05
Tous deux s'attendent, se demandant si l'autre viendra, étant à l'avance tellement qu'ils perdaient patience. Mais tout deux sont bien dans le parc, à un endroit différent. Austin croit qu'elle lui a posé un lapin, la piégé. Et elle, elle croit qu'il ne viendra pas. Elle était entrée dans le parc, deux minutes avant qu'Austin ne se positionne devant, un bouquet de roses de couleur rose, vêtu correctement d'une chemise et d'un pantalon. Ils étaient impatients, nerveux. Chaque passants qu'ils croisaient ou voyaient, ils croyaient que c'était l'autre. Austin était même aller leur chercher des glaces, mais les avaient toutes les deux mangés parce qu'elles coulaient. Il se dit qu'il en rachètera une autre au moins pour elle.
17h45
Aucuns des deux n'a bougés, ils ne sont pas donc pas trouvés. Il renonce d'attendre plus longtemps. Il l'appelle, mais elle ne répond pas n'ayant pas prise son cellulaire avec elle. Elle porte une robe, un simple robe à bretelles noir et des fleurs dessus, une ceinture brune à la taille et des Tropéziennes aux pieds. Elle part du parc, lui aussi mais plus tard qu'elle. Elle est devant l'entrée du parc, elle voit Austin au loin, elle crie son nom, mais il est trop loin pour l'entendre. Le bouquet dans ses mains, la tête baissée, il se demande si c'est vraiment elle qui avait posé le papier dans son casier. Il n'entend pas les cris de la jeune fille derrière lui, il marche vite en direction de chez lui, alors qu'elle a du mal à passer entre tout les passants et à crier son nom, mais aussi à le rattraper. Il part vers lui, tandis qu'elle essaye de le rattraper, et puis d'un seul coup, elle le perd de vue, il avait simplement changer de trottoir.
23h56
Le téléphone de la jeune fille sonne encore, mettant une photo de lui et d'elle, visage collés en faisant une grimace, affichant donc le contact d'Austin. Cela fait le 15 unième appels de lui depuis plus de 2 heures. Quand, elle est rentrée chez elle, il y avait 5 appels en absences venant de lui. Elle n'avait changer son image de contact, voulant préservés toutes les photos qu'elle avait de lui et d'eux. Elle n'en a supprimée aucune, que se soit dans son cellulaire que dans son ordinateur. Elle avait même mit une sonnerie spéciale pour Austin, une chanson qu'elle adorait, leur chanson même, comme ça, elle savait directement quand c'était lui qui appelait. Et depuis deux heures, c'était le 15 ixième appel venant de lui, toujours la même sonnerie, elle ne décrochait pas. Elle ne voulait pas lui répondre, elle ne voulait pas entendre le son de sa voix, elle aurait envie de le voir en face et de l'embrasser, ce qu'elle ne pourrait pas faire en décrochant. Mais elle avait besoin de le prévenir.
Austin la rappelait une dernière fois et tenta de dormir, mais sa tête lui tournait. Il se releva en vitesse et l'appela, il se sentait pâlir, alors il laissa un bref message sur sa boîte vocale. Il savait que c'était la sienne, cela l'énervait et l'inquiétait qu'elle ne réponde pas. Elle n'avait pas changer de numéro, toujours le même message avant le signal sonore. Il déposa son cellulaire sur la table basse, se recoucha mais se relevait vite en sentant que quelque chose lui remontait dans la gorge. Dans les toilettes, il régurgita tout le repas du soir, sa mère qui passait devant, fut interpeller par les bruits bizarres venant de la pièce dans laquelle Austin c'était réfugié en vitesse. Elle reconnu les bruits et descendit en trombe cherchant les médicaments à lui donner. Austin ne voulait pas affoler ses parents, en particulier sa génitrice, qui se montrait très protectrice. Quand il a eu la varicelle, il ne devait pas aller a l'école pendant une semaine, mais sa maman voulait le garder auprès d'elle et être sûre qu'il ne retombe pas malade, alors il resta une semaine de plus à la maison, chouchouter par sa maman.
8h35
Elle s'inquiétait de ne toujours pas l'avoir vu passer devant elle. Il n'était pas arriver, il allait être ne retard se disait-elle pour se rassurer. Il était peut-être malade, ou alors il séchait comme dans le passé. Avant qu'ils ne se connaissent, il le faisait souvent, et puis de moins en moins tandis qu'il se rapprochait d'elle, tandis que durant les deux premières semaines ensemble, il faisait toujours. Elle le réprimanda et il ne le fit plus jusqu'à maintenant sûrement. Ou bien malade ou bien il séchait. Elle ne voulait pas demander à ses amies, qui la réprimanderait aussi. La sonnerie retentit, elle s'inquiète, se ronge les ongles une manie qu'elle avait perdue il y a quelques années de cela et qu'elle reprend là maintenant. Elle ne saura ce qui lui est arriver, pas avant longtemps.
La maman d'Austin a téléphoner à l'école pour les prévenir de son absence aujourd'hui et dans les jours à venir, il aura un certificat médical. Il se sent déjà mieux qu'hier soir, un petite nuit très agitée mais très reposante et guérissant. Il a encore la nausée et quelques fois les aliments repartent par la bouche, mais il ne passe plus son temps dans la cuvette des toilettes. Présentement, il est dans le canapé, dans les bras de sa maman qui ne veut pas le lâcher alors qu'il essaye de la décollé de lui. Il n'est plus en enfant, elle le sait mais trouve qu'il a grandit trop vite, que son fils chérit est devenu un grand maintenant et va devoir bientôt quitter la maison, elle le reverra moins souvent, ce qui lui tord le cœur, alors elle veut profiter de lui tant qu'elle la auprès d'elle. Austin aimerait que l'excuse que sa mère devienne malade si elle reste trop près de lui fonctionne, mais il la déjà testé il y a une demie-heure et elle n'a pas fonctionner. Il aimerait plutôt être dans les bras de cette fille aux yeux gris, comme une fois dans le passé.
Il avait été malade, la même chose que cette fois-ci, il était sur les genoux de cette fille, il était en boule contre elle, elle lui caressait doucement les cheveux, son regard protecteur. Il avait toujours aimé lorsqu'elle passait ses mains dans son cuir chevelu, que se soit lors d'un baiser ou comme ça, pour le plaisir. Il aimait aussi faire cela avec elle. Sentir ses cheveux glissés entre ses doigts, sentir l'odeur du shampoing fraîchement appliqué. Il aimait cela. Il a toujours aimé qu'on lui passe une main dans les cheveux, comme sa génitrice lui faisait lorsqu'il était enfant. Cette partie enfantine de sa vie lui manquait un peu, mais il a mûrit et est fier d'avoir prit conscience de beaucoup de chose.
19h20
Elle était chez elle et affoler. Elle n'avait plus eue aucun appel d'Austin depuis la veille au soir, il n'était pas venu à l'école aujourd'hui et elle ignorait les raisons. Elle voulait savoir, elle avait besoin de savoir pour se rassurer. Elle était en pleine crise de panique, elle commençait à avoir du mal à respirer et tant bien que mal, elle essayait de sa calmer. Si elle en prévenait sa mère, elle devrait donner les raisons, ce qu'elle ne veut catégoriquement pas. Elle avait la mine crispée, un sourire maladroit sur les lèvres lorsque ses parents l'appelait pour mettre la table. Elle descendît à pas de souris, prenant tout son temps pour se ressaisir et ne rien laisser transparaître devant ses parents. Cela était difficile de rester impassible devant eux, eux qui savaient avant tout le monde, eux qui en un regard te faisait avouer toutes les bêtises et péchés que tu as faits jusqu'à présent. Ils sont très croyants, catholiques qui vont tout les dimanches à la messe, emmenant avec eux leur fille qui voudrait restée chez elle a dormir, regarde des dessins animés et boire du chocolat chaud. Plusieurs fois, elle a réussit à ne pas y aller, mais cela ne marchait pas tout le temps. Maintenant, elle est plus libre, mais a l'obligation d'y aller au moins un dimanche par mois.
Elle dressa la table sous l'oeil interrogatif de son père, qui levait pour une fois ces yeux de son journal en sa présence. Ses parent étaient très affluents, l'homme dans la politique et la femme rédactrice en chef du journal. Tout deux, avaient une vie agitée, promus de plus en plus, augmentant en popularité, leur fille aussi devait faire attention à l'image qu'il renvoyait de leur famille, ce qui fait qu'Austin n'était pas bon pour elle mais surtout pour leur image.
Père: Que se passe-t-il ma chérie, tu trembles?
Elle: J'ai une grosse interrogation demain et je stress un peu.
Père: Quand dis-tu qu'après le repas, tu retournes étudier?
Elle ne pouvait que acquiescer. Dans sa famille, il fallait être la meilleure, surpasser les autres, piétiner les plus faibles. Ses notes ne pouvaient qu'être merveilleuses, il le fallait. Elle n'avait pas le droit à l'échec, qui dans sa famille, se situait à 70%. Il fallait pertinemment qu'elle réussisse partout, dans toutes les matières quelle quelles soient. Elle n'avait pas vraiment le choix non plus. Même si sa famille est dure, elle l'aime comme même. Sa mère est plus convaincante, et attentionnée que son père. Elle a toujours l'impression que son père n'a pas voulue d'elle mais que sa maman voulait la garder, alors c'est ce qu'elle a fait. Malgré que son père ne lui montre pas beaucoup d'intérêt, qu'il a un peu de mal avec elle, et est très dur, il l'aime. Il a juste du mal et a peur de ne pas être le bon père idéal. Une peur que beaucoup de parents ont, de ne pas être de bons parents.
Durant le repas, elle était un peu plus détendue, mais s'en voulait d'avoir inventée une interrogation pour échapper aux regards et à toutes les questions qui finiraient par la faire avouée. Elle débarrassa la table avec sa maman, mit dans le lave vaisselle. Elle mit une capsule dans la machine et la ferma le lave vaisselle, et appuya sur le bouton et retourna dans sa chambre. Elle ouvrit un de ses cahiers au hasard, ne faisant pas attention à la page et fit mine d'étudier en entendant des pas lourds dans les escaliers, ceux de son père. Elle sait reconnaître ceux de son père et ceux de sa mère, parce que ceux de son père sont plus lourds et lents tandis que ceux de sa mère sont plus légers rapides et moins sonores sauf lorsqu'elle porte des talons, comme à son habitude durant la journée. Son père toqua à la porte, en entend l'affirmation de sa fille, il ouvrit la porte, et la vit assise sur la chaise de son bureau, devant celui-ci, un cahier ouvert et simplement une lampe de torche allumée au coin de son bureau. Il fit un signe de tête à sa fille, comme approbation et partit dans sa chambre à lui. Elle souffla un coup, avant de regarder à quel page elle avait ouvert. Elle ria lorsqu'elle vu que c'était une des premières qu'elle avait due étudier, cette matière-là était finie depuis longtemps, elle la connaissait par cœur et n'avait donc pas besoin de se relire.
Elle alla se coucher quelques temps après, avec toujours l'inquiétude de ne pas avoir de nouvelle d'Austin. Elle s'endormit en pensant à lui et rêva même de lui. Quand à lui, il passa encore une mauvaise nuit, mais déjà meilleure que la précédente. Il espère pouvoir vite retourner sur les bancs du lycée, et de revoir le visage de cette fille à la chevelure brune ondulée tombant en cascade dans son dos frêle qu'il aimait tant caresser. Il n'attend plus qu'elle pour être heureux, parce qu'il n'y a qu'elle pour le rendre naturellement heureux, rien qu'à sa présence. Elle lui manquait terriblement à sa vie, à son cœur et à son bonheur.
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