec un sort d'invisibilité, dans un autre donjon qui est surveillé par un garde du corps ultra balèze. Pour l'instant, je n'ai pas envie de me retrouver avec ses membres en moins donc on va la laisser où elle est. >>

Gigi haussa les épaules, c'était la seule dans mon entourage à ne pas sourire intempestivement. Même quand je fais des blagues. 

Dommages parce qu'elles sont drôles. 

Voilà jugez-en par vous même, je pense que je me suis un minimum améliorée, surtout au niveau de la langue française.

Roméo qui est dans l'extrait Romy est un adolescent normal. Il a des amis qui aiment faire des blagues shakespeariennes et qui lui demandent quand il va trouver sa Juliette. Pourtant sa Juliette semble plutôt être un Julien, et qui est d'ailleurs son '' pote de fête ''. Ses sentiments seront-ils réciproques ?

Bon je vous laisse j'ai un personnage à torturer.