Tome 2 - Love 01

Tome 2 - S'aimer et plus si affinités ! 

Chapitre 01 - Aller de l'avant !

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Cela fait un mois, que nous habitons chez Pauline et Fred. Les travaux pour notre appartement avancent bien, même si, j'aurai préféré que ça aille plus vite encore, tant il me tarde que nous puissions vivre notre amour sans devoir se restreindre, que ce soit en acte ou en parole. Violette et Loïs adorent autant ma compagnie que celle de Lola, et c'est marrant comme les binômes se sont formés.

Loïs et Lola contre Violette et moi.

Ils ont développé une vraie complicité, et Loïs qui râlait souvent, parce qu'il avait du mal à se faire comprendre ou entendre, face à ma Violette débordante de vie et de paroles, il a trouvé une alliée de choix en Lola. Elle l'aide à s'exprimer, prend le temps de lui expliquer les choses et reste en toutes circonstances calme.

Et mon amour pour elle grandit de jour en jour.

Je ne lui en ai pas encore parlé, mais un jour, j'en suis certain, Lola deviendra ma femme et portera mes enfants. Mais pour que cela arrive, nous devons travailler, avant de retourner à nos études afin de les terminer.

Enfin, dans l'absolu, c'est ce que l'on a toujours planifié.

L'idée de Lola me trotte dans la tête depuis quelques jours. Elle s'est prise d'affection pour la vieille dame, qui tient la seule épicerie du village, et passe souvent du temps avec elle. Lola trouve qu'elle ressemble à sa grand-mère avec qui elle était très proche et qui est morte, quand elle était gamine. Je dois dire que ce sentiment de tendresse est largement partagé par Rose.

Aussi depuis une semaine, après avoir déposé Violette à l'école, Lola passe me voir au café, où j'ai trouvé un boulot, certes on est loin des cocktails et fêtes démentes avec DJ, mais je m'y sens bien et j'ai la pleine confiance de Gaston, le gérant et de la patronne, qui n'est autre que Rose. Donc tous les matins, Lola vient prendre son petit café et manger un croissant, avant qu'on ne fume une clope. Ensuite, elle rejoint Rose et lui donne un coup de main à la boutique. Elle adore se rendre utile, et là en plus, elle se régale, comme elle me dit : elle a l'impression de jouer à la marchande. Et comme c'est Lola et qu'elle ne fait rien sans un supplément de folie, elle a déjà tout un tas d'idées pour améliorer le commerce de Rose.

Il est 09 h 00, et nous sommes assis à la terrasse, autour d'une table en fer forgée qui aurait besoin d'un bon coup de peinture. Lola termine de manger son croissant, et me parle de ce qu'elle va faire, comme modification à l'épicerie aujourd'hui.

— On en a discuté avec Rose et elle me laisse carte blanche, depuis que mon arrangement et classement du rayon goûter, ont fait grimper les ventes de plus de 10 % en une semaine.

Je souris face à son enthousiasme, car Lola s'en fout, qu'il n'y est pas des dizaines de personnes à l'heure qui viennent à la boutique, nous parlons de l'affluence d'un village et non de celle d'un supermarché, mais Lola est comme ça et est à fond comme si c'était le cas. Et là elle m'expose sa dernière idée pour savoir ce que j'en pense :

— Je vais récupérer le vélo qui traîne dans le garage de Fred, le repeindre dans un beau bleu et ensuite, il m'a dit tout à l'heure qu'il pourrait me fixer sur le garde-boue avant et sur le porte-bagages arrière, deux paniers métalliques, comme ça, je pourrais livrer leurs courses à ceux qui ne peuvent pas se déplacer.

— C'est une super idée ça ma puce !

— Merci Cam' ! C'est en apprenant que Madame Dullot était malade, qu'hier, j'en ai eu l'idée.

— Tu vas faire des heureux avec ce genre de services, et tu vas te muscler les cuisses en un rien de temps. Ça sera nickel, comme ça, tu pourras encore mieux me suivre dans les randonnées.

— Et même pour le jogging, qui sait...

— Hum... Toi, tu as une idée derrière la tête !

— Et pas qu'une, me balance-t-elle avec un sourire coquin. Tu finis à quelle heure ?

— À 13 h 00 !

— Je passe te prendre, alors ! Travaille bien mon amour, à tout à l'heure.

Lola m'embrasse fougueusement sous le regard des anciens qui sourient face à cette boule d'énergie qui est ma petite amie.

— Elle doit faire de toi, ce qu'elle veut, m'annonce Gaston en se marrant.

— Oh oui, et je suis plus que consentant !

— Que c'est beau d'être jeunes...

— Henriette, je suis sûr que vous deviez faire tourner la tête de tous les hommes.

— Allez ne dit pas de bêtises et ressers-moi un verre de rosé va !

— Avec plaisir madame.

Henriette rougit face à ma remarque et m'offre un beau sourire. En plus, c'est vrai, elle devait vraiment être belle. Quand je vois, son joli visage, même recouvert de rides et fatigués par le nombre des années passées.

Je termine avec un peu de retard, et Lola m'attend, appuyée contre la carrosserie de sa voiture, les bras ouverts, les mains posées sur le capot, les yeux fermés, elle s'offre au soleil.

— Je dois aussi être jaloux du soleil, maintenant ? Ça devrait être interdit de t'offrir ainsi. Hum... Tu es belle, tu sens bon et tu es tellement désirable, ajouté-je en picorant son cou.

— Tu es tellement en manque que je pourrais porter un sac, et que tu me désirerais, se marre-t-elle.

— Certainement... Mais là tu es en robe, et tu es magnifique, et si je n'avais pas peur pour le cœur des petits vieux du bar, je t'aurai prise, ici, sur le capot.

— Ah, ah ! Allez monte !

— Tout ce que tu voudras, tant que je finis en toi !

— Quel romantisme ! s'amuse-t-elle en levant les yeux au ciel.

— Mais je peux être romantique et te baiser en même temps ! L'un n'empêche pas l'autre. Gare-toi, tu vas voir !

— Hum... C'est tentant ! Mais non, rigole-t-elle.

— Tu es en mode chipie, on dirait bien !

— Pas plus que toi, me taquine-t-elle en m'offrant un clin d'œil.

Si elle savait, tout ce que j'ai envie de lui faire.

Je suis carrément en manque de son corps, de ses caresses et de temps passé à deux. Entre le boulot, les gamins de ma sœur et les travaux de l'appartement, je n'ai pas beaucoup de temps à lui consacrer et en plus on doit être discrets, vu que notre chambre est celle à côté des petits. Nous squattons la chambre de Loïs, qui pour le coup, dort dans la chambre de sa sœur.

Niveau intimité on fait mieux, mais on ne va pas se plaindre.

Heureusement qu'on peut vivre ici, ça nous permet de passer plus tranquillement cette année sabbatique en mettant de l'argent de côté, même si nous participons aux frais de la maison, aux factures et à l'achat des courses, c'est incomparable avec ce que nous aurait coûté un logement en ville. Alors, on serre les dents et je mets les bouchées doubles pour terminer notre appartement dans la partie annexe de la bâtisse.

Mais là, cet après-midi, pas de travaux, pas de gamins. Juste nous.

On est juste tous les deux dans sa voiture et ne sachant pas ce que Lola a prévu, je préfère prendre de l'avance. Ma main se pose sur sa cuisse recouverte d'un bas. Elle est comme moi et les préfère aux collants, c'est tellement plus sexy. Je sais donc, qu'en remontant ma main, je vais trouver la dentelle du bas maintenu par le porte-jarretelles. Rien que la vision et le toucher de ses dessous me rend dur et impatient.

Lola sourit face à mes caresses sur sa jambe.

— Bas les pattes Cam' !

— Tu n'as qu'à pas être aussi bandante.

Ma main continue de remonter sous sa robe, alors que Lola resserre ses cuisses.

— Tu crois que tu vas m'arrêter comme ça ?

— Cam' ! Tu ne veux pas attendre qu'on soit arrivé, gémit-elle. Hum... Je... Conduis...

— Contrôle-toi ma puce, parce que je ne peux plus attendre.

Je jette tout de même un coup d'œil à la route. Mais Lola gère bien, et même très bien au vu des caresses, que je prodigue à son intimité.

— Tu as été très forte ma puce, admets-je en la voyant se garer.

— Je n'en peux plus ! Et j'ai trop envie de toi.

Je tourne la tête des deux côtés et ne vois pas vraiment où elle avait envie de nous emmener.

— Un parking ? C'était ça ta destination ?

— Non ! couine-t-elle. Mais je sais que je ne pourrais pas tenir une minute de plus, sans te sentir en moi. Alors si on commençait ici !

— À tes ordres mon cœur, me marré-je en la voyant aussi à cran que moi.

Je recule au maximum le siège, pour nous offrir le plus de place que l'on peut en espérer trouver dans une voiture. Mais rien ne pourrait arrêter Lola quand elle est à ce point frustrer. Elle me retire mon tee-shirt en l'arrachant presque, défait mon jeans et tire sur la ceinture pour le faire descendre. J'attrape ses mains au niveau des poignets, et lui dis calmement :

— Laisse-moi faire ! Tu es tellement excitée que tu pourrais te faire mal dans ta précipitation.

— On se demande à qui la faute ! grogne-t-elle d'impatience.

Lola enjambe le levier de vitesse, afin de me rejoindre sur le siège passager, de me chevaucher et m'offre une vue imprenable sur son intimité luisante, tant elle est émoustillée. Je ne peux pas résister, de glisser ma main entre ses jambes ouvertes, alors que sa cuisse gauche se situe à côté de ma jambe, tandis que l'autre est encore en appuie sur son fauteuil. L'équilibre est périlleux certes, mais ce grand écart est bien trop tentant. Mes doigts glissent de ses lèvres gonflées à son précieux, la surprenant au départ, mais Lola ne fait rien pour m'arrêter, tant elle est à bout et ne retient pas ses gémissements à la limite de cris, tant elle doit se retenir à la maison.

— C'est ça ! Lâche-toi ma puce. J'aime t'entendre crier ton plaisir, tu es si sensuelle...

Ma bouche capture son téton durci si proche de moi, qu'il pourrait me faire loucher. Mes dents le mordillent à travers le tissu, alors que les jambes de Lola commencent à trembler, je sais qu'elle est proche, mais j'ai peur qu'elle se fasse mal quand elle va jouir, alors je la repousse sur son siège, sans retirer mes doigts enfoncés dans son intimité. J'accélère mes va-et-vient, Lola respire fort, resserre ses mains sur mon bras, puis le relâche avant d'agripper ses seins, sa tête se secoue de droite à gauche tant elle est ravagée par le plaisir, mais elle s'est tellement crispée qu'elle n'arrive pas à la délivrance. Elle me regarde en détresse me priant de faire quelque chose pour elle, alors je me penche pour lui lécher son clitoris gonflé de plaisir, elle se tord dans tous les sens, et plus elle se crispe et moins sa jouissance arrive, je tente d'aspirer son clitoris, de le lui sucer, de lui mordre, elle devient folle de plaisir, mais commence à perdre de l'énergie tant elle se tend. Je retire mes doigts et elle me fusille du regard, mais quand je la soulève, la prend dans mes bras, l'embrasse et la pénètre en une poussée forte et brutale, elle éclate, jouit et hurle son plaisir en se cambrant en arrière. Ses contractions vaginales sont démentes et je peux en mesurer l'intensité de son plaisir. Je ne peux refréner mon envie de me mouvoir en elle, tant sa délivrance est contaminante. Lola accompagne mes va-et-vient avec une vitesse élevée et m'encourage à la prendre encore plus vite, encore plus fort.

Nous décollons ensemble, bouche contre bouche, nos souffles erratiques nous secouant, nos cœurs tambourinant tellement fort qu'ils pourraient se toucher, nos gémissements accompagnant notre jouissance, je bloque le dos de Lola de mes bras tant j'ai besoin de la sentir au plus proche de moi.

Nous ne formons qu'un...


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Nous voilà repartis dans ce tome 2 avec Cam' et Lola qui découvrent cette nouvelle vie à la campagne ! Une vie dans laquelle, ils doivent prendre leurs marques !

Des travaux pour qu'ils aient leur propre appartement, et Cam' qui pense à leur avenir. Voilà un bon début 📍💖🤔

Forcément en attendant,  ce n'est pas l'idéal niveau intimité 😳😞 

Mais nos deux tourtereaux ne vont pas s'arrêter à ça. Il y a tellement d'autres endroits 😁😂 

Alors, ça serait mal les connaître, que de les cantonner à leur chambre 😉🔥

À demain, pour un nouveau chapitre tout aussi...

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On se retrouve sur la planète wattpad, pour répondre à vos commentaires ou pour vous lire à mon tour !

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Bonne soirée mes Cam'Love, je vous kiss 😍😘

Kty. Auteure 🌸💖

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