06

Après deux jours encore à rester chez lui, Austin pu réapparaître à l'école, pas beaucoup de chose n'avait changer, mais beaucoup de rumeurs c'étaient déversées à son sujet, à son absence. Il aurait pu revenir a l'école hier, mais sa mère ne voulait pas, par prudence qu'il ne soit à nouveau atteint d'une maladie. La mère du jeune homme, n'aimait m'as quand il était petit qu'il soit malade, parce que de toute façon, elle l'avait pour elle, ils étaient très fusionnels, mais en grandissant il s'est écarté d'elle et à prit ces distances pour vivre sa vie d'adolescent. Maintenant, elle aime quand il est malade, pour l'avoir pour elle, même si égoïste, elle ne peut pas le nier à son mari, tout les deux assis sur une chaise autour de la table, le téléphone au milieu, une tasse de café dans les mains, attendant la nouvelle en parlant d'Austin. Le téléphone sonna, et ce fut la mère qui décrocha, attendant les résultats avec impatiente.

Austin fut une entrée normale, mais fracassante par tout les yeux se fixait sur lui. Il avait meilleure mine qu'avant don absence. Il a récupéré des heures de sommeil et revient plus en forme, prêt à la reconquérir et à dribler tout les attaquants des équipes adversaires. Le lendemain, c'est le week-end, il n'attendait plus que ce jour-là, pour tenter de la voir et pouvoir s'expliquer lors d'une journée entière. Il cherche les mots, les phrases exacts à lui répondre. Ce jour-là, c'est celui qu'il déteste le plus, le jour de sa bêtise qui fut fatal pour son couple. Il arriva à son casier, en passant devant elle, il ne lui jeta qu'un bref regard, alors qu'elle était presque à se jeter dans ses bras de le revoir en vie et en pleine forme. Elle était inquiète, et maintenant tout le stress et la panique des trois derniers jours sans aucune de ses nouvelles redescendit. Elle voulait le rejoindre devant son casier, mais ayant ses amies à côté d'elle, elle préféra rester là, à les écouter discuter de qui est le garçon le plus beau de l'école et qui est le plus sexy. Austin revenait dans les deux listes, cela ne la dérangeait pas, parce qu'elle le mettait tout en haut de ces deux classements. Ses amies ne faisaient pas très attention à elle, même si quand elles prononçaient le prénom de l'adolescent, il y en avait une qui c'était retourner, mais en voyant qu'elle n'avait pas réagi, elle ne se contenta pas de plus, pour dire qu'il était dans le top 10 des plus beaux.

Austin, ouvrit son casier, et une multitude de petit papier sortit de celui-ci. Cela lui rappelait, le bouquet de rose qui était dans sa chambre, dans un vase sur sa table de chevet pour qu'il puisse lui donner. Il prit quelques petits mots, regardant d'abord la signature, toute de cette fille aux yeux gris pétillants de beauté. Il mit tout les morceaux de papiers dans son le fond de son sac, il les lira chez lui, si il y pense. Il part vers son premier cours de la matinée, qui sera suivit du second avant une courte pause pour les trois prochaines, puis une grande pause avec cantine et pour finir deux heures de cours. Il aimait les vendredis, parce qu'il savait que le lendemain, il pourrait se lever tard, faire autant de basket qu'il le souhaite et aurait plus de temps pour s'accorder du plaisir avant de travailler. Il préférait avoir des devoirs lors du week-end que dans le semaine, parce qu'à ce moment-là, il sait qu'il aura plus le temps de les faire.

La journée passa vite, il avait déposé durant le temps de midi, un mot dans le casier de l'adolescente. Il n'attendait plus que sa réponse, caché derrière une poubelle pour la voir mettre un mot dans son casier. Il la vit, vers la fin de la pause, elle glissa le papier dedans, c'était bien elle, il voulu aller la voir, mais se heurta dans la poubelle. Un petit cri de douleur s'empara de sa gorge, la jeune fille se retourna. Il la vit, et l'instant d'une seconde plus tard, la seconde pour qu'il se ressaisisse, elle avait disparue, elle avait tournée au bout du couloir. Il  ouvrit son casier pour voir la réponse qu'elle lui avait donné.

20h00 au lac, j'y serais, sur le pont, pour que cette fois-ci, on ne se rate pas. Tu me reconnaîtra sûrement.

-Ton ex-

Il sourit et partit en boitillant le temps d'un quart d'heure, que la douleur s'estompe, et il était repartit à la chasse, pour ses heures de cours supplémentaires avec son option, le basket. C'était ce qui l'occupait les 3 dernières heures de la journée du vendredi, comme pour bien finir une semaine de dures labeurs pour lui. Il devait faire attention à l'énergie qu'il donnait sur le terrain, parce que l'entraîneur de l'équipe de basket et professeur de sport dans la classe du dessous, donc il l'avait eu l'année précédente en tant que professeur de sport en plus d'entraîneur de tout les niveaux de basket, était un ami de son père. Le monsieur le surveillait de près, attentif à ce qu'il donnait sur le terrain pour aller le dire à son père. Il essaye de rester concentrer durant tout l'entraînement et de ne pas penser à son rendez-vous de ce soir. Il attrapa la balle qu'un de ses coéquipier lui lance, il dribla quelques joueurs adverses et tura un panier à 3 point qu'il réussit. Durant les entraînements, on divisait l'équipe en deux équipes, pour faire des matchs. Il tapa dans la main de celui qui lui avait lancer la balle et le match continua, toujours sur le regard attentif et encourageant du coach.

Il rentrait chez lui, un peu fatigué mais comme même en pleine forme. En chemin, il repensa aux quelques fois où il avait apprit à celle qu'il va revoir se soir, à tirer au panier. Une fois cela c'était produit dans son jardin, et une autre dans le gymnase de l'école. Elle se débrouillait encore bien et il aimait cela. Il était derrière elle, tenait le ballon par dessus les mains de la jeune fille avant de les faire glisse sur ses bras, il s'arrêtait toujours sur les avants-bras, posant sa tête sur l'épaule de la jeune fille avant de la relevé lorsqu'il tirait avec elle. Ils rigolaient ensemble, de bon cœur et souvent s'embrassaient aussi. Il avait même fait un jeu, un jour, à chaque fois que l'un marquait un panier, l'autre devant l'embrasser. C'était des tirs simples, sans quelque chose pour les empêchés de tirer ou les gênés. C'était elle qui avait, bien évidement, embrasser plus Austin que lui ne l'avait fait. Il avait même fait un pacte, à chaque match de son équipe, elle venait le voir et pour chaque panier mit, elle l'embrassait à la fin du match.  

Ils étaient comme ça, avec une belle histoire d'amour que beaucoup jalousaient. Certains se demandaient si ils allaient un jour finir par se séparer l'un de l'autre, se décollé. Ils se baladaient dans les couloirs de l'école souvent ensemble, ils mangeait aussi ensemble à la cantine et le rire de la jeune fille émit par les singeries de son petit ami, attirait au début l'attention et puis ne fut qu'un bruit dans le décor. Ils ne se lâchaient presque pas, et puis quand leur couple fut brisé, toute le monde était étonné et gêné. Cela leur faisait bizarre de ne pas les voir ensemble à la même table, de ne pas entendre le rire de la jeune fille, de ne pas voir Austin la faire rire. Ils étaient un couple qui en avait fait rêver plus d'un, ils avaient de quoi en être fière, mais quand ils n'étaient plus ensembles, ils n'avaient plus rien à montrer. Ils étaient deux âmes qui se sont rencontrés, ils étaient deux âmes fusionnels qui ne faisaient plus qu'un, ils étaient deux âmes qui ne pouvaient que se rencontrer, ils étaient deux âmes sensibles, ils étaient qu'un, ils sont deux et pourtant tout les réunit pour mes séparés.

Elle était chez elle, assise sur le bord de son lit, à attendre que l'heure de se préparer n'arrive, en fixant ses pieds. Il était 18h54, elle allait devoir bientôt dresser la table et ensuite manger. Elle allait devoir éviter le regard de ses parents, penser à autre chose, mentir à leurs questions. Pour finir, tout cela se passa bien, elle avait réussit du mieux qu'elle put a restée naturelle, refoulant toutes les pensées qu'elle avait sur Austin. Elle s'habillait simplement de ballerines noires, d'une robe rouge envoûtante qui faisait ressortir ses courbes et formes de femmes, lissait ses cheveux pour en faire une tresse sur le côté, des boucles d'oreilles longues, une bague, une touche de mascara et d'eye-liner. Elle change sa couleur de vernis, passe d'un vert rubis à un bleu éclair. Elle mis un peu de beurre de cacao à la cerise, son préféré, dans le cas où Austin voudrait prendre possession de ses lèvres douces et finement sucrées, le préféré d'Austin aussi. Elle avait testé un à la pêche, un à l'abricot, un à la fraise et un à la myrtille, mais il avait toujours préféré celui à la cerise, le premier qu'elle avait mit. 

Austin, se prépare lui aussi, une chemise bleu marine, un pantalon jean gris, le même bouquet que la dernière fois prêt et ré emballé. Les baskets chaussées, il était prêt, mais il lui restait encore au moins 30 minutes, alors qu'il lui fait 10 minutes pour y arriver. Il part comme même déjà, préparant une surprise pour elle, qu'il décrit de grandiose et d'inattendue. Des sacs de bougies et quelques boîtes d'allumettes. Il se dirige vers le pont, quand il y arriva, il déposa tout sur le sol et se mit au travail. Il n'attendait plus que de voir la réaction qu'elle allait avoir.

Il eut finit quelques minutes avant 20 heures, l'heure du rendez-vous. Il ne sait pas si il devrait tenté de l'embrasser ou non. Il a peur de sa réaction face au pont remplit de bougie allumée. Il trouvait cela romantique en envoûtant, il ne savait pas pour elle. Elle pourrait pensée que c'était une mise en scène se disait-il, mais il allait en être sûr dans quelques minutes quand elle arrivera. Il se positionnait, sur le rebord du pont, reposant ses coudes dessus, et se laissant aller par la chanson qu'il avait en tête, celle qu'il avait écrite quelques temps plutôt. La guitare était à ses pieds, attendant d'être prise dans ses bras et de s'accorder avec sa voie. Il chantonnait les paroles, se les rappelant pour ne pas les oublier avec le stress. Il avait les mains moites, tremblantes. Il jouait avec ses doigts, tentant de ce calmer. Il jetait un coup de d'oeil à sa montre, tandis qu'à l'arbre près du pont, elle était là, cachée dans la pénombre. Elle hésitait à venir vers lui, simplement, au carrément courir et lui sauter dans les bras. Elle opta pour la première démarche.

Une brindille craqua sous son pied et Austin regarda dans la direction de ce bruit. Il la distingua dans la pénombre, éclairée par quelques onces de lumière provenant de ses bougies. Il s'avança vers elle, le bouquet de fleur qu'il avait laisser sur sa guitare, il le lui tendu, un peu gêné de la situation. Elle le prit, changeant de pied par gêne, elle était quelque peu mal à l'aise devant lui. Un petit frisson la prit lorsqu'une brise de vent souffla, faisant volée quelques mèches de ces cheveux. Le veston d'Austin, qu'il avait prit pour lui et qui trônait sur le rebord du pont, il alla le cherché et revenant vers elle, il le déposa sur ses épaules, avant de la guidée sur le milieu du pont, le point le plus haut.

C'était un petit pont, qui passait au dessus d'une petite rivière dans le parc, un pont en bois, avec des arbres un peu partout autour, coin éloigné du parc, endroit des amoureux, avec la rivière où baignait des poissons. L'eau n'était pas polluée, aucun déchet n'y était accepter, les personnes du parc et tout les habitants de cette ville ou presque voulait la préservée. Elle menait aussi à un petit lac, dans un coin beaucoup moins privé du parc, qui se situait à côté de la plaine de jeu. Ce n'était pas non plus n'importe quel pont, c'était le pont d'une première fois, du premier baiser entre eux. C'était le tout premier entre eux et pour elle, le pont d'une première fois, c'est comme cela qu'elle l'appelait dans sa tête. Depuis, ils se refugiaient là-bas, quand ils ne voulaient pas aller chez l'autre ou que l'école était fermer ou la salle de théâtre occupée. Parfois, il n'allait pas à la salle de théâtre, simplement parce que c'était à l'école, et qu'il ne voulait plus voir un seul rapport avec l'école, tellement qu'ils en avaient assez. Même elle, parfois, rêvait de sortir de là, de partir et de ne pas y remettre un pied avant un bon bout de temps. Ses parents lui mette la pression pour qu'elle soit la meilleure, mais, souvent, il lui arrive de vouloir être la dernière.

Elle a aimer l'attention d'Austin. Elle rougissait légèrement, mais essayait de le lui cacher en baissant la tête, mais, comme il ne l'avait pas lâcher du regard, il l'avait remarqué, il riait chaleureusement. Il se mit face à elle, au milieu du pont, il prit son menton entre son index et son pouce, le remonta, pour que le regard de la jeune fille croise le sien. Il n'en revenait pas, de sa beauté au clair de lune et de la lueur des bougies de chaque coin du pont. Il approcha son visage du sien, collant leur nez. Chacun des deux remuaient leurs lèvres, voulant qu'elles se touchent pour de bon et ne plus à avoir à se retenir. 

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