PDV Joyce Wilson.

Le lendemain.

Je rentrai dans la villa, bras remplis de sacs. Ils étaient aussi gros les uns que les autres et d'autres étaient de petite taille. Je me suis permise d'allée faire un peu les boutiques, pour les visiter et s'acheter des petits souvenirs. Je refermais la porte,
avec l'aide de mon pied et partis dans la cuisine.

Joyce : - criant - Justin ?

Aucune réponse. J'haussais les épaules, tout en pensant qu'il était entrain de jouer à la console, ou il se lavait. Je rangeais mes courses que j'avais acheté en passant, car le frigo commençait à se vider complètement. Donc heureusement que j'avais intervenu, ou sinon Justin n'aurai jamais bougé.

Une fois cette action accomplit, je partis en haut, à l'étage pour ranger mes nouveaux achats. Plus je me rapprochait de la chambre et plus des bruits suspects se firent entendre. Je rentrais dedans, tout en ayant une rigueur et je fus surprise face au spectacle. Justin était sur Quincy et ils étaient en plein débat. Je lâchais mes vêtements et mis mes mains sur ma bouche. Les larmes commencèrent à monter.

Joyce : - gorge nouée - Tu n'es qu'un salaud...

Justin se retourna, à l'entente de ma voix brisée et fus surpris de me voir. Il pouvait l'être...

Justin : Je...
Joyce : - le coupant, attristée - Je ne veux rien entendre. C'est finit, Justin, je t'avais donné une semaine pour te racheter, mais tu as préféré laisser tomber.
Justin : Tu... Tu ne peux pas me faire ça.
Joyce : C'est toi qui a déclaré la guerre.

Je pris ma grosse valise, qui était rangée en dessous de mon lit ,pour la poser sur le lit. Je commençais à les ranger, tout en le désordre mais Justin me retint la poignet, pour m'empêcher de faire un geste de plus.

Joyce : J'ai envie de te gifler mais je n'ai pas la force, ni le courage.
Justin : Je suis désolé.
Joyce : Tu as été trop loin, Justin, tu as dépassé les bornes.

Une fois mes affaires rangées, je regardais Quincy, qui était enveloppée dans la couette et me tournais vers Justin.

Joyce : Maintenant fais ta vie avec cette pétasse  , je rentre.

Je quittais la chambre, grosse valise à mes trousses et traversais le palier, pour descendre les escaliers. Justin me suivait dans les escaliers, toujours à moitié dénudé. S'il essayait de me convaincre, il pouvait faire demi-tour.

Justin : Joyce..

Je me retournais, pour le regarder une dernière fois. Je ne pris pas la peine de lui appliquer un mot, que je quittais la maison.

PDV Justin Bieber.

J'étais anéanti.. J'avais perdu ma moitié et j'ai joué le con. Pourquoi j'étais retourné vers cette manipulatrice, alors qu'elle m'a menti ? Pourquoi je suis retournée vers elle, alors que Joyce est beaucoup plus attirante et plus gentille ? Joyce ne m'a jamais menti, enfin, j'espère.. Je passais mes mains dans ma chevelure et les tirais, tellement que j'étais contrarié. Comment j'allais faire pour la récupérer ? Cela va être dur...

Quand je sentis la main de Quincy recouvrir mon épaule. Je la repoussais violemment. Tout ça était de sa faute.

Justin : - dans un souffle - Dégages..
Quincy : Pardon ?
Justin : - haussant le ton - Dégages ! Tu as compris maintenant ?

Je passais à côté d'elle, tout en la regardant de travers. Je repartis dans la chambre, pour prendre ses sous-vêtements, afin de lui jeter en pleine figure.

Justin : Je ne veux plus te voir, tu es une garce.
Quincy : Pourquoi tu as fais ça ?
Justin : - serrant les dents - Tu étais juste mon vide couilles. Alors maintenant dégages !

Elle enfila son manteau, tout en me regardant ,en espérant que je cède, mais en aucun cas je pourrais lui pardonner. Elle quitta la maison et l'énervement commençait à monter d'un cran. Pris par le dépourvu, mes mains partirent vers la commode, où se trouvait pleins d'objets. Je renversais tout au sol et donnai un gros coup de poing dans la commode en bois et sensible, là où un petit trou se forma. Je tapais une seconde fois, et mon poignet transperça le trou, ou il s'aggrandit à cause de ma force. Quelques égratignures étaient dessinés parallèlement, jusqu'à mon avant-bras. Je tapais ensuite dans le mur, où une fissure se vit voir. Ma force était dans le sang, où elle se fit ressentir à travers mes gestes.

Tout ce qu'il me passait à travers mon esprit était des idées noires. Elle est partie me laissant seul ici, perdu et à prit une moitié de moi-même avec elle. Je me sentis tellement vide.. Je partis dans la cuisine, où je vis une bouteille de Vodka dressée sur la table. Je l'empoignais, la regardais attentivement et montais en haut, pour m'enfermer dans la salle de bain. Je partis fouiller dans les placards, où je trouvais des boîtes de médicaments. Je les pris en main, pour retirer la plaquette de l'emballage, afin de prendre quatre médicaments et de les passer entre mes lèvres. Je bus une gorgée d'alcool et la boisson brûlait ma gorge, tellement que c'était désagréable de le boire pure.

Je bus plusieurs gorgées ,avant que ma tête commençait à tourner. Je fermais les yeux, afin d'oublier cette sensation et de revenir sur la terre ferme. Mais je partis en arrière, comme si, j'allais perdre l'équilibre. Je réussis à me retenir au lavabo ,juste avant de faire une chute et mon regarde se pose instinctivement sur une lame, qui était brillante. Je partis vers elle, en titubant et l'attrapait. Je l'admirais ,tout en pinçant mes lèvres et ma main se rapprocha de mon avant-bras, remplit de tatouages. Une ligne se traça sur ma peau, et le sang se dissipa sur tout mon bras ,jusqu'à faire des tâches rouges sur le sol carrelé blanc. Je continuais de me mutiler, juste à temps qu'un voile recouvrit mes yeux. Je sentis que je tombais au sol et trou noir...

PDV Joyce Wilson.

Je courais dans les rues de Ibiza, pour retourner dans la villa. Je ne savais pas ce qui s'est passé dans ma tête pour que je le quitte comme ça. Il était entrain de me retrouvé et je lâche, juste pour une petite peste qui a planifié ses coups. Pourquoi suis-je jalouse d'elle, alors qu'elle n'arrive pas à ma cheville ? J'avais eu un moment de déclic, et je me suis dis que Justin ne me laisserait jamais tomber juste pour elle, mais la jalousie avait prit le contrôle et mon cerveau m'avait dit de partir sans explications. J'aurai dû écouter mon coeur qui me disait le contraire... Je fus arrivée devant la villa, où je me précipitai vers le poche. Ma main effleura la poignée de porte, là où j'hésitais à l'ouvrir. Un mauvais pressentiment remplissait mon corps. L'adrénaline avait fait surface, comme si je sentais quelque chose de surprenant allait se jeter sur moi.

Je soufflais et décidai de rentrer. Un silence régnait dans la villa, même une mouche était discrète. Je regardais autour de moi mais Justin n'était pas là.

Joyce : Justin ?

Je montais les escaliers, et parcouru le palier. J'allais vers la chambre, espérant le voir allongé sur le lit, mais malheureusement, il n'était pas là.

Joyce : - haussant la voix - Justin ?

Et là, mon regard se posa sur la porte de salle de bain. Quelque chose me poussait, pour que j'aille voir à l'intérieur. Je dérivait mon corps, et marchais lentement vers celle-ci. Je l'ouvris, et la poussai doucement. Quand elle fut ouverte, je fus effrayée de voir Justin, inerte sur le sol de la pièce. Du sang ,faisait une grosse flaque, en dessous de son bras et une petit lame se fit voir. Je me précipitais vers lui, pour ramasser l'arme qui était coupable, quand je vis, une boîte de médicaments et une bouteille d'alcool non loin de lui. Elle était vide, et je pouvais comprendre ce qu'il voulait faire. Mettre fin à sa vie à cause de moi.. J'ai été méchante, je le faisais souffrir et maintenant, le voilà évanouit.. Je pris son bras, pour le regarder et de grandes plaies étaient présentes. Je grimaçai ,en voyant qu'elles étaient profondes. J'arrachai un bout de mon t-shirt pour l'enrouler autour de son avant-bras, pour recouvrir ses plaies, afin d'arrêter le saignement. Je me baissais au niveau de sa bouche, où je l'ouvris légèrement afin de certifier, s'il respirait encore. Et c'était le cas. Je le retournai tout doucement, pour qu'il soit sur le dos et passai ma main sur sa joue.

Joyce : Je suis désolée, Justin..

Je me rapprochait de sa bouche pour poser mes lèvres sur les siennes. Je le savais que c'était stupide, mais j'espérais qu'il se réveille, comme dans les films romantiques. J'attendais malheureusement, à ses côtés, pour voir s'il se réveillerais dans les instants suivant. Mais aucun signe de vie. Je me sentais coupable s'il était dans cet état... À cause de cette jalousie, et je n'aurai jamais dû partir, car je le sentais qu'il allait faire une bêtise. Je le voyais bien dans son regard qu'il n'était pas bien. Mais j'ai préféré partir comme une voleuse et le laisser seul.. Si je pouvais revenir en arrière, je me serai expliquée.

Quand un miracle arriva, ses yeux s'ouvrirent doucement, clignèrent plusieurs fois avant de croiser mon regard qui était devenu scintillant.

Joyce : - souriant - Oh Justin !

Je le serrai dans mes bras, sans trop le brusquer et ni lui faire mal. L'odeur de Vodka envahirent mes narines et je le savais qu'il n'était pas dans ses états. Médicaments avec de l'alcool n'était pas très bon, et pouvait avoir des symptômes, ainsi des problèmes. Je me décollait de lui et le regardais dans les yeux. Je voulus l'embrasser, mais je me retins, car je me sentais coupable. Je me relevais, sans le lâcher des yeux, avant de lui rendre ma main. Il la regarda quelques instants, avant de la prendre, je mis toute ma force sur le côté pour réussir à le relever. Je passai ma main autour de ses hanches, pour l'aider à marcher, mais de temps en temps, il perdit l'équilibre. Je l'aidait, avant de l'asseoir sur une chaise de cuisine et je m'installais en face de lui.

Justin : - ayant du mal à parler - Pour... Pourquoi tu... Tu es venu me... Me sauver alors que... Que tu es la... La cause de mon accident ?... 
Joyce : - avalant sa salive de travers - Je... Je n'ai rien fais.
Justin : Ouvres les yeux merde ! Tu crois que c'est moi qui te fait souffrir, mais c'est toi. Mais tu ne te rends pas compte de tes actes.

Il fit voler le vase, qui était sur la table, dans le mur d'à côté de nous. Je sursautais quand je le vis répliquer ce geste, il serra le couteau qu'il avait dans sa paume de main.

Justin : Tu n'es qu'une petite pute ! Tu m'as pris juste pour le sexe, mais tu t'en fous de moi ! Tu sais ce que je fais aux petites salopes de ton genre ? Je leur fait du mal !

Il mit son couteau sous sa gorge, pour faire un trait, sans toucher sa peau,  comme s'il voulait me tuer.

Joyce : Arrête Justin, tu.. Tu n'es pas dans ton état..
Justin : Je suis parfaitement bien.

Il jeta son couteau, qui passait à ras de mon visage ainsi que ma chevelure et se planta dans le mur. Je me levais de ma chaise, en la laissant tomber et me reculait ,pour être loin de lui. Il se leva, tout en ricanant. Il se rapprocha de moi.

Justin : - riant légèrement - Tu voulais juste ma bite, salope. Avoues-le.

Plus les pas s'approchèrent et plus mes mains forcèrent pour tirer sur le couteau. Il se rapprocha de moi, tout en titubant et attrapa mon bras. Il commença à me le tordre, et je commençais à hurler de douleur. Je tombais à genoux, tout en lâchant des injures. Il déboutonna son jean, et je le regardai, les larmes aux yeux.

Joyce : - voix brisée - Tu... Tu fais quoi...
Justin : - se mordant la lèvre - J'ai envie de toi.

Prise de panique, je posais ma main libre sur sa jambe pour le repousser, mais il attrapa d'une main ma chevelure. Sans le voir venir, il me claqua la tête, contre le mur.

Justin : - serrant les dents - Laisses-toi faire et tout ce passera bien.

Je frottais ma tête, tout en étant à moitié sonnée et réussit à me relever, pour ne pas me montrer faible. Sous l'énervement, je lui donnai un coup dans la mâchoire. Je pris mes jambes à mon cou, pour partir en haut. Je fermai à clé et soupirais, en retenant mes larmes.

Joyce : Il n'est pas dans son état, il ne le pense pas...

Et là, Justin tambourina dans ma porte, tout en hurlant et m'insultant.

Justin : Ouvres cette porte petite pute ! 

Mon corps se mit à trembler et ma bouche s'ouvrait pour ne pas sortir de son.

Joyce : Non.
Justin : OUVRES !

Je soufflais un bon coup, pour lui ouvrir. Il rentra à l'intérieur, en trombe, afin de me faire tomber sur le lit.

Je regrettais ce que j'avais fait...