10
Louis - POV's:
J'embrasse mes sœurs, puis ma mère, mais elle s'écarte.
Elle n'est pas contente de moi depuis hier soir.
~~~~~~~~~~~~Flashback~~~~~~~~~~~~~~~
Je rentre à la maison, il est pratiquement 20h. Maman m'attend à l'entrée.
Lottie dit aux filles d'aller au premier. Elle regarde mon pantalon et est contente de ne trouver aucune tache.
Maman pleure.
- J'étais juste chez un ami pour récupérer mes devoirs de sciences. On s'est amusés aux jeux vidéos. Anton n'a pas fait de réapparition depuis hier soir. Je vais bien.
Je me détache d'elle pour la regardé, mais elle me fixe, la bouche ouverte, puis me donne une claque.
- Comment est-ce qu'elle s'appelle ?
- Quoi ?
- Tu sens..... le parfum de..... luxe et... le sexe. Tu sais que j'ai horreur des tromperies !
- Tu détestes ma.....
- Que je la déteste ou non, n'est pas la même chose que de tromper une femme ! Tu vas tout de suite arrêter ça !
Je hoche la tête.
- Plus convaincant, tu n'as pas ?
Je reste encore silencieux. Si je lui dis que j'étais avec un gars, elle va me mettre à la porte.
- Louis ?
- Je me priverais de tout ce que tu veux, mais..... mais s'il te plaît, ne me jette pas dehors. J'aime les filles, ne me les enlèvent pas. J'ai besoin d'elles. J'ai besoin de toi !
Je pleure, elle me regarde, blessée. Elle se tourne, dos à moi.
- Monte dans ta chambre !
Je touche son épaule, elle frissonne et part dans la cuisine.
- Monte dans ta chambre, je t'apporterai ton plateau !
- Je n'ai pas faim, merci.
Je monte, le cœur lourd.
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Je sors de la maison. Dans la voiture, Lottie et Fizzy prévoyent de manger ensemble. Elles me demandent si je mange avec eux. J'ai envie de changé de routine, alors je dis oui.
Arrivés au lycée, maman a envoyé un message, à Lottie, comme quoi, Tommy pourrait-il aller, avec elle, chercher les filles, à la danse.
Lottie frotte mon dos. Je les abandonne pour aller au toilette.
À peine je rentre dans les toilettes que je me fige. Je suis surpris par.... son regard. Non !! Son visage !
- L-Louis....
Je comprends ce qu'il veut, j'ouvre mes bras. Il fonce. Il pleure.
Je nous dirige vers mon toilette. Quand il a arrêté de pleurer, j'essuie ses joues de larmes. Je m'assois sur la cuvette et il s'assoit sur mes genoux, il est étonnamment léger pour sa taille.
- Qu'est-ce qui se passe ?
- Je.... Je suis triste.
- Qu'est-ce qui te rend triste ? Tu ne t'es pas coupé, au moins ?
Il reste la tête baissée.
- Tu t'es coupé ?
Il secoue la tête. Et je comprends qu'il en a eu envie, mais qu'il ne l'a pas fait parce que je lui ai demandé de ne plus le faire.
- Qu'est-ce qui se passe ?
Il s'effondre dans mes bras. Il pleure dans mon cou.
- Je ne ressens pas d'amour.
Quoi ?
Il s'explique. Son beau-père lui a envoyé un message où il lui disait qu'il l'aimait, mais il ne se sent pas digne de cet amour qu'il lui porte.
- Tu le mérites !
Il secoue la tête.
- Tu....
- Comment ta mère a réagit ?
- Elle m'a cru.
- Waouh. Ma mère m'aurait envoyé dans ma chambre, sans manger, me privant de jeux vidéos, portable et sortie. Enfin, comme je ne sors plus, maintenant, ça n'aurait servit à rien.
- Ma mère est cool.
- Ah, tiens.
Il fouille dans son sac et me tend une carte.
- Mais....
- Elle voulait absolument que je te l'a donne.
- OK.
Il colle son front au mien.
- Tu n'as pas mis de bandana, aujourd'hui ?
Il touche ses cheveux.
- Oh, je n'ai pas fait attention.
- T'a mis un sous-vêtement, au moins ?
- Pff, t'es bête.
Il se redresse et touche sa fesse droite, il est soulagé. Je ris. Il se met à bouder.
- Ça me donne envie de la mordre, dis-je en la touchant.
Il prend subitement mon doigt entre ses dents, il ne me fait pas mal, il s'amuse, puis.... il aspire mon doigt et le suce en me regardant avec un regard de luxure.
Je deviens immédiatement dur et il doit le sentir parce qu'il commence tout doucement à remuer son bassin sur mon érection. Sa respiration s'accélère, puis la sonnerie retentit.
- Oh, non !
- Là, on est dans la merde !
On s'embrasse et se lève, tire nos pulls gris et noir, pour cacher nos érections, puis on sort des toilettes. On court dans l'escalier. On va être en retard.
La porte est fermée. Merde ! On fonce et ouvre, mais c'est vraiment fermé.
Les élèves arrivent, parmi eux Niall et Perrie sont là.
- Hey, je ne peux pas mangé avec toi, ce midi. Jade a cassé avec son mec et ça ne va pas très fort.
- D'accord. Ce n'est pas grave, lui dit Harry
- T'es le meilleur.
- Pour sucer des bites, ouais.
Il ne dit rien. Perrie fusille de ses yeux bleus, Khan. Je baisse la tête. Combien a-t-il eu de mecs avant moi ? Il a l'air pro dans ce qu'il fait. Le prof arrive en courant.
Il ouvre la classe. On s'y engouffre pour deux heures de Maths. À la sonnerie, on sort tous épuisés. On a une pause de quinze minutes. Je vais dans les toilettes.
Harry me suit de près, mais il est interpellé par Perrie qui lui parle de sa copine et qu'elle mange bien avec lui, ce midi.
Je pars tout seul. Je prends mon portable.
Harry ⭐☀🔲🌈:
Va dans les réserves du gymnase, je t'y rejoins.
Je vais enfin pouvoir avoir du plaisir. Je crois que je suis accro. Avec.... elle, on ne le fait pas souvent, je n'aime pas le faire. À chaque fois, elle me griffe le dos. Il faut toujours que je me force à jouir. Des fois je n'y arrive pas. Ça m'énerve.
Pourquoi avec Harry, j'y arrive tout le temps ? On l'a fait deux fois et j'ai eu du plaisir rapidement !
C'est à ne rien comprendre !
Je me dirige vers la réserve du gymnase, quand je m'arrête et entends des gémissements de plaisir.
Putain !
Harry arrive, tout content, mais il voit ma tête.
- Putain de Cowell !
- Comment tu sais ? T'es sûr que c'est lui ?
- Bien sûr. Il n'a que ce prof débile pour se taper des lycéennes à peine majeure, dans le dos de sa femme, la Proviseure !
Je crois qu'il crie assez fort pour déranger les deux autres.
La fille blonde est toute décoiffée, elle replace son haut et sa jupe, correctement.
- Salut, le PD.
Je me tourne vers Harry. Il a la tête baissée, dos à moi. Même à distance, je peux sentir ses larmes qui menacent de coulées.
Le pauvre ! Tout est de ma faute !
- Je t'interdis de penser ça !
- Comment tu sais que.....
- Je ne sais pas. Je l'ai ressenti, dit-il l'air absent.
- Mais c'est vrai. Tout est....
- Putain, mais arrête. Je l'aurais fait un jour et le résultat serait le même, qu'aujourd'hui.
Les élèves arrivent.
- S'il te plaît, je ne veux pas qu'on se dispute. C'est..... S'il te plaît, dit-il avec sa lèvre inférieure boudeuse.
Harry se lèche les lèvres. Je le regarde, le regard sombre, avançant doucement en me redressant de tout mon corps.
- Fais-le, encore.
Il recommence. J'arrive à quelques centimètres de lui. Il est plus grand que moi, nous arrivons front contre front.
Je peux sentir son haleine et son souffle sur ma bouche. Je me mords la lèvre.
- Ça, j'aime bien, murmure-t-il.
Je le refais et Harry respire anormalement vite. Il se plie de douleur.
Quoi ? Qu'est-ce que j'ai fait ?
- Harry ?
Je pose une main dans son dos.
- Harry ?
- Écarte-toi de lui !!
Il m'est enlever de force, par Niall. Harry est emporté dans les vestiaires, mais il vide son estomac, au bord du terrain.
J'approche, mais Perrie me pousse en me fusillant du regard.
- Ne l'approche pas !
Khan me félicite et d'autres de la classe aussi. Je leur dis d'aller se faire foutre.
- Je l'emmène à l'infirmerie.
- OK ! Dit le prof de sport.
- T'inquiète pas, c'est rien, me dit Harry.
Je vois Perrie, lui chuchoté quelques choses à l'oreille.
Putain, mais qu'est-ce qu'il a eu ?
Je suis ailleurs, en cours de sport. Je n'attrape aucuns ballons que l'on m'envoie. Harry n'est pas revenu. Mais Perrie, oui. Harry lui a dit qu'il ne fallait pas que je m'inquiète.
Trop tard !
Je reviens après m'être changé. Je n'aime pas qu'on me regarde et qu'on les regarde surtout. Mes cicatrices et mes tatouages. Niall n'arrête pas de me regarder. Il m'en veut pour Harry.
Je ne sais pas ce qui lui est arrivé, mais je vais le savoir.
Je remonte vers le lycée, je me dirige vers l'infirmerie. J'attends devant.
Trente minute plus tard, je découvre que l'infirmerie est déserte. Pas de traces d'Harry.
Je lui envoie un message, il me dit qu'il est à la cafétéria. Je cours comme un fou dans les couloirs pour aller dans l'aile ouest du bâtiment.
Je rentre en claquant la porte, je suis essouffler.
- Mais où est-ce que tu étais ? Me demande Fizzy quand je m'assois.
Elles sont à la table d'Harry. Fizzy m'a fait un plateau avec plein de trucs que j'aime manger.
- Avec son amante, bien sûr ! Grogne Lottie.
Harry se raidit.
- Lottie.....
Fizzy fait signe de ses yeux, aux autres.
- L'ambiance à la maison est devenue cahotique depuis qu'elle sait que tu trompes ta copine. Tu sais qu'elle déteste ça et tu continues.
- Lottie, s'il te plaît....., essaye de la calmer sa sœur en riant nerveusement.
- Non, je ne veux pas me taire. Il faut qu'on reste tous soudés à cause de ce connard et toi, tu te barres, pendant toute une après-midi sans nous laisser de nouvelles pour prendre du bon temps avec une salope de riche.
Harry baisse la tête.
- Je suis désolée de sortir tout ça devant des inconnus, mais y en a marre. OK !
- Ce n'est pas des inconnus. C'est Harry, le frère de Gemma.
- Oh, c'est donc toi qui a eu l'accident de voiture. Je ne t'imaginais pas comme ca.
- Quoi ? Quand as-tu eu un accident de voiture ?
- En été. Ce n'est qu'un petit accrochage.
- Un petit accrochage ? Le devant était tout enfoncé, il n'y avait plus les deux portières avant et arrière du côté conducteur. Tommy a eu du mal à la retaper, mais elle roule bien, maintenant. Louis ?
Je regarde Harry qui baisse la tête. Perrie qui fait les gros yeux à Harry et Niall qui nous regarde tous en mangeant des petits-pois mélangé à..... de la purée.
- Tu l'imaginais comment ? Dis-je à Lottie, un brin énervé.
- Moins beau, moins craquant.
- Tu perds ton temps, il est gay, dis-je sur la défensive.
- Oh, c'est trop dommage, soupire Fizzy en regardant Harry, son menton posé sur sa paume de main.
Ça m'étonne qu'elle ne le sache pas déjà. Elle, qui rentre dans la tête des gens.
Harry sourit et rougit. Fizzy touche la jolie fossette d'Harry, en souriant.
Il n'y a que moi qui a le droit de le toucher !!
- Fizzy ! Arrête !
- Ça te gêne qu'il soit gay ? Dit Niall, énervé.
- Non, pas du tout. C'est juste que.... ça ne se fait pas.
- Parce qu'il est gay ?
- Non. Ça doit être gênant pour Harry. Harold ?
Je le regarde.
- Oui, dit-il en se raclant la gorge.
- Oh, désolée.
Fizzy lui sourit.
- Tu as un copain ?
Harry secoue la tête.
- Pourquoi tu mens ?
Ma sœur est un vrai détecteur de mensonge. Tout le monde à table, regarde Harry.
- Je.... On.... ne sait pas. C'est juste un truc sans importance.
J'ai l'impression qu'on me frappe dans le ventre. Je regarde Harry.
- O-on peut changer de sujet ? Dit Harry, très gêné.
- Hey, beau gosse ! Tu les emmerde tous ces homophobes de merde ! T'es qui tu es ! OK ?
Ouf !
Quand je la regarde, je me sens mieux.
- Qu'est-ce que t'a, l'emmerdeur ?
- Je suis désolé, lui dis-je.
Lottie et Fizzy se regardent, puis me regardent.
- Pour la mauvaise ambiance à la maison, mais je ne vais pas arrêter.
- Tu vas aller droit en enfer.
- Tu ne peux pas comprendre.
Je me lève pour partir.
- Pourquoi c'est quoi, le truc ? Elle suce mieux ? Elle baise mieux ? C'est ta grosse chienne ?
- Mon innocence ! Mon innocence ! Crie Fizzy.
- Lottie !!
- Mais dis-le, bordel !
- Je me sens mieux. Je me sens..... moi. Je n'ai pas besoin de me cacher avec..... C'est une explosion. De tout ! C'est..... Je me sens mal quand..... Je ne peux pas décrire ça ! C'est....... Putain !!! J'y arrive pas !!!
- En fait, t'es juste amoureux.
Je regarde Niall.
- Non ! Ce n'est pas ça ! Ce n'est pas de l'amour, c'est.... de la liberté.
Je regarde Lottie.
- Libre..... de tout !
Je baisse la tête. Lottie me saute dessus et Fizzy aussi. Je les serre dans mes bras.
J'ouvre les yeux, je ne vois pas Harry, ni Perrie. Niall nous regarde.
- J'adore, c'est trop mignon.
- Où est-ce qu'ils sont passés ?
- Zayn a appelé Perrie.
Harry est aux toilettes sûrement. Je regarde mes sœurs.
- Je vais aux toilettes avant d'aller en cours.
- Hey, Louis ?
- Oui ?
- Tu n'as pas toucher à ton plateau ?
- Non, p....
Avant même que j'ai fini ma phrase, il prend le plateau et commence à manger. Je secoue la tête.
Je me dirige vers les toilettes du premier. Je rentre. Harry est dans mon toilette. Je fonce dans ses bras.
Je l'embrasse en faisant attention à ma lèvre inférieure. Je n'arrête pas de la mordre et du mauvais côté. Je ne le sens pas bien.
- Qu'est-ce qui se passe ?
- Je suis encore un peu barbouillé. Je dois avoir pris un coup de froid.
- T'es sûr ?
Je touche son front.
- Tu n'as pas de fièvre.
- Un coup de fatigue, alors.
Je lui donne deux chastes baisers, puis ça finit en roulage de pelles à n'en plus respirer normalement.
- Ça va bientôt sonner !
- Je sais.
Je me lève, mais pas lui.
- Je dois.....
- Oh.
Il est mal à l'aise. Je touche sa lèvre inférieure qu'il vient de mordre.
- Je sais qu'elle est très grosse.
Je vais pour lui donner un baiser, mais je me baisse et embrasse son entrejambe.
Il rit nerveusement, puis je m'en vais. Je descends pour rejoindre la classe d'économie.
Je prends le couloir que je me sens projeter et coller au mur. Un poing vient vers moi, je l'esquive de justesse.
J'ai beaucoup appris avec Anton.
Il me regarde méchamment, me prenant par le col.
Qu'est-ce qui lui prend à lui ?
Harry - POV's:
- Hey, beau gosse ! Tu les emmerde tous ces homophobes de merde ! T'es qui, tu es ! OK ?
C'est déjà un bon point qu'elle ne soit pas homophobe.
- Qu'est-ce que t'a, l'emmerdeur ? S'adresse-t-elle à son frère.
- Je suis désolé.
Je tends l'oreille. Je n'y crois pas, il va sortir du placard.
Lottie et Fizzy se regardent, puis le regardent.
- Pour la mauvaise ambiance à la maison, mais je vais pas arrêter.
C'est déjà un bon point. Après ?
- Tu vas aller droit en enfer.
Aoutch !
- Tu ne peux pas comprendre.
- Pourquoi c'est quoi, le truc ? Elle suce mieux ? Elle baise mieux ? C'est ta grosse chienne ?
- Mon innocence ! Mon innocence ! Crie sa jeune sœur.
- Lottie !!
- Mais dis-le, bordel !
Je serre les poings.
Vas-y, Louis ! Je serais toujours à tes côtés, je te le promets !
- Je me sens mieux. Je me sens..... moi. Je n'ai pas besoin de me cacher avec..... C'est une explosion. De tout ! C'est..... Je me sens mal quand..... Je ne peux pas décrire ça ! C'est....... Putain !!! J'y arrive pas !!!
- En fait, t'es juste amoureux, dit Niall.
Mes yeux piquent et ne veulent pas se fermer pour s'humidifier.
- Non ! Ce n'est pas ça ! Ce n'est pas de l'amour, c'est.... de la liberté.
Mon cœur pète. Il n'est pas amoureux de moi, alors que moi.....
- Libre..... de tout !
Oui, libre de tout, mais pas de m'aimer. Je le savais de toute façon.
Perrie me prend la main.
- Zayn est là, dit-elle.
- Je vais me cacher, va le rejoindre.
- Mais.....
- Vas-y. Ça va aller.
Je me lève, regarde une dernier fois le câlin Tomlinson et pars me réfugier dans les toilettes.
C'est décidé. Je le fais, ce soir.
J'ai eu ma réponse non-formulée.
J'entends la porte s'ouvrir, puis se fermer doucement. La porte du toilette s'ouvre. Je donne mon meilleur sourire.
Il me fonce dessus et m'embrasse.
Merde ! Je n'arrive pas à faire semblant.
- Qu'est-ce qui se passe ?
Il l'a remarqué !
Ment !
- Je suis encore un peu barbouillé. Je dois avoir pris un coup de froid.
- T'es sûr ?
Il touche mon front, avec sa main douce.
- Tu n'as pas de fièvre.
- Un coup de fatigue, alors.
Louis m'embrasse deux fois chastement, mais ça vire à l'intense. C'est à en plus respirer.
- Ça va bientôt sonner ! Se détache-t-il en premier.
- Je sais.
Je reste assis, il me regarde.
- Je dois.....
- Oh.
Je suis mal à l'aise. Je suis entrain de le faire petit à petit, et il ne voit rien. Il touche ma lèvre inférieure que je la mords de nervosité.
- Je sais qu'elle est très grosse.
Il s'abaisse à moi pour m'embrasser, mais il descend plus au sud et m'embrasse l'entrejambe.
Je ris nerveusement. Il ne voit vraiment rien. Il s'en va en souriant.
Je suis désolé.
Je pleure.
Je sors des toilettes. Je me dirige vers la salle de cours. Ce que je vois me terrifie.
Je cours. Je m'interpose, mais je ne vois rien arrivé, le coup part, je tombe parterre. J'ai mal à la tête, j'ai le goût du sang dans ma bouche.
Je sens les mains de Louis sur moi.
- Dégage, connard, c'est de ta faute !
On me lève du sol. Je me sens groggy.
- Hey, ça va ?
- Où est Louis ?
- Je vais bien.
Je touche ma mâchoire, un liquide coule un peu de ma lèvre. Je saigne.
Super ! Qu'est-ce que je vais dire à maman ?
- Je suis désolé, mec.
- Ça va. Mais qu'est-ce qu'il t'a prit de faire ça ?
- Quand Niall m'a dit que Louis t'avait agressé avant le cours de sport et que t'a dégueulé après, j'ai failli venir tout de suite au lycée.
- Quoi ? Mais non, ce n'est pas Louis. J'ai mal digéré mon petit-déjeuner.
- Mais le front contre front ?
- O-on s'amusait, c'est tout, répond Louis.
Liam m'entraîne plus loin.
- Je sais que t'es en crush sur lui depuis trois ans. Il est hétéro, il ne t'aimera jamais. Je suis désolé de te dire ça, de façon brusque, mais c'est la vérité.
- Je sais.
Le prof arrive, ça sonne, on entre. En route pour deux heures d'économie.
Pendant le cours, Louis me regarde, mais moi, je reste concentrer sur le cours.
Puis vient la pause. J'évite Louis. Je vais le faire après, parce que si je le fais maintenant, ça va être trop dur après.
En cours d'art, je me focalise sur mon travail. Je ne regarde pas Louis, qui est juste à côté de moi. Il sait qu'il se passe quelque chose.
À la fin des cours, Louis m'appelle alors que je me dirige vers l'abri bus.
- Harry ?
Je me retourne.
- Qu'est-ce qui se passe ?
- C'est fini.
- Quoi ?
- J'ai entendu ce que tu as dis, tout à l'heure.
- Oh !
- Je suis amoureux de toi. Je suis amoureux de toi, Louis. Je sais que tu ne m'aimes pas de la même façon que moi. Tu pourras retrouver la sérénité dans ta famille. Je suis désolé d'avoir créée la discorde dans ta famille. Je.... Tu demanderas à Bruher de changé ton binôme ou bien, je le ferais, demain matin. Je te souhaite une belle vie. Et si t'a besoin d'aide avec Anton, je serais là.
- Tu m'as promis de ne pas m'abandonner ! Je t'en prie, ne pars pas.
- Est-ce que tu m'aimes ?
Silence.
Silence.
Silence.
Je me retourne et pars vers l'arrêt de bus. Louis est resté debout jusqu'à ce que le bus s'en aille.
J'ai mal !
J'ai mal au cœur !
Je n'en peux plus !
Je descends à mon arrêt. Zayn aussi. Je me sens heurter le sol. Il me frappe.
Dans le ventre. Rien que le ventre. Puis un crachat. Sur la joue. Et il écrase sa chaussure sur ma joue pour étaler le crachat.
- Bises à ta maman, PD !
Je me relève, puis je rentre chez moi. Maman n'est pas rentré, heureusement.
Je vais dans ma chambre, je jette le pull de Louis dans la salle de bain.
Je m'écroule en larmes sur mon lit.
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Sam(i) 💚💙
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