07
Austin encrât son regard dans le sien, plongeant ses yeux pétillants dans les yeux étincelants de la jeune fille. Il voulait l'embrasser tout comme elle voulait qu'il l'embrasse. Elle hésitait à faire rapprocher le visage d'Austin du sien pour qu'il comprenne ses intentions. Elle cherchait ses mots, essayant de faire une phrase cohérente dans sa tête, ne sachant même pas si elle sera la dire. Elle tente de dire un mot, mais aucun bruit ne sors de sa bouche. Son souffle se coupe, se saccade. Austin sent la respiration chaude de la jeune fille sur son visage, son haleine à la menthe papillonnant ses narines. Celui d'Austin, fait la rêve, une haleine de menthe forte, une respiration, elle aussi coupée et saccadée. Tout deux on de plus en plus de mal à respirer, tant ils s'attirent.
Deux minutes se passèrent dans cet atmosphère-là, aucun deux ne parlaient, leurs lèvres mouvaient, ils réfléchissaient tout les deux à une phrase intelligente qui entre dans le contexte à dire, ils cherchaient un mot à épelé, ils se questionnaient sur le fait de demander à l'autre de l'embrasser. L'air devenait pesant, et irritable pour les adolescents. Ils voulaient les lèvres de l'autre, mais aucun ne faisait le pas vers l'avant décisif, de peur que l'autre ne le voulait pas. Ils s'aiment et avaient peur de recommencer à nouveau une histoire, pour qu'elle se termine comme la précédente. Ils se voulaient, rien que pour eux, personne d'autre ne pouvaient les approcher, ils voulaient être qu'eux et ce jusqu'à la fin des temps. Le silence devenait de plus en plus éprouvant.
Elle: Embrasse-moi...
La demande de la fille ne tomba pas dans l'oreille d'un sourd. Austin se jeta sur ses lèvres, leur petit moment de plaisir, prit d'une passion nouvelle pour l'autre. Leur lèvres ne c'étaient pas touchées depuis des mois, Austin ne pouvait que rêvé de mieux comme demande venant d'elle. Elle ne pouvait que rêvée mieux comme réponse à sa demande. Il ne l'avait jamais embrassé aussi bien et aussi tendrement. Un baiser passionné et remplit d'amour, au milieu d'un pont remplit de bougie parfumée à la vanille, au clair de lune, avec le bruit de la rivière pour détendre encore mieux l'atmosphère. Elle se croyait dans un rêve, dans un film a l'eau de rose, mais non, c'était bien la réalité.
La dextre de la jeune fille glissait sur la joue d'Austin, tandis que la gauche glissait sur la nuque du jeune homme. Celui-ci entourait la taille de la jeune fille, scellant ces mains dans le bas de son dos, tout en caressant celui-ci un peu du pouce. Ils étaient dans leur petit monde, bien à eux, rien qu'à eux, personne ne pouvaient venir les déranger, personne n'allait le faire. Le baiser prit fin, par manque de souffle. Ils souriaient béatement, se plongeant dans les iris de l'autre. Elle caressait sa joue de son pouce, et lui tout son dos. Leurs yeux pétillaient de plaisir et d'amour. Ils étaient heureux, pleinement et simplement heureux, seulement grâce à l'autre. Ils ne pouvaient que s'aimer, la flamme s'est raviver entre eux. Un nouveau jour est apparu, une nouvelle facette du bonheur c'est dévoilée. Eux qui avaient peur d'être heureux, parce qu'à chaque fois qu'ils le sont, quelque chose de mal s'abat sur eux.
Durant tout le rendez-vous, il ne parlait presque pas, s'embrassait et se regardait en souriant. Il jouait entre eux et se chamaillait même un peu, ou se taquinait, il leur arrivait même de se chatouiller rien que pour le plaisir d'entendre l'autre rigoler. Ils se caressaient les joues et le dos, Austin en faisait un peu plus en caressant les cuisses, les bras, les avants-bras et les mains de la jeune fille. Il adorait regarder ces pommettes se formés lorsqu'elle souriait. Ils avaient éteints les bougies qui sont au bord, pour en laisser quatre du milieu allumées de chaque côté. Ils les avaient bougées, pour qu'ils puissent se mettre contre le bord du pont et s'y appuyés. Elle était dans ses bras, sur ses jambes, la tête callée sur son épaule droite, ses doigts entrelacés aux siens au niveau de son ventre. La guitare était à côté d'eux, Austin venait de lui joué un morceau, elle avait été assise en face de lui, assise en jambe d'indien, le sourit aux lèvres de savoir qu'il va lui rechanté une chanson, les yeux remplit d'étoiles face aux paroles d'amour qu'il chantait. L'espace d'un instant, d'une chanson, elle était devenue nostalgique. Elle voulait faire éclaté son bonheur au grand jour, au grand dame de ces parents, qui seraient à nouveau contre le fait qu'elle soit avec Austin. Mais c'était elle, et c'est toujours elle qui choisit la vie qu'elle veut menée, le garçon avec lequel elle veut être. Pour Austin, c'est venu tout seul, l'amour a prit place, et ces deux âmes-sœurs qui se sont reconnus. L'amour a ses raisons, que le cœur ignore et dont les parents ne comprennent pas.
L'instant le plus dure fut d'éteindre toutes les bougies et de partir, leur rendez-vous achevé. Ils ne voulaient pas se quitter. Il l'embrassa, avant qu'elle ne parte vers chez elle. À la fin du pont, elle se retourna, il la regardait. Elle aimait le reflet du jeune homme dans l'eau de la rivière. Elle continua sa route, mais Austin, quand elle arriva au niveau de l'arbre, lui attrapa le poignet et la retourna et l'embrassa à nouveau. Il ne voulait plus retiré ses lèvres, les mains de ses hanches, le corps du sien, de peur que quand elle sera partie, il ne la reverra plus jamais. Elle, non plus, ne voulait pas le lâcher. Ils se firent cette confidence en même temps, ils rirent un petit peu et longeait alors la rivière main dans la main.
Il la ramena devant chez elle. Elle avait peur que ces parents ne les voient. Elle avait peur de leur impact sur eux, de comment ils pourraient transformés leur petite bulle de plaisir en autre chose, mais ce qui la terrorisait le plus, c'était en quoi? Elle était ronger par cette pensée, Austin était un garçon bine, il a changé. Ce n'est plus la Bad boy prétentieux et narcissique qu'elle avait connue et qui croyait que tout lui était du. Il pressa sa main, pour l'encourager, elle lui octroya un mince sourire et partit jusqu'à sa porte, lui adressant un petit signe d'au revoir de la main avant de pénétrer dans sa grande demeure.
Elle était couchée sur son lit, totalement rêveuse de cette soirée qu'elle avait passée. Elle avait vue le Austin qu'elle a toujours vu en lui, jamais elle n'avait aimer et trouver son mauvais côté. Même si tout le monde le décryptait comme quelqu'un de peu fréquentable et de coureur de jupons, elle avait immédiatement perçue le bon côté en lui. Elle voulait décernée cette partie de lui, et elle avait finie par en tombée amoureuse, pas non seulement que de cette partie, mais de lui tout entier. Elle tenait dans ses mains, le veston d'Austin, fermement dans le cas où quelqu'un voudrait le lui arraché.
Il était toujours dehors, un frileux à chaque brise de vent qui venait lui chatouiller sa peau à l'air. Il n'avait pas reprit son veston, le lui laissant pour le week-end. Il regrettait quelque peu d'avoir eu cette initiative, mais au moins, il avait une sécurité quand au fait de la revoir. Si il le revoulait, elle était obligé de revenir le voir. Il n'avait aucun autre regret lors de cette soirée, même si ils n'avaient pas parlés. Ils n'en avaient pas eu besoin, ils n'avaient pas eu besoin des mots parce que leurs lèvres, leurs yeux, leurs gestes, leurs attentions, leurs sourires parlaient pour eux. Ils avaient réussit à tout mettre au clair, sans dire un mot, il en était fier. Il se baladait dans les rues, sans but précis, il ne voulait pas retourner chez lui. Les sacs de bougies, pesaient de plus en plus lourd, il se dit que cela l'entraînait musculairement. Il s'arrêtait de temps en temps dans la rue pour s'asseoir sur un banc, mais n'y restait pas bien longtemps. Il s'en foutait un peu de se perdre, connaissant l'inquiétude que sa génitrice aurait déjà appeller la police. Il lui avait laisser un mot dur la table de la cuisine, pour ne pas trop l'inquiéter, mais elle était comme ça sa maman, toujours à s'inquiéter. Elle faisait plus prendre du poids en stressant quand mangeant. Austin c'était toujours demander comme elle faisait, comme elle faisait pour que tout soit toujours propre et à la perfection, comment elle faisait pour tout gérer sans tout abandonner, sans péter un câble même avec tout les imprévus et tout ce qui ne fonctionnait pas comme elle voulait. Il se disait, qu'à sa place, il aurait déjà explosé, et qu'il n'avait qu'à la remerciée de ne pas l'avoir encore fait. Il traînait des pieds, faisant bougés le gravier, une chose que sa génitrice déteste qu'on fasse, parce que c'est un signe d'ennuis et de non respect de la personne, et aussi parce que cela abimait les chaussures.
Dans la maison de la jeune fille, c'était l'interrogatoire par rapport à sa sortie de se soir, et au veston à côté d'elle. Elle se sentait mal, elle devait leur caché la vérité, parce qu'ils voulaient que leur relation reste secrète pour l'instant. Même si cela veut dire qu'ils ne peuvent pas se voir en public, qu'ils doivent faire attention, même à s'ignorer dans les couloirs, il le feront, pour le moment c'est tout ce qui compte. Elle déblatéra plusieurs mensonges, avec plus de facilité, s'y habituant un peu plus. Elle mentait a ses parents, mais c'est mieux ainsi, ou sinon, elle ne serait pas prête de revoir Austin. Elle réussit à les convaincre de sortir de sa chambre et de continuer les questions demain, parce qu'elle était fatiguée, ce qu'elle n'était absolument pas. Sa mère plaça une de ses mèches de cheveux derrière son oreille gauche, déposa un baiser sur sa tempes tandis que son père, tapota à côté de lui avant de se relever, déposa sa main sur l'épaule droite de sa fille sous le regard de la maman qui avait déjà fait son passage, il sortit de la chambre suivit de peu par la maman. Elle fermât la porte et laissa sa fille seule. Elle n'avait plus eu le droit aux "Bonne nuit" depuis longtemps. Elle y était habituée mais cela lui manquait.
Dans la maison du jeune homme, c'était l'inquiétude. Ils voulaient lui annoncer la nouvelle, mais ils ne savaient pas où il était. Il ne répondait pas au téléphone. Sa mère faisait les cents pas dans la cuisine, tenant dans sa main gauche le bout de papier d'Austin, sa main tremblait. Elle chiffonna le papier dans la paume de sa main et le lança au sol. Elle était perdue, complètement tétanisée, apeurée. Elle explosait intérieurement. Elle jeta le papier au sol, émit dans sanglots, s'adossa au plan de travail, et finit par se passer les tempes. Elle n'en pouvait plus. Elle trouvait son fils un peu bizarre ces derniers temps. Elle le trouvait aussi distant. Il cachait quelque chose, elle en était sûre. Elle était fatiguée, désespérée, anéantie, désarmée, affaiblie. Elle n'était pas très bien, sur le bord de la dépression. Elle avait cachée tant de fois qu'elle n'en pouvait plus, mais là, maintenant, elle n'y arrivait plus. La dépression l'atteignait, lui prenant un peu d'elle au fur et à mesure. Elle ne savait pas où était son fils, elle s'imaginait les pires scénarios. Austin était son point faible, son seul point faible. Il était devenu comme une plaie apparente chez elle, c'était la seule visible, toutes les autres étaient cachées, non pas sous une couche de fond de teint, mais sous une couche de force et de moralité. Le père était sur le canapé, n'ayant pas réussit à calmer sa femme et avait même reçue une gifle de celle-ci. Sa joue était encore rouge, la main visible. Il tapotait des doigts, sur la petite table à côté du canapé, il y trônait le téléphone fixe et l'agenda. La colère montait en lui. Il n'allait pas faire un tour, ne sachant pas se dont sa femme serait capable en son absence. Austin était un pot faible pour ces deux parents. Il était leur source de bonheur, mais aussi de douleur.
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