11
En rentrant chez lui, deux jours plus tard, en surprise, il se fit ensevelit sous les bisous de sa maman et les tapotements dans son dos de son père comme si de fierté et de compatissance à ce que lui faisait subir sa maman. Il eu l'interrogatoire complet sur la vie qu'il menait, son petit frère sur ses genoux. Il ne vit pas le temps passé, et finit par dormir chez ses parents et de partir à la recherche de cette fille aux cheveux bruns souples et ondulés tombant dans son dos en cascade, le lendemain. Il était trop fatigué, et la laissera attendre une nuit de plus. Il regarda comme même les informations qu'on lui avait donner. Elle se trouvait dans un hôpital dans la section psychiatrie. Cela le rendait nerveux et peu joyeux, ne sachant pas dans quel état il allait la trouver. Ce qu'il sait c'est que peu importe ce que pourront dire les médecins, il l'emmènera avec lui, pour qu'elle l'accompagne, assume leur relation et découvre le monde. Elle lui avait souvent part de voyager partout sur terre, n'ayant jamais quitter le territoire américain. Elle aimait Paris, et lui avait promit d'un jour l'y emmener. Il lui avait fait beaucoup de promesses, et dont peu tenues, mais celle qu'il tiend, ce sont les plus belles, aux yeux de la jeune fille.
Le matin, il se leva tôt, le premier levé même. Il alla chercher des pâtisseries à la boulangerie du coin, mangea ces deux pains au chocolat et son croissant en route et ne fit que déposer le sachet sur la table de cuisine, dressa la table, prépara le café et laissa un petit mot comme quoi il partait déjà et ne voulait pas les réveillés. Ils avaient besoin de dormir avec le petit qui ne faisait pas encore ces nuits entières. Il avait comprit en se faisant réveillé par les cris de son petit frère, que les nuits de ces parents n'étaient pas de tout repos. Il les plaignait quand au début, parce que maintenant, il dormait plus la nuit, il n'avait plus un rythme de biberon toute les quatre heures, il n'avait plus tout cela. Il était fier de dire qu'il avait un petit frère, bien mignon avec ces beaux yeux étincelants. Il était pétillant de joie de vivre, de quoi rendre les parents de celui-ci comblé. Il ne fallait que ça au parents d'Austin pour ravivé la flamme pour un bon bout de temps.
Il partit, au volant de sa voiture, une Volvo noire. Il a eu son permis entre les enregistrements et les concerts. Il avait un planning bien chargé, ce qui le fatiguait vite et le faisait dormir beaucoup. Cela lui faisait bizarre d'être libre, qu'on ne lui dise pas quoi faire. Cette pause lui faisait beaucoup de bien, et cela n'était pas encore finit. Il allait encore avoir des surprises. Il la revoyait, comme elle était avant. Ses longs cheveux bruns cuivrés, qui tombait en cascade dans son dos, souples et ondulés, qui brillait au soleil. Quelques mèches rousses étaient dans ses cheveux, en été à cause de la luminosité et du reflet du soleil. Il aimait lettre la main dans ses cheveux, en été, et les lissés ainsi pendant un instant et regardé les reflets roux apparaître au milieu du brun. Il revoit ses yeux gris, qui brillaient, avec une légère teinte de brun. Elle avait quelques origines lointaine, égyptienne. Cela la fait craqué, du gris avec une nuance de brun dedans. Son corps, avaient des formes tentantes, il était toujours un adolescent, et les formes, cela l'attirait. Elle n'était pas ronde, ventre plat, cuisses et poitrines généreuses, des hanches qu'il rêvait de plaqué contre lui, des fesses juste comme il aimait. Elle représentait tout ce qu'il aimait, pas seulement physique, mais mentalement aussi. Elle était la femme parfaite à ses yeux, la perfection humaine, il avait trouvé la bonne, et n'avait pas beaucoup d'arrières pensées avec elle. Au niveau de son corps, il a eu toute une nuit, pour affirmer ces pensées, elle avait un corps de rêve.
Tandis que ces pensées se dirigeaient toutes vers elle, il esquissait un sourire au fait qu'il va la revoir, il ne faisait plus attention à la route. Au dernier moment, il vit un chat et braqua sur la droite en montant sur le trottoir, quelques mètres plus long, il se remit sur la route, en se disant de faire maintenant attention à la route et ne plus divagué dans ses rêveries. Il avait failli écrasé un chat, preuve d'inattention venant de lui, alors qu'il avait réussit le permis au la main. Du premier coup, avec les félicitations de son instituteur automobile. Il avait choisit l'auto école, et avait réussit facilement, encore plus facilement que pour l'examen de mathématiques. Et elle n'avait pas été là, juste dans sa tête pour le rassurer, mais pas physiquement.
Il arriva devant l'hôpital, sortit de sa voiture, paya le parking et alla à la réception. Le fille, qui était assise sur sa chaise avec des petites roues et tapant frénétiquement sur le clavier de l'ordinateur allumé devant elle, elle fut surprise lorsqu'Austin se présenta devant elle, comme tel. Le fille, femme plutôt, la trentaine, avait une adolescente pré-pubère chez elle, fan d'Austin. Elle ne put s'empêcher de lui demander un autographe pour le donner à sa fille, même si cela était interdit dans son service. Elle lâcha un soupir de soulagement lorsqu'il accepta même de faire une photo avec elle. Il fit tout ça, et demande à la femme, où est situé l'aile psychiatrie, en lui demandant aussi de ne dire à aucun journaliste ce qu'il avait demandé. Elle le regardait bizarrement, se demandant qui il pouvait bien chercher dans cette partie là de l'hôpital. Il était tôt le matin, et lui indiqua le chemin, ne voulant pas trop réfléchir pour la matinée. Il alla jusqu'à cette aile-là, hésitant à passé les portes battantes de la réception de l'aile psychiatrie qui se présentait de l'autre côté. Il voyait la femme derrière son bureau, se tenir la tête entre les mains, se massant les tempes. Il ne voulait pas la déranger dans son casse-tête. Il finit comme même par entré, en se présentant et demandant cette fille. La femme, d'une quarantaine d'années, croyait rêvé, passa un appel pour demander que le psychologue de la jeune fille vienne. Il arriva à pas de courses, et fut étonné de voir Austin. Lui et tout les autres médecins qui croyaient que c'était une fanatique, elle disait une part de vérité maintenant, ils se connaissaient bien. Le psychologue harcela Austin de questions et puis lui demanda simplement de raconter l'histoire. Elle racontait donc la vérité, et personne ne l'avait cru. Le psychologie demanda à un infirmier qui passait de conduire Austin jusqu'à la chambre de la demoiselle.
Devant la porte, Austin remerciât l'infirmier qui ne faisait qu'obéir à un ordre de son supérieur, une partie de son travail. Il toqua à la porte après un bon moment à être devant sans rien faire. Il se sentait mal de la savoir ici par sa faute, de savoir que personne ne l'avait crue et que maintenant, elle n'était qu'une coquille vide qui refusait d'être remplie à nouveau. Elle avait besoin d'amour, et ça, il le savait, et il allait la sauvé et lui donné tout l'amour dont elle a besoin. Rejeter par ses parents, abandonner par Austin, mise dans un hôpital psychiatrique, il y avait de quoi se sentir seule, totalement seule. Il entendit une petite voie, et entra. Ce qu'il découvrit le choqua, lui fit l'effet d'une gifle. Il ne l'avait pas vu pendant des mois, lui avait du mal et elle avait totalement changer. Ses longs cheveux bruns ondulés tombant dans son dos, était réduit à un carré avec un léger dégradé qui lui donnait le visage d'une femme et lui apportait un côté glamour. Elle qui était mince, avant, n'était plus qu'un tas d'os. Ses yeux qui étaient tout les jours entourés d'une touche de crayon, d'un trait d'eye-lyner, et dont les cils étaient recouverts d'une légère couche de mascara, lui donnant un air un félin, était vide, pas de maquillage. Elle était plus belle sans. Ses ongles qui étaient tout le temps vernis, ne l'étaient pas. Elle qui avaient les ongles presque toujours impeccables, étaient rongés partout. Son regard qui était doux et chaleureux avant, était à présent, vide et perdu. Elle regardait Austin, perdue totalement. Elle ne comprenait plus rien, il était donc revenu, juste pour elle.
Austin s'approcha d'elle, la souleva parce qu'elle était assise en indien sur le sol, elle peignait son mur. Il la mit debout, la retenait parce qu'elle ne tenait pas sur ses jambes. Les yeux de la jeune fille bougeait de gauche à droite, palpitait, elle n'arrivait pas à croire, qu'il était juste devant elle, et qu'il la tenait par les épaules. Elle était totalement choquée, mais fuyait aussi son regard. Elle avait peur de ce qu'il pourrait pensé. Elle voulait lire dans ses pensées, savoir ce qu'il pense d'elle après ce changement à l'extérieur d'elle, dont il a conscience, et à l'intérieur d'elle, dont il n'a pas encore prit conscience. On lui a coupé les cheveux, il n'y a pas longtemps, elle avait voulue se les arracher, tous. Comme elle saignait au niveau du crâne, pour qu'elle ne le fasse plus, ne retente une nouvelle fois, le psychologue et elle c'était mit d'accord pour un carré court qui se finit au oreilles dans un dégradé. Elle était belle ainsi, faisant plus femme. Même si c'est une coupe à la garçonne, cela faisait resplendir son teint de porcelaine et ses joues rougissantes au touché d'Austin. Elle se laissa tomber dans ses bras, voulant y rester pour toujours.
Austin: Je ne te quitterais plus jamais, tu vas partir avec moi...
Une phrase qui sonnait comme une promesse dans les oreilles de la jeune fille. Elle se demandait si il allait la tenir. Ou si il allait partir et ne pas revenir avant plusieurs années et lui refaire la même promesse et faire ça, comme un cercle répétitif, comme un refrain de chanson. Mais la chanson, il y a bien un moment où elle s'arrête, elle espère être au dernier refrain, au dernier couplet, au dernier mot.
Austin: Je t'aime Rosalia Paolina.
Ces mots sonnaient juste, totalement juste dans les oreilles de la jeune fille. Elle déposa un baiser sur la commissure des lèvres d'Austin, mais celui-ce lui arracha un baiser, un tendre et doux baiser. Elle se détacha de lui et fit ses valises. Elle voulait partir tout de suite, Austin l'avait comprit, tout comme le médecin qui venait d'entrer dans la pièce sans toquer. Il fut choqué de voir un sourire rayonnant sur les lèvres de la jeune fille, chose qui n'avait jamais été présent sur elle depuis qu'il la connaissait. Il comprit qu'aucun traitement ne pouvait lui convenir, simplement parce qu'elle n'avait pas besoin de médicaments, mais seulement de son Austin. Lui et tout les autres médecins et psychologues de l'hôpital c'était cassés la tête, emmêlés les pinceaux pour trouver ce qui n'allait pas chez elle et ainsi, trouver les médicaments qui allait la guérir. Mais si simplement, une personne, un être humain, pouvait être son médicament? Cela était possible qu'une personne humaine, rien qu'en venant, pouvait sauver un patient? Tout l'amour qu'elle lui donnait était bien réel.
Austin avait sauvé Rosalia, juste en revenant et en la prenant avec lui. Il n'était pas seulement l'élue de son cœur mais aussi son médicament. La folie de la jeune fille partit dans le sourire d'Austin et se perda ainsi dans le néant.
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