Chapitre 4 : The moment of truth part 2
Bonjour, Bonsoir mes petites galettes des rois,
Aller, je continue ma petite traduction avec ce quatrième chapitre de cette fiction. Dans ce chapitre l'autrice essaye de faire des point de vu à la première personne et troisième personne. Elle change beaucoup de point de vu mais ne vous en faites pas se sera écrit.
Aller je vous laisse avec ce chapitre
bonne lecture,
La traductrice
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Chapitre : le moment de vérité, partie 2
— Jarvis, c'est Steve Rogers. Laissez-moi entrer si-vous-plait.
" Navré, M. Rogers, M. Stark m'a dit qu'il ne voulait laisser personne entrer sans sa permission, aujourd'hui."
— Oh, doux Jésus. Jarvis, il est dans mes bras.
Jarvis reconnut l'amure de Iron Man et les laissa entrer. Steve pénétra dans la pièce et plaça Tony sur le canapé. Il déposa son bouclier sur le sol. Il glissa doucement ses doigts sur les égratignures du visage de Tony.
— Comment puis-je te faire sortir de ça ? Se demanda Steve à voix haute
« Voulez-vous que je désactive l'amure, monsieur ? »
— Oui, si vous plait, Jarvis !
Point de vue de Steve :
Dieu soit loué, l'amure s'ouvrit. Parfois j'oubliais ce que ces choses technologies pouvaient faire.
Je le pris dans mes bras, une fois encore, et je m'avançai vers sa chambre. Alors que je pénétrai à l'intérieur, je me rendis compte comment cela pouvait être intime et comment l'ambiance de la chambre pouvait être cozy malgré le caractère du propriétaire.
Je le déposai doucement sur le lit et j'attendis sagement de voir si il allait se réveiller. Désormais, je le voyais en train de respirer et je laissai tomber quelques larmes de soulagement.
— Aller, Stark, réveille-toi. Si te plait, je t'en supplie.
Je n'arrivai juste plus à garder mon sang-froid et je commençai à pleurer, beaucoup. Je cachai alors la tête dans mes mains et je laissai mes larmes tomber. Cela faisait longtemps que je n'avais pas pleuré de la sorte. Je ressentis un point dans ma poitrine et ma gorge était serrée à cause de mes pleures.
Et puis soudain, je sentis quelque chose sur mon bras. C'était lui. Tony. Il s'était réveillé.
— Pourquoi pleures-tu, Cap ? Demanda une voix faible mais cela était une preuve qu'il était en vie.
— Pourquoi ? Tu m'as foutue une de ces peur ! Dis-je en essayant de récupérer mon souffle.
— Je vois. Tu es en train de jurer et tout le tralala. C'est toi qui me fais peur !
Je savais qu'il essayait de me remontrer le moral mais de le voir dans cet état, était juste trop dure pour moi.
— Bon, tu as besoin d'une douche et de manger quelque chose. Je vais cuire quelque chose pour toi.
— Non, vraiment Cap, tu n'es pas obligé. Tu en as fait beaucoup pour moi. Je peux prendre soin de moi-même.
Il essaya de se relever mais il gémit de douleur et posa sa main sur son abdomen.
— Ouais, bien sûr. Aller, laisse-moi t'aider.
Je passai doucement mon bras autour de sa taille alors que lui passa son bras autour de mon épaule.
—J'arrive pas à croire que Captain America me prote, dit-il en riant comme à son habitude.
— Donc, tu serais ravie d'apprendre que je t'ai porté comme une mariée pour venir ici ?
Et là, je pouvais apercevoir qu'il avait baissé les yeux en train de rougir.
— Et bien, j'ai fait rougir Tony Stark, ris-je. Bon allons-y. Allons prendre cette douche.
Oh mon dieu, avais-je vraiment dit ça ? Me voilà, maintenant celui qui était embarrassé.
Fin du point de vu de Steve.
Steve porta alors Tony vers l'immense salle de bain. Il le fit s'assoir sur l'évier et l'aida à lui enlever son t-shirt. Il était un peu timide mais à sa grande surprise il était à l'aise.
Tony ne pouvait pas s'arrêter de fixer ces yeux bleus qui étaient remplis d'inquiétude.
— Désolé, d'avoir ruiné cette victoire. Tu devrais aller célébrer avec les autres, tu es leur leader, et un bon leader, dit Tony.
Steve semblait surpris. C'était bien la première fois que Tony le complimenta comme cela et ce fut un délice de l'entendre dire.
— Un bon capitaine ne laisse aucun de ses hommes derrière, répliqua Steve.
Il eut un silence étrange et ils se regardèrent pendant un long moment. Des yeux bleus venant à la rencontre des marrons.
— Tu t'es vraiment blessé, dit Steve venant frôler les marques sur le visage de Tony sans quitter son regard des yeux.
— Je vais prendre ma douche maintenant.
Tony se redressa et manqua de tomber. Heureusement pour lui, Steve le rattrapa.
— Il est hors de question que je te laisse seul. Je vais t'aider, aller.
Steve avait dit ces mots avec une certaine assurance mais au fond de lui il était en train de paniquer. Soudain, tout ses sentiments le submergèrent et il pouvait dire qu'il avait des « papillons dans le ventre ».
Tony était mal à l'aise. Il se rendit compte qui avait des sentiments pour l'homme blond devant lui. À chaque touché, Tony eut des frissons tout le long de son corps. C'était évident que le blond ressentait quelque chose aussi. C'était donc pour ça qu'ils agissaient différemment ces derniers temps.
— Puis-je t'aider ? Demanda Steve.
— Ok ... Je crois. Fais juste attention à mon arc-réacteur.
Tony déboutonna alors son pantalon. Steve avait toujours ses mains autour de sa taille. Elles étaient fermes et douces. Tony essaya de chasser ses pensées car il ne voulait gâcher ce moment avec des idées inappropriées. Le génie ressentait la douleur dans son corps même avec les gestes doux de Steve.
Le Captain vit Tony qui avait du mal à retirer son pantalon alors il l'aida ce qui les fit rougir tout les deux. Et puis il l'aida à rentrer dans la douche sans retirer sa main autour de sa taille.
— Cap, ton uniforme.
Steve était tellement inquiet et préoccupé par Tony qu'il n'avait pas réalisé qu'il portait toujours l'uniforme de Captain America.
Il l'enleva et entra sous la douche rejoignant Tony.
Point de vu de Tony :
Parfait, je viens de découvrir que j'avais le béguin pour Captain America et la première chose qu'on fait c'est de prendre une douche ensemble. Chaque centimètre de mon corps était douloureux mais en regardant le corps de Steve cela enlever un peu la douleur. Son corps était comme une sculpture, son visage était incroyablement parfait même après une bataille. Il m'aida alors à me laver le dos. Nous étions tout les deux en sous-vêtements.
Je dois me crontrôler
Steve m'aida à me doucher et une fois fini il m'aida à marcher vers ma chambre.
— Merci.
— Ne me remercie pas. Je m'inquiétais pour toi.
Ces mots m'apaisaient et me faisaient doucement fermer les yeux. Ma tête tournait mais je ne sentais plus la douleur dans mon corps.
Je me rhabillai alors.
— Tu peux emprunter mes vêtements si tu ne peux pas rentrer chez toi dans ton uniforme. Dis-je même si j'appréciais la vue de son corps mouillé et de son boxer avec le drapeau américain qui était mouillé aussi.
— Rentrer ? Rit-il. Je ne comptais pas rentrer. Je reste avec toi pour être sûr que tu ailles bien. Peux-tu au moins envoyer un message à Fury pour dire que tu es sain et sauf ?
— Fury et toi vous vous entendez mieux que lui et moi.
— disons que j'ai franchi une limite, dit-il.
Qu'avait-il donc fait ?
Fin du point de vu de Tony.
Steve enfila alors un boxer et un t-shirt qui appartenaient à Tony. Il ne pouvait pas mettre un pantalon car il ne rentrait pas dedans. Donc il décida de rester sans pantalon ce qui donna des difficultés à Tony à ne pas regarder le corps du blond.
Ils dînèrent et partirent se coucher.
— Tony, laisse-moi m'occuper de tes blessures sur ton visage, dit Rogers en entrant dans la chambre avec un kit de premier secours.
Il s'assit alors sur le lit aux côté du burn.
— Je ne suis pas un enfant (**), dit Tony se sentant embarrasser en passant sa main sur son visage.
Steve sourit. Oh son sourire ! Tony ressentit quelque chose qu'il ne pouvait pas l'expliquer en le voyant. Ce sourire était presque de la pornographie pour de simples yeux d'être humains.
Alors que Steve était en train de soigner ses blessures, il regarda Stark qui profitait de chaque geste que le blond faisait sur sa peau. Tony était beau, charmant ce qui expliquait que Steve eut besoin un peu plus de temps pour soigner la lèvre du brun. En effet, il ne se l'avouerait pas mais il avait envie de l'embrasser. Des frissons l'envahirent alors de la tête aux pieds, il se figea.
Tony posa son regard sur lui et il le vit fixant ses lèvres.
« Je l'ai presque perdu. Presque perdu avant même que je puisse être avec lui » se dit Steve.
Les pensées de Steve lui reviennent en mémoire et il eut peur lorsque il se rendit compte que Tony avait sa main sur le visage du blond.
— Ça va, Cap ?
Tony savait que qu'il y avait parce que lui aussi pour le ressentir. Rogers baissa alors les yeux. Il avait honte et il rougissait.
— C'est bon, vas-y, dit Tony qui avait maintenant une main sur son bras.
Steve le regarda étonné.
Tony venait finalement de dire ce que ces deux derniers voulaient.
— Vas-y, embrasses-moi.
(**) Bon je me suis permis de changer quelque chose. Dans le texte orignal Tony dit qu'il a l'impression de se sentir comme une petite fille quand Steve voulut s'occuper de lui. Hors j'ai trouvé cette phrase un sexiste. Donc j'ai préféré changer en mode je ne suis pas un enfant. Qui est l'idée principale mais moins genré. J'espère que vous me le pardonnerez.
Et voilà, le chapitre est fini. J'essayerai de vous mettre la suite dimanche prochain au plus tard.
Bonne semaine, bonne journée, bonne soirée.
La traductrice.
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