chapitre 20 : rencontre et rangement
Pdv Elsa.
Je garais ma moto devant le manoir et entrais en enlevant mon casque. Astrid apparut comme par magie mais je ne lui dis rien et passais comme un coup de vent. Elle comprit le message et ne me posa aucune question. La marque rouge sur ma joue devait avoir eu son rôle à jouer...
Tout le monde s'écartait tandis que je montais les escaliers jusqu'au bureau du boss. Je ne pris pas la peine de frapper et entrais en faisant claquer la porte.
Il ne sembla pas surpris et reprit une gorgé de son verre de vin, sûrement à des prix impensable. *ce que tu ne pourra jamais te payer*. Je l'ignorais et m'assis immédiatement sur l'un des fauteuils, puis, le boss vient me rejoindre.
"J en déduis que soit, ton exposé c'est très mal passé, soit tu as eu des problèmes en cours de route...
- Deuxième proposition. Des Dragons et..."
J'hésitais à lui en parler. Même s'il est comme un père pour moi, il doit superviser énormément de choses, et mon petit problème fraternel allait seulement lui faire perdre son temps.
"Ta soeur ? M'interoge-t-il.
- Oui... je froncais les sourcils et l'interogeais du regard. Mais comment avez vous devinez ?
- Tu es toujours torturée quand ça à un rapport avec elle, tu tape du pied et te mord la lèvre.
- Vous avez raison, soupirais-je, en colère que ça m'affecte et que ça se voit autant.
- Et bien, explique moi ! Me sourit-il."
Je pris une grande inspiration avant de prendre la parole, la scène se rejouant devant mes yeux.
"Dès que j'ai pris ma moto, je me suis faite suivre, par des Dragons. Avec l'aide de Tadashi, j'ai réussi à les semer. Et puis, quelqu'un m'a tirée dans une ruelle. Elle..."
Flash Back
"Tu n'as rien à dire ? Me demanda la rousse en face de moi.
- Qu'est-ce que je pourrais bien avoir à te dire ? Je m'en serais très bien sortie toute seule ! Crachais-je en lui lancant un regard noir.
- Ça m'en a pas eu l'aire ! Si tu n'avais vraiment pas eu besoin d'aide, tu les aurais sûrement semés depuis longtemps... même si j'en doute fort, sourit-elle froidement."
Je serais les points en pensant que c'était bien la seule expression que je pouvais voir sur le visage de ma soeur depuis que je l'ai revue.
Ses sourires froids qui vous donnent des sueurs froides, ses yeux qui vous lancent des éclaires et en même temps, de vous geler sur place et sa posture non chalante qui vous montre que vous n'êtes rien ou bien juste insignifiant pour elle.
Je voudrais tellement la revoir sourire, avec ses yeux rieurs et ses bras grands ouverts.
"On ne m'a jamais interdit de jouer un peu avec l'ennemi... répliquais-je.
- T'es encore plus conne que ce que je croyais ! Papa et maman t'ont décrite de bien des façons, mais ils n'ont jamais dis sucidaire ! J'ai encore plus honte d'être ta soeur ! Déjà que tu n'es qu'une fille irresponsable et fuyarde, maintenant suicidaire ? Je ne deviendrais pas comme toi ! Même si tout le monde dit qu'on se ressemble, je ferais tout contre ! Je n'abandonnerais pas ma famille ! Elle pourra toujours compter sur moi ! JE NE SERAIS JAMAIS COMME TOI !"
Elle était essoufflée et en colère. Ses points étaient serrés au point que ses jointures soient blanches. Elle me regardait avec tant de haine que je devrais ressentir quelque chose comme de la honte ou je ne sais pas moi ! De la tristesse, ou n'importe quoi !
Mais à la place, mon visage restait neutre et je ne bougeais pas. Les mots qui franchirent mes lèvres à ce moment là, je ne les pensais pas. Ils étaient sorties comme s'ils essayaient de sortir depuis une éternité. Qu'ils retrouvaient enfin leur liberté après longtemps emprisonnés.
Ils étaient froids et méchant. Rien d'autre. Seulement pour la blesser, comme elle venait de le faire. Mais je me perdis dans ce que disait ma bouche, tentant plus de comprendre jusqu'où j'irais que de controler mes mots.
"Qu'est-ce que tu veux que ça me fasse ? Avec une soeur comme toi, j'avais toutes les raisons du monde de me casser. Ça m'étonne que tes parents soient encore avec toi, qu'ils ne t'ai pas abandonnée. Apres tout, quand une personne commence à le faire, tout le monde te tourne le dos, ils se rallient à ceux qui te chassent pour enfin avoir la paix, pour pouvoir se protéger eux même, en se fichant totalement de se que peut ressentir celui ou celle qu'ils abandonnent ! Ils te tournent le dos du jour au lendemain a cause d'une erreur ! Mais si tu crois que ca m'affecte, et bien tu vas être déçu. Je ne me suis jamais sentis aussi libre ! Je suis tellement heureuse de t'avoir laisse avec ces monstres..."
Je sortais enfin de ma transe tandis que Anna partait en courant. Je m'en voulue sur le champs. Comment j'ai pue lui dire ça ? Elle souffre déjà bien assez à cause de moi, comment je peux réussir à l'enfoncer encore plus ? Elle ne mérite pas ca ! La seule fautive c'est moi, et uniquement moi... pensais-je en frappant le mur avant de m'écrouler sur le sol.
Fin du flash back
J'avais finis en baissant la tête. Je m'en voulais tellement... je ne remarquais mes points serres qu'une fois qu'ils me firent mal et qu'un léger filet de sang se mit a couler. J'osais enfin relever la tête.
Le boss me regardait avec compassion. Pas avec pitié. Je me sentis tout de suite mieux, surtout lorsqu'il me proposa des gateaux.
"Et la marque sur ta joue ? Je suppose qu'elle t'a donner une bonne claque ?
- Euh... non... C'est un peu la honte... j'ai légèrement poussé une grand mère en fait, et c'est elle qui m'a calquée... avec sa canne... riais-je nerveusement."
Je détestais tellement mentir...
Pdv Jack.
Alors que nous rentrions tous dans la maison, les amis de ma soeur c'étaient présentés. Les deux filles s'appellaient Penny et Violet, tandis que les garcons se nommaient Hiro, Wilbur et Jamie.
Une fois la porte franchit, nous nous mimes au travail. On commenca par remettre les meubles à leur place, c'est à dire la table dans la cuisine et pas pendue au lustre, (MAIS COMMENT ELLE EST ARRIVER LÀ ?!?), le canapé dans le salon et non à l'envers dans la baignoire. C'était un miracle que la télé n'est pas été touchée, tout comme l'armoire en porcelaine.
Quand tous les meubles furent à leur place, nous nous séparâmes, chacun dans une pièce différente pour ranger les objets qui traînaient. Alors que j'allais monter à l'étage, je me souviens des messages Emma :
Si tu trouves ta porte sur le sol, c'est pas ma faute !
Ni pour ton lit défoncer...
Ou ton dressing en vrac...
Je courus immédiatement dans ma chambre et restais figé, la bouche ouverte dans un énorme "o". Ma porte était effectivement au sol et mon lit avait une forme assez bizarre, enfoncé, mais tordue en même temps... J'entrais et fallis tomber dans les pommes en voyant la moitié de la pièce calcinée, non visible depuis le couloir. Ma pauvre petite chambre avait tellement souffert...
Je ressortais en enjambant la porte au sol et explorais la maison pour constater les dégâts. J'ouvrais toutes les portes et me rendis rapidement comptes que toute les pièces se portaient très bien, sauf la mienne.
Pourquoi j'ai autant de malheurs ?!? Pensais-je en colère.
Je retournais dans ma chambre et ranger mon dressing pour commencer. Pour la porte, il allait me falloir des outils, idem pour le lit, alors autant commencer par le plus facile, physiquement...
"MAIS POURQUOI ? C'ÉTAIT MON SWIT PREFERE ! Criais-je en reconnaissant mon vêtement calciné."
Je soupirais et le posais sur le côté. J'espèrais pouvoir le sauver... et puis une idée me vain. Je verifiais qu'il n'y ai personne et le geler, littéralement. Je recousais le tissue avec des fils de glace et lui redonnais une teinte bleu nuit. Je regardais le résultat et fus fière jusqu'à apercevoir tous les fils blancs autours du col et de la poche.
"Et zut... grognais-je."
Je n'eus pas le temps de faire autre chose que ma soeur m'appella. Je pliais mon "vieux-nouveau" vêtement et descendis. Elle m'attendais devant les escaliers, les mains jointes sous sa tete. Qu'est-ce qu'elle va encore me demander ?
"Jack... commence-t-elle d'une voix mieleuse. Ils peuvent rester dormir ?"
Je réfléchissais le plus vite possible. S'ils restent dormir = plus de dégât, + Moi qui dort pas bien à cause du boucan, + nouriture en moins pour moi, - tout le nettoyage avec ma soeur.
Malgré tous les arguments contre, j'acceptais. Elle était tellement heureuse que je ne regretais pas, pour l'instant.
"Mais on finit de tout ranger avant ! Ordonnais-je."
Ils hochairent tous vigoureusement la tête puis se depecherent de finir. Je les exploitais peut être un peu en leur laissant toute la maison, mais ma chambre était la plus toucher !
Je remontais les escaliers et continuais le tris de mes vêtements. Je fus soulager, de ne devoir en jeter que quelques un sur tout se que j'ai et rangeais le tout dans mes placards.
Je reculais et m'assayais sur mon lit. Mais évidement, grosse erreur. Je me retrouvais coincé entre les lattes en bois, sans pouvoir sortir.
"POURQUOI ÇA M'ARRIVE QU'À MOI CES TRUCS, SÉRIEUX ? criais-je"
Mais ça n'allerta personne et je restais dans mon lit, sans pouvoir partir. Je reussis tout de même à attraper mon téléphone et jouais dessus en attendant que quelqu'un monte à l'étage. Mais soudain, je fus arrêté dans mon jeux par un appelle. Je ne regardais pas qui c'était et décrochais, trop en colère.
"Ça a interet à être important ! M'exclamais-je de chef.
- Ou la, Qu'est-ce qui t arrive mon vieux ? Me demanda la voix de mon ami roux.
- Coincé dans mon lit... soupirais-je
- Ah, c'est grave ?
- Bah personne vient m'aider alors oui, plutôt...
- T'inquiète, tu seras vite sur pied !
- J'espère. Et sinon, pas trop dure sans moi ? Riais-je.
- Figure toi que depuis que t'es parti, j'ai encore plus d'admiratrices. Et la plus part sont tellement bonne, je te dis pas !
- Et Ophelia alors ? L'interogeais-je confus.
- On s'est mis d'accord. Je couche avec qui je veux et elle fait pareil. Cette relation est vraiment génial !
- Tu parle d'un couple... murmurais-je. Enfin, si ca te va... bon il faut que j'appelle ma soeur pour quelle me sorte de là...
- Tu sais, je pense qu'il y a que les medoc's qui pourront t aider !
-Mais je suis pas malade ! M-exclamais-je.
- Alors pourquoi t'es coincé dans ton lit ?
- Euh... comment te dire... les lattes on cassé et je suis coincé...
- Je t'avais dis de manger moins du n'importe quoi !
- Je mange pas n'importe quoi ! Et puis j'ai rien fait sur ce coup la !
- Bon, tu me raconteras ca ce week-end, me lance-t-il avant de racrocher."
Attendez, quoi ? Hans vient de s'inviter chez moi là...
Je soupirais et allais appeller Emma, jusqu'à ce que mon téléphone m'annonce, "batterie vide". Je me résignais et rester dans cette position très inconfortable en espérant que l un d'entre eux passe devant ma chambre...
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Et voilà un chapitre que j'ai eus du mal à écrire... Enfin, pas grave, il est là avec beaucoup de retard, désolé.....
Alors, vous en pensez quoi ?
Elsa et Anna ?
Jack coincé dans son lit ?
Hans qui s'invite ?
Et les amis de Emma ? (Tous en media dans un montage que jai fais x) )
Je vous l'ai mis spécialement pour les 20 K de vues !! Encore merci !!!
Je vous adore !!!! Lisez et ecrivez bien ;)
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