One Shot

Point de vue de T/p 

J'écumais les petites annonces pour mon job étudiant pour cet été, j'avais réussi à finir ma première année d'université, mais j'aimerai faire quelques économies et je compte bien profiter de mes vacances pour gagner de l'argent et avoir l'esprit un peu plus tranquille pour la reprise des cours. La situation des étudiants est précaire alors c'est de l'or d'être tranquille financièrement parlant, même si je sais que j'ai mes bourses en août, je pourrais voir venir si j'ai des dépenses imprévues. Mes yeux scannèrent une nouvelle fois les offres d'emplois quand une notification arriva sur le site, je cliqua dessus, il s'agissait d'une nouvelle annonce.

"Objet : Recherche Baby-Sitter

Avec mon mari nous recherchons une baby-sitter pour l'été pour nos deux enfants (une fille et un garçon), nous payons 15 dollars de l'heure, également vous aurez à disposition toute la maison, une chambre privée, jardin et à la piscine ainsi qu'à la voiture. Vous devrez vous occuper de la cuisine, de conduire notre fille à ses activités le mercredi, et de surveiller la maison.

Si intéressait, nous contacter par téléphone au 777-777-777 ou par mail à : famillebakugoakoro.fr" 

Je m'empressais d'envoyez une lettre de motivation, garder deux enfants ne doit pas être bien dur, en plus c'est bien payé. Pourvue que je sois prise, j'ai vraiment besoin de ce boulot au moins pour payer mon loyer pour cet été pour ma petite chambre étudiante.

Un jour plus tard j'avais une réponse, la mère des deux enfants m'avait convié chez eux pour que je puisse rencontrer les enfants, voir les lieux et discuter avec leur mère. J'étais hyper stressée, je m'étais changé plusieurs fois de tenus, j'espère que tout va bien ce passer. La première impression doit être la bonne. C'est avec une boule d'angoisse que je quitta ma chambre étudiante pour prendre le métro et aller au rendez-vous.

C'est après vingt minutes de trajet que j'arriva enfin à destination, le soleil tapait déjà bien fort provoquant des fines goutes de sueur sous ma chevelure. Une boule de stresse dans l'estomac, je frappa à la porte de la maison, quand une belle femme blonde aux yeux rouges m'accueillis avec un sourire sur les lèvres que je lui rendis. Elle portait un haut léger blanc, avec une jupe crayon et des talons noirs, je faisais pâle figure en comparaison avec elle, cette femme est tellement élégante. 

Mitsuki : Bonjour, tu es T/p n'est-ce pas ?

T/p : Bonjour, oui madame !

Mitsuki : Allons pas autant de familiarité avec moi, appelle-moi Mitsuki.

T/p : D'accord !

Elle m'invita à entrer dans la maison, je détailla un peu l'intérieur, c'était une maison plutôt moderne, elle était grande sur un étage. On arriva dans la cuisine, elle était tout aussi moderne que le reste de la maison, bien équipée, il y avait une porte fenêtre donnant un accès au jardin et à la piscine, ça me donnait déjà envie de m'y baigner et de m'y rafraichir. Mitsuki ce tourna vers moi et m'offrit un soda bien froid, que j'accepta avec plaisir, cela faisait du bien avec cette chaleur caniculaire. 

Mitsuki : Je vais te présenter mes enfants.

Je me contentais de hocher la tête et de la suivie à travers la maison, elle m'emmena dans le salon, avec deux grands canapés en velours noirs, un écran plat avec des consoles, assis sur l'un des canapés une petite fille d'environs six ans aux cheveux blond très long et aux yeux doux, et un blond de mon âge qui me tournait légèrement le dos. Il leva le visage vers moi, je resta bloquée quelques instants, ce n'était pas n'importe quel blond. C'était Bakugo Katsuki, la star de l'université, aussi sexy qu'il a un caractère explosif. Lui et moi on est dans la même classe, il est pas seulement beau, il est aussi intelligent c'est le major de ma promo. Autant dire qu'il fait tourner la tête de pas mal de filles, et peut-être un peu la mienne aussi. Mais attend, s'il est ici pourquoi je dois être là ? Il peut garder sa petite sœur tout seul ? Prise de doute je me tournais vers sa mère, elle ce contenta de soupirer et de m'invitée à nouveau dans la cuisine sûrement pour m'expliquer la situation.

Mitsuki : Tu dois te demander pourquoi je fais appel à une baby-sitter alors que mon fils à largement l'âge de s'occuper de sa sœur ?

T/p : Ouais...

Mitsuki : Disons qu'il préfère faire la fête que s'occuper de sa petite sœur, en plus je suis sûr que si je lui laisse la maison il va organiser des fêtes et saccager la maison, il l'a déjà fait quand on est partit en week-end. Mon mari et moi travaillons beaucoup à l'étranger et nous n'avons pas le temps de nous inquiéter pour la maison. C'est pour cela que nous souhaitons une baby-sitter pour les deux, enfin pour Bakugo c'est juste pour pas qu'il ravage la maison. Alors tu acceptes de prendre le poste ?

Je réfléchis quelques secondes, même si j'ai besoin de ce poste, est-ce que j'arriverai à tenir tête au blond s'il veux organiser une fête ? Mais bon le plus gros du travail c'est de s'occuper de la petite, alors ça devrait aller.

T/p : D'accord...

Elle me sourit, ravie de ma décision. Elle me fit signer mon contrat, me donna son numéro de téléphone portable pour que je puisse la contacter à tout moment, ainsi que les derniers détails. Une fois tout terminé, je retourna dans l'entrée pour sortir, je devais emménager demain dans la chambre d'amis pour la durée des vacances d'été. Alors que j'allais sortir, une voix rauque sortit de derrière moi me faisant sursauter.

Bakugo : Alors tu as accepté le job ?

Je me tournais pour voir Bakugo assis sur les marches de l'escaliers, me scannant de la tête au pieds, me coupant presque la respiration. Il n'avait vraiment pas l'aire heureux que je sois chez lui.

T/p : Euh... Oui...

Un sourire mauvais ce colla à ces lèvres, il ce leva de sa place avant de ce dirigeais vers moi, ces yeux rouges me fusillaient, il ce pencha vers mon oreille pour que je sois la seule à l'entendre.

Bakugo : Prépare toi à souffrir beauté !

C'est toujours avec un sourire mauvais qu'il quitta les lieux, et que je pu à nouveau respirer. Je ne sais pas si c'est vraiment une bonne idée de travailler chez lui ? Surtout que ça n'a pas l'aire de lui faire plaisir. Je déglutis difficilement avant de quitter la maison, pour me rendre à la station de métro sous le soleil écrasant. C'est avec bonheur que je rentra chez moi, pour me mettre sous le ventilateur avec une glace qui fit un bien fou. Est-ce que j'ai vraiment pris la bonne décision concernant ce travail ? 

Le lendemain, je terminais de préparer mes dernière affaires que je mis dans ma valise, juste avant de la refermer je mis ma peluche dedans, c'était le dernier souvenir que j'avais de ma mère à cette pensée mon cœur ce serra dans ma poitrine. Je chassa les souvenirs qui remontaient hors de mon esprit, je ferma ma valise, alla mettre mes chaussures, et sortit de chez moi et ferma à clé ma chambre que je ne rouvrirai pas avant la fin des vacances. Je saisi la poignet de ma valise, remis bien mon sac sur mon dos et quitta la résidence étudiante pour aller au métro.

Je galérai avec ma grosse valise, bousculant sans faire exprès des usagers les faisant râler. Je sortis du métro toujours en galérant avec cette satanée valise, après quelques minutes de marche à pied j'arriva enfin à la maison de mes nouveaux employeurs. La soleil tapé toujours aussi fort me faisant transpirer à grosses gouttes, super, j'ai l'aire fine avec cette tête. Je soupira, avant de sonner à la porte, c'est Mitsuki qui m'ouvrit elle était légèrement horrifié en me voyant me débattre avec ma valise.

Mitsuki : Oh, ma pauvre ! Tu aurais dû nous le dire, on serrai aller te chercher.

T/p : Ce n'est rien...

Mitsuki : Bakugo, viens ici mon chéri !

Le blond arriva à nous, en me voyant il me fusilla du regard, il n'est vraiment pas heureux de me voir. Il ce tourna vers sa mère en m'ignorant complétement.

Bakugo : Quoi ?

Mitsuki : Va porter la valise de T/p dans sa chambre.

Bakugo : Pas question, elle a cas ce démerder. J'ai jamais demandé à ce qu'elle soit là.

Mitsuki : ça suffit Bakugo, tu as intérêt à être gentil avec T/p, va porter sa valise dans sa chambre !

Il soupira longuement avant de me regardait telle un tueur à gage, les choses ne partent pas très bien entre nous, je crois que je vais terminé enterrée au fond du jardin. Mitsuki ce tourna vers moi.

Mitsuki : J'ai mis sur le frigo quelques informations importantes, comme quand la femme de ménage viens, les activités de Yuna et aussi j'ai oublié de te préciser que Yuna va et dors chez sa tante une fois par semaine, je t'ai laissé son numéro de téléphone avec les nôtre. Pour le moment tu peux aller t'installer dans la chambre.

T/p : D'accord, merci. C'est laquelle ma chambre ?

Mitsuki : Oh, oui pardon, ta chambre c'est la deuxième porte sur la gauche, celle juste avant c'est celle de Bakugo.

T/p : Je vous remercie Mitsuki.

Elle me sourit, ce que je lui rendis, je montais les escaliers pour me rendre dans ma chambre. En rentra, le blond était assis sur mon lit les bras croisé sur son torse faisant bander ses muscles, rien que de le voir comme ça, cela ce voyait qu'il était musclé. Il me regardait avec colère, je déglutis difficilement.

T/p : Merci pour la valise...

Bakugo : Je vais faire de ta vie un véritable enfer !

T/p : Ecoute je vois bien que je sois ici ne te fait pas plaisir, mais on pourrais un minimum s'entendre tout les deux.

Balugo : Même pas dans mes pires cauchemars ! Tu vas vite dégager !

Il ce leva du lit, me regarda de haut avant de quitter la chambre en claquant la porte. Ok, la phase de négociation a échoué. Je soupira de frustration, même s'il me déteste je ne peux m'empêcher de le trouver vraiment mignon. Je sais que pas mal de filles rêveraient d'être à ma place, mais pour le moment c'est très mal partit. Je décida de ranger mes affaires, je hissa ma valise sur le lit, avant de l'ouvrir je posa ma peluche sur le lit et mis mes vêtements dans l'armoire.

Alors que j'étais occupée à ranger mes affaires, quelqu'un frappa à ma porte avant d'entrer, il s'agissait de la petite sœur de Bakugo, elle était toute aussi blonde que son frère mais avait une regard très doux, les cheveux long, elle était âgée d'environ six ans et me souriait à pleine dents.

Yuna : Bonjour Madame, je m'appelle Yuna !

T/p : Bonjour Yuna, je m'appelle T/p, tu peux m'appeler par mon prénom et me tutoyer si tu veux !

Elle me sourit avant d'aller s'assoir sur mon lit en me regardant ranger mes dernière affaires.

Yuna : Tu aimes les dessins animés ?

T/p : Oui, j'aime aussi lire des livres et faire de la pâtisserie.

Yuna : Trop bien, on pourra en faire toute les deux ?

T/p : Bien sûr !

La petite me sourit encore plus avant que sa mère ne rendre dans la chambre souriant en voyant qu'on s'entendait déjà bien avec sa fille, la seule difficulté que je rencontre pour le moment c'est Bakugo.

Mitsuki : Je vais devoir partir ma chérie !

Une vague de tristesse envahit le doux visage de la petite, ça doit être dur à son âge de voir sa maman partir. Elle joua avec le bas de sa robe en regardant tristement sa mère.

Yuna : T'es obligée de partir ?

Mitsuki : Oui ma chérie, je dois rejoindre papa, il m'attend en Inde.

Yuna : D'accord...

Mitsuki : Tu ne viens pas m'accompagner jusqu'à la porte ?

Yuna : Si...

Elle ce leva du lit, avant d'accompagner sa mère en bas, je les suivie toute les deux. Mitsuki fit un câlin à son fils qui ce rédit à ce contact, même s'il ne le disait pas il était triste de voir sa mère partir. Elle fit un câlin à la petite et un bisou sur le front, des larmes perlaient le long de ses joues me fendant le cœur. 

Mitsuki : Soit sage avec T/p, soyez tout les deux sages, je vous appelle tout les deux jours ! D'accord ?

La petite acquiesça toujours en pleurant, ça me faisait mal au cœur de la voir ainsi. Mitsuki ce leva pour venir me faire un câlin à moi aussi ce qui me surprenais, cela faisait longtemps que je n'avais pas eu de câlin d'une mère, mon cœur ce serra dans ma poitrine à cette pensée.

Mitsuki : Appel moi au moindre soucis.

T/p : Je suis sûr que il y en aura aucun.

Elle me sourit avant d'empoigner sa valise et quitter la maison sous le regard attristé de les larmes de la petite. En voyant sa sœur ainsi le blond ce pencha pour la prendre dans les bras et lui faire un bisou sur la joue.

Bakugo : Pleure pas petit monstre, je suis là moi !

Yuna : Je sais, mais je suis quand même triste...

La petite encercla le cou de son frère, je fus attendri par la douceur du blond avec sa sœur, au moins je sais qu'il est capable d'être gentil quand il le veux, et puis le voir comme ça le rend assez mignon. Tout deux partit dans le salon, cette première journée doit à tout prix bien ce passer, c'est cette journée qui déterminera comment va ce passer les autres !

Pour réconforter la petite, je lui proposa un atelier crêpe ce qui lui fit légèrement revenir le sourire, je l'avais également proposé au blond mais celui-ci m'ignora royalement. Tant pis pour lui, avec Yuna on sortit tout ce qu'il nous fallait pour faire les crêpes. On commença toutes les deux à pâtisser. Le blond ce posa sur l'un des tabourets du comptoir de la cuisine, nous regardant faire. Je pouvais sentir son regard sur moi, je dus faire un effort sur humain pour ne pas rougir.

Point de vue de Bakugo

T/p bougeait dans tout les sens dans la cuisine avant de tourner le fouet dans une préparation. Ses cheveux bougeaient de droite à gauche à chacun de ces mouvements. J'avais du mal à détacher mes yeux d'elle, je dois bien m'admettre qu'elle est plutôt mignonne même si je lui dirai jamais. Je n'ai pas besoin d'une baby-sitter, j'aime ma liberté. Il faut que je trouve une solution pour la pousser à démissionner. Comment faire ?

Alors que j'étais perdu dans mes pensées, les filles avaient fini les crêpes, Yuna avait retrouvé le sourire ce qui me rassurait un peu. A chaque fois que mes parents partent pour le travail elle est inconsolable. ça doit être encore plus dur pour elle que pour moi, après tout Yuna est encore petite c'est normale qu'elle est besoin de ses parents. 

Point de vue de T/p

On termina de cuire les crêpes et de les disposer dans une assiette durant toute le long je pouvais sentir le regard de braise de Bakugo. Je sortis des petits assiettes à desserts pour nous trois et le pot de nutella. Je lui servis une assiette qu'il repoussa d'un geste de la main.

Bakugo : Qui me dit qu'il y a pas de poison là dedans ?

T/p : On n'a préparé les crêpes devant toi ! Explique-moi comment j'aurai pu en mettre sans que tu t'en aperçois ?

Bakugo : Je sais pas, c'est toi la psychopathe pas moi !

Yuna : Aller s'il te plaît goûte !

Elle fit les yeux doux à son grand frère qui le fit céder en un rien de temps, je me contentais de lever les yeux au ciel au moins il mange les crêpes c'est déjà ça. Je sens qu'avec lui ça ne va pas être de tout repos.

"Ellipse de quelques heures"

La petite était enfin couchée, après l'épisode des crêpes je n'avais pas revue Bakugo de la journée préférant rejoindre ses amis quelques part. Je m'engouffra dans la cabine de douche, l'eau chaude me détendit les muscles, je ne sais vraiment pas comment faire pour améliorer ma relation avec Bakugo, je sais qu'on ne deviendra jamais les meilleurs amis du monde mais on peut au moins s'entendre car après tout je vais vivre durant trois mois dans cette maison. Je soupira avant de sortir de la douche, j'avais de la chance d'avoir une salle de bain collée à ma chambre, comme ça je n'ai pas à la partager et je peux prendre autant de temps que j'en ai envie. J'entoura mon corps d'une serviette et en utilisa une autre pour mes cheveux. J'ai déjà hâte de me mettre en pyjamas et de me mettre au lit. 

Je sortis de la salle de bain pour trouver le blond assit sur mon lit me faisant hurler de surprise, il regardait mon chien en peluche d'un œil inquisiteur. En m'entendant il ce tourna vers moi et me scanna de la tête au pieds avec un petit sourire au coin. Mes joues rougis mais c'est la colère qui l'emporta le plus vite. 

T/p : Putain, qu'est-ce que tu fais dans ma chambre ? 

Bakugo : Je te rappelle que tu es dans MA maison, j'ai bien le droit d'aller dans les pièces de cette baraque y compris cette chambre. 

T/p : Pas quand je sors de la douche, j'ai le droit à mon intimité ! 

Bakugo : Je te rassure il y a rien à regarder ! Dit moi t'es pas un peu trop grande pour dormir avec une peluche ? 

Il agita le chien en peluche juste devant lui en me narguant, je me précipita vers lui et lui arracha la peluche des mains. 

T/p : Ecoute moi bien Bakugo, tu peux me faire toute les crasses que tu veux mais tu ne touches pas à ma peluche ! 

Bakugo : Il a quoi de si spéciale ce doudou ? 

T/p : ça ne te regarde pas ! Maintenant sort de ma chambre ! 

Je lui montra la porte du doigt, il ce leva du lit juste avant de ce mettre devant moi, ces yeux rouges s'encrèrent dans les miens me faisant déglutir difficilement. 

Bakugo : Tu ne feras même pas une semaine dans cette baraque ! Plus vite tu te barre, plus vite j'aurais la paix ! Si j'étais toi, je rangerai déjà mes affaires dans ma valise ! 

Sur ses mots il quitta la chambre faisant claquer la porte. Quel con ! Je reposais ma peluche sur le lit avant de mettre en pyjamas et d'aller au lit épuisée par cette journée et surtout encore en colère contre Bakugo et son attitude de parfait connard. 

Le lendemain matin c'est un seau d'eau glacé qui me réveilla instantanément, Bakugo avait un sourire fière de lui et moi j'étais trempée et frigorifiée. Je lui accorda seulement un doigt d'honneur qui le fit encore plus sourire heureux que je sois énervée dès le matin. 

Bakugo : Et bas alors ? Tu es déjà énervée beauté, pourtant c'est seulement le début de l'enfer. 

Il quitta ma chambre en rigolant, je me leva et mis le lit, les draps et la couette à sécher. J'allais m'habiller et me laver et mis également mon pyjamas à sécher à cause de la connerie du blond. J'alla réveiller la petite et lui prépara le petit déjeuner. 

Yuna : Est-ce qu'on peut déjeuner devant les dessins animés ? 

T/p : Bien sûr. 

J'installa le petit déjeuner sur la table basse du salon avant de mettre le dessin animé Corneil et Bernie. Je me disais qu'heureusement la petite était adorable tout le contraire de son frère, et que c'était plutôt facile de la garder. Après le petit déjeuner on fit quelques petites courses avec Yuna pour faire de la pâtisserie plus tard. La journée fut rythmé par une balade au parc, jouer aux poupées et du dessin animé de la reine des neiges. Je n'avais pas vue le blond de la journée ce qui était pas plus mal. Alors que Yuna était en train de jouer avec ses jouets, j'étais en train de préparer le repas du soir. J'avais fait des pizzas maison, avec une salade césar, et des légumes caramélisés en accompagnement.

Denki : Oh putain, ça sent trop bon !  

Je sursauta en entendant cette voix inconnu derrière moi. Bakugo était rentré et il avait amené ses amis sans même me prévenir. Une blonde était collée à lui visiblement pas heureuse que je sois dans la maison de son petit copain. 

Denki : Désolé je ne voulais pas te faire peur ! C'est quoi que tu cuisine ?

Sero : Vieux présente toi au moins ! 

Tous ce présentèrent sauf la blond accrochée au bras de Bakugo, elle rejeta une mèche à l'arrière de son épaule essayant d'attirer l'attention du garçon, je me contenta juste de l'ignorer et de moi même me présentait aux autres. 

Denki : T'a de la chance mec, t'a une meuf qui te fait à manger tout les jours ! 

Bakugo : Hors de question que je mange un truc qu'elle a préparé. 

Cassy : Ouais t'a raison mon cœur, ça ce trouve elle a foutue un truc chelou dedans. 

Bakugo : Carrément ! 

T/p : Je ne te forcerai pas à manger ce que je prépare Bakugo ! ça en fera plus pour Yuna et moi ! 

Cassy : T'es pas assez grosse comme ça ? Quelques kilos en moins te ferais du bien ! 

T/p : Merci pour ton expertise ! 

Mon sarcasme était palpable, la sonnerie retentit signe que les pizzas étaient prêtes. Je pris le gant de cuisson pour sortir les pizzas et les faire un peu refroidir sur le plan de travail. Une délicieuse odeur emplis la cuisine me donnant l'eau à la bouche.  

Denki : Je peux te piquer une part ? 

T/p : Ouais bien sûr puisque Bakugo n'en veux pas ! 

Yuna : T/p c'est bientôt prêt ? 

T/p : Oui, ça arrive dans cinq minutes ma puce ! 

Bakugo : Hey Yuna ça te dit de venir manger au resautant avec ton grand-frère adoré ? 

Yuna : Oh oui ! 

T/p : Mais j'ai fait à manger... 

Bakugo : C'est pas grave, ça en fera plus pour toi ! 

Cassy : Comme ça tu pourras t'engraisser un peu plus ! 

Le blond explosa de rire avant que tout le monde quitte la maison sous les regards désolé de ses amis me laissant seule dans la maison. Je soupira exaspérée par le comportement du blond. Je mis les pizzas supplémentaires dans le frigo, et alla m'installer dans le salon en m'étant une série à la télévision complétement déprimée. Ce travail n'est pas aussi simple que je l'aurais imaginé, enfin surtout à cause de lui. 

Quelques jours plus tard Yuna était chez sa tante qui d'ailleurs était une personne adorable. Comme c'était mon seul jour de congé dans la semaine et que la maison était vide je décida de profiter de la piscine qui me faisait de l'œil depuis que je suis arrivée surtout avec cette chaleur écrasante. Je me mis en maillot de bain et piqua une tête dans l'eau tiède qui faisait un bien fou. Je fis quelques longueurs dans l'eau quand une voix que je connaissais bien retentit.  

Bakugo : Je savais pas que ma mère avait décidé de mettre une baleine dans la piscine. 

Cassy : A ce stade c'est plus un monstre marin ! 

A peine quinze minutes de tranquillité avant que ma colère brûle dans mes veines. N'aillant aucune envie de me disputer avec qui que ce soit je sortis simplement de la piscine et m'essuya avec la serviette avant de m'entourer avec. 

T/p : Bonjour aussi Bakugo ! 

Cassy : Pourquoi tu lui parles toi ? Dégage on ne veux pas te toi ici ! 

T/p : Ne t'en fait pas je ne vais pas te le voler ton stupide petit copain, j'ai trop de respect pour moi même ! 

Bakugo : T'insinue quoi part là ? 

T/p : Que t'es un putain de connard qui ce croit supérieur aux autres. 

Bakugo : Je le crois pas, j'en suis sûr ! 

Je me contenta juste de lever les yeux au ciel, c'est dingue à quel point ce type peut être arrogant. Je rentra dans la maison et alla me changer dans ma chambre puis j'alla dans la cuisine me prendre un bol de glace. Ensuite je retourna dans chambre me posa sur mon lit sous le ventilateur et regarder une série. Quand j'étendis quelqu'un frapper à ma porte avant que Mina ne rentre dans ma chambre. La jeune fille semblait gênée, elle passa une main dans ses cheveux anxieuse.  

Mina : Je suis désolée de l'attitude Bakugo, je sais que parfois il peut être chiant mais en vrai il a bon fond. 

T/p : Ne t'excuse pas en son nom, ce n'est pas à toi de le faire. C'est lui qui me doit des excuses pas toi. 

Elle me sourit et ce pencha vers l'ordinateur et un large sourire ce dessina sur son visage. 

Mina : J'adore cette série ! 

T/p : Moi aussi, c'est la quatrième fois que je la regarda. 

Elle s'installa à côté de moi, et je tourna un peu l'écran vers elle. 

J'avais passé une super après-midi en compagnie de Mina et de Kyoka qui nous avait rejoins peut après. Elles m'avaient invité à une fête, j'avais un peu hésité car je ne pense pas que le blond soit très heureux que je passe du temps avec ses amis mais comme je n'ai pas à décider ma vie en fonction de ce que pense un parfait abrutis j'avais finalement accepté. Pour l'occasion j'avais enfilé une petite robe léger car il faisait vraiment très chaud puis j'allais rejoindre les autres dans le salon. 

Le blond et sa copine faisait clairement la gueule mais je m'en foutais royalement, comme il avait refusé de me conduire à la fête c'est son meilleur ami Kirishima qui m'avait proposé d'aller avec lui et les autres dans la voiture. Après une bonne vingtaine de minutes de trajet on n'arriva à la fête, c'était une fraternité qui organisé des fêtes durant l'été. Les étudiant semblaient vraiment bien s'amuser, la musique était pop et l'alcool coulait à flot. Un étudiant arriva vers nous, nous offrant des gobelets remplis d'alcool. Cela faisait longtemps que je n'avais pas été à une fête et je compte bien en profité. 

Point de vue de Bakugo

Cela faisait quatre bonnes heures qu'on était à cette fête, Cassy était en train de me dévorer le cou réclament mon attention. Nous ne sortons pas ensemble, on ne fait que baiser mais je crois qu'elle attend plus de moi, quelque chose que je suis incapable de lui donner. Mes yeux tombèrent sur T/p qui était en train de danser avec un mec sur la piste de danse, elle était belle dans cette robe, ces cheveux coiffée en arrière lui allait divinement bien sans compter cette robe qui m'était sa poitrine et cuisses en valeurs me donnant envie d'y promener mes mains. Le mec posa ses mains sur ses hanches, je l'enviais, je me demandais ce que ça ferait de l'avoir contre moi. Putain je crois que j'ai trop bu pour avoir ce genre de pensées. Le visage de Cassy atterrir devant mes yeux me coupant la vue que j'avais sur T/p. 

Cassy : Putain tu regardes quoi ? 

Elle tourna la tête pour voir T/p danser sur la piste de danse, la colère pris possession de son visage, et une vilaine ride apparut sur son front en fronçant les sourcils. 

Cassy : T'es sérieux ? Tu mate une pauvre connasse ! 

Bakugo : Cassy et si tu fermais ta gueule ? 

Cassy : Oh tu veux que je ferme ma gueule ? Très bien, comme on dit il vaut mieux des actes que milles mots ! 

Elle ce leva de mes jambes et prit un gobelet de bière qui trainait pour renverser le contenu sur la tête de T/p. D'un coup des rires s'élevèrent dans toute la pièce, il n'y avait pas que de la bière dans ce gobelet mais également des mégots de cigarette qui décorait maintenant la chevelure de T/p qui était sur le point de pleurer et qui ce faisait filmé par des étudiants complétement cons et alcoolisés. Puis la voix de Cassy retentit fort dans la pièce. 

Cassy : Ne t'approche plus de mon mec salope ! 

S'en était trop pour elle, une larme perla le long de sa joue et elle quitta la fête sous l'hilarité des étudiants. Et moi en parfait abrutis que je suis je ne bougea pas d'un centimètre, Cassy reviens vers moi, un sourire fière sur le visage qui me dégoutait. 

Cassy : Et voilà, on sera enfin tranquille bébé ! 

Elle ce pencha pour m'embrasser, ses lèvres ce collèrent aux miennes, je leva mon verre et lui renversa sur la tête, une bonne partit atterris sur mon pantalon. Elle hurla attirant tout les regards vers nous, cette fois c'est d'elle qu'on ce moquait. Son regard était noir. 

Cassy : Mais merde, qu'est-ce qui te prend ? 

Bakugo : Je me disais qu'une bonne douche froide te ferai du bien ! Je peux savoir pourquoi t'a fait ça ? Elle ne t'avait rien fait. 

Cassy : Nan mais t'a pas vue comment tu l'a maté, t'avais cas la baiser devant tout le monde tant que t'y es ! Je ne comprend même pas ce que tu lui trouves ? 

Bakugo : Oh tu le sais très bien, cette fille est dix fois plus sexy que toi et ça te rend verte de jalousie. Ne t'approche même pas de moi, de mes potes ou encore d'elle ! 

Cassy : Tu reviendra en rampant devant moi ! 

Bakugo : Plutôt boire une bouteille de pisse que de t'embrasser de nouveau ! 

Je me leva du canapé, avant de sortir de la maison. Instinctivement mon regard chercha T/p mais je ne la trouva pas et puis j'ai trop picolé pour prendre ma bagnole et la chercher. Je soupira de frustration et me mit à marcher dans l'espoir de la trouver. Après quelques minutes de recherches, elle était assise sur un banc en train de pleurer à chaude larme, ça me brisa le cœur de la voir comme ça mais je ne sais même pas pourquoi. Elle essayée de ce débarrasser des mégots de cigarette dans sa chevelure. 

Bakugo : Aller viens là, je vais t'aider. 

T/p : Fout moi la paix ! 

Malgré le fait qu'elle me hurlait dessus, je m'assis à côté d'elle et l'aida à enlever les mégots. Elle tremblée de froid et elle était trempée part la bière, moi aussi d'ailleurs. Je me contenta d'enlever ma veste et de la mettre sur ses épaules. Elle me lança un regard noir et essuya rageusement une larme sur sa joue. 

T/p : Je ne comprend pas que tu puisse sortir avec une telle peste ! Et puis d'ailleurs pourquoi t'es trempé toi ? 

Bakugo : Je ne sort pas avec elle, je ne faisais que coucher avec elle et maintenant c'est fini. Et je suis trempé car un blaireau à renverser son verre sur ma gueule. 

Je ne sais pas trop pourquoi je ne lui dis pas la vérité, je pris mon portable et appela un taxi puis envoya un message à Kirishima. 

📨: De Bakugo

Je rentre chez moi. T/p est avec moi ! 

📩: De Kirishima 

Elle va bien ? Les filles s'inquiète pour elle ? 

D'ailleurs t'a loupé la superbe baffe que lui as collée Mina ! 

C'était vraiment beau à voir ! 

📨: De Bakugo 

Dommage d'avoir loupé ça ! Je crois que Cassy ce souviendra toute sa vie de cette soirée. 

📩: De Kirishima 

T'a ENFIN quitté cette taré ! T/p est bien mieux qu'elle !

📨: De Bakugo 

Tu insinue quoi là ? 

📩: De kirishima 

Que tu l'as bouffé du regard toute la soirée et que c'est ça qui a rendu Cassy complétement folle de jalousie. 

📨: De Bakugo 

Je ne la bouffais pas du regard ! 

📩: De Kirishima 

Ouais, bien sûr, et tu n'enviais pas non plus le mec qui dansait avec elle ! 

📨: De Bakugo 

Je te déteste ! Va crever !

📩: De Kirishima 

Je t'aime aussi mon pote ! 

Le dernier message de Kirishima m'arracha un sourire. Ce n'est pas mon meilleur ami pour rien, il me connait trop bien, c'est vrai que je n'aurais pas refusé une danse avec T/p. Je n'eu pas plus de temps pour y réfléchir que le taxi arriva pour nous emmener chez moi. 

Une fois rentré, elle posa simplement la veste sur le canapé et alla dans sa chambre sans m'accorder le moindre mot ou regard. Je pris simplement ma veste et alla dans mon chambre puis dans la salle de bain pour prendre une douche pour me débarrasser de l'odeur de bière avant de complétement tombé de sommeil dans mon lit. 

Point de vue de T/p

Je ne veux plus jamais mettre un pied hors de ce lit pour le restant de ma vie. Les vidéos et photos de la soirée et du moment où Cassy qui est une fille beaucoup trop populaire à l'université tournée sur internet. Je crois que le pire ce sont les commentaires. 

"MDR, c'est qui cette pute qui crois s'en prendre à notre reine Cassy ?! I love my queen !"

"Comme-ci Bakugo aller s'intéresser à une pauvre fille comme elle !"

"LOL elle l'a grave mérité, la prochaine fois que je la voit à une fête de la défonce" 

"A cause cette bouffonne le couple GOAT de la fac a rompu, je suis trop dégoutée !"

Je mis en veille mon téléphone complétement déprimée, j'avoue que je ne m'attendais pas à ce que Bakugo rompt avec Cassy et encore moins qu'il lui renverse son verre sur la gueule. C'est ma seule salification de la journée, j'hésite même à la mettre en fond d'écran  pour me remonté le morale mais une nouvelle notification acheva ce nouveau élan de courage. La tante de Yuna m'avait envoyé un message pour me dire qu'elle gardait une journée et nuit de plus la petite, même si ça me dérange pas je me sens quand même seul dans cette maison et cette petite est un rayon de soleil. Alors que je déprimais encore dans ma couette, la porte fut violement ouverte part le blond qui s'allongea à côté de moi alors que monsieur était torse nu et en caleçon me faisant rougir. 

Bakugo : Fait moi le petit déjeuner ! 

T/p : Je ne suis pas ton chien fait le toi même ! 

Bakugo : T'es ma baby-sitter alors tu dois t'occuper de moi. 

T/p : Je suis la baby-sitter de Yuna pas la tienne. 

Bakugo : C'est marrant car ma mère m'a affirmé le contraire. Aller fait moi le petit déjeuner ! 

T/p : ça t'arrive de dire s'il te plaît et merci ? 

Il soupira, avant de prendre mon chien en peluche et de le regarder quelques instants. 

Bakugo : Fait moi à manger où je kidnappe ton chien ! 

T/p : Bakugo rend moi mon doudou ! N'y touche pas j'y tiens ! 

Contre toute attente il céda rapidement avant de me le rendre et de le poser à côté de moi. 

Bakugo : Il a quoi de si spéciale ton chien ? 

T/p : C'est le dernier souvenir que j'ai de ma mère. 

Bakugo : Comment ça ? 

T/p : Un soir pour me récompenser de mes bonnes notes ma mère m'a emmené dans une fête foraine. Il y avait des machines à pinces, tu sais celle pour attraper des peluches. Puis je suis tombée sur ce chien en peluche, ma mère a dépensée plus de 70 dollars pour le gagner alors qu'il devait en couter deux fois moins, elle n'était pas très douée mais elle a quand même réussi. J'étais tellement heureuse, puis après on est aller manger de la barbe à papa. On est retourné sur le parking, mais un mec qui avait trop bu est arrivé en trombe, il allait me rouler dessus. Ma mère m'a poussé mais c'est elle qui c'est fait renversée. Elle est morte sur le coup, il lui a brisé la nuque, il ne me restait plus que ce chien.

Je sentais mes yeux piquer et mes larmes arrivés, je ne sais même pas pourquoi je lui racontais ça. 

Bakugo : Et ton père ? 

T/p : Il c'est barré à ma naissance, je ne l'ai jamais connu. 

Bakugo : Alors c'est qui, qui t'a élevée ? 

T/p : Je suis passé de famille d'accueil en famille d'accueil, je crois que la famille où je suis restée le plus longtemps c'était huit mois. Les familles d'accueils m'échangeait, et puis à ma majorité plus personne n'a voulu de moi, je ne pouvais pas arrêter mes études, je sais que ma mère aurait voulu que j'étudie. Alors j'ai trouvé un travail à mis temps, ou alors j'ai enchainé les petits jobs, je suis passé d'appartement miteux en appartement miteux jusqu'à aller à la fac et d'avoir une chambre étudiante mais à chaque fois Rocky était là pour moi. 

Bakugo : Rocky ? 

T/p : Mon chien en peluche ! 

Bakugo : Tu l'as appelé comme le film ? 

T/p : Oui c'était mon film préféré quand j'étais petite ! 

Un éclat de rire sortit de ma voix mais une larme perla le long de ma joue, je n'aimais pas parler de tout ça. Doucement il passa une main sur ma joue, et essuya ma larme solitaire avec son pouce. Mon cœur ce mit à battre plus vite, je ne savais pas qu'il pouvait être aussi doux. Puis comme-ci il prit conscience de ce qu'il faisait il ce sépara de moi et reprit une distance raisonnable. 

Bakugo : Aller fait moi à manger st'eu plaît ! 

T/p : Ok, ok... 

Je me leva du lit pour descendre en bas dans la cuisine et commença à faire le petit déjeuner, je fis du café pour lui, un chocolat pour moi avec des tartines de beurre et de confiture. Il descendit les escaliers pour me retrouver dans la cuisine, dieu merci il avait mit un bas de jogging mais il était resté torse nu. Je dois avouer que la vue était plutôt plaisante, je peux comprendre que pas mal de filles craquent sur lui, il est sacrément canon. 

T/p : Tu pourrais mettre un tee-shirt ? 

Bakugo : Pourquoi, tu n'aimes pas la vue ? 

T/p : Je comprend pas pourquoi les mecs ont le droit de ce promener torse nu mais pas les filles ?!

Bakugo : Je suis pour l'égalité des sexes, alors si tu veux te promener torse nu dans la maison fait toi plaisir. 

T/p : Pervers ! 

Bakugo : Mais je ne dis pas le contraire beauté ! 

Je me contentais juste de lever les yeux au ciel, j'emporta mon petit déjeuner pour aller m'installer dans le salon en mettant les dessins animes. Le blond s'installa à côté de moi, j'étais assez surprise qu'il soit de bonne humeur même pire que c'était agréable d'être en sa compagnie. Le téléphone fixe de la maison sonna, Bakugo soupira et alla répondre. 

Bakugo : Allo ! ... Salut maman. ... Ouais tout ce passe bien... Oui elle est chez tante Cathie... On est en train de déjeuner devant la télé... Oui... QUOI ? ... Vous êtes sérieux ? Vous pensez à Yuna ?... Quoi vous vous foutez de ma gueule ! ... Je refuse d'aller en Inde .... Non je suis bien ici, il y a tout mes amis et j'ai pas fini mes études... Vous êtes que des putains d'égoïstes ! 

Il raccrocha en colère, je ne sais pas ce que lui a dit sa mère mais cela ne semblait pas plaire au blond. Il passa une main rageusement dans sa chevelure. 

T/p : ça va ? 

Bakugo : ça te regarde pas ! 

Il était redevenu agressif, il monta en trombe dans sa chambre. Je m'inquiétais pour lui, qu'est-ce que sa mère lui a dit ? 

Quelques minutes plus tard j'avais eu une idée pour lui redonnait le sourire ou au moins briser la glace qu'il avait remis entre nous. Je ne veux pas redevenir comme au début où il était vraiment chiant. J'ouvris d'un coup la porte de la chambre, et fit exploser le tube de confettis qui ce répandit dans tout la chambre. Un long silence régna dans la pièce, il arqua un sourcil, je voyais bien qu'il retenait un sourire. 

Bakugo : Je peux savoir ce que tu fais ? 

T/p : Je fais en sorte que tu arrête de faire la gueule. 

Bakugo : Tu sais que c'est toi qui va nettoyer tout la chambre ? 

T/p : ça c'est hors de question ! 

Bakugo : Je vais me venger T/p ! 

T/p : Faudrait-il que tu m'attrape ! 

Un nouveau silence régna dans la chambre, on ce fixait l'un l'autre, puis je tourna d'un coup les talons mais fut rattrapé par le blond qui me prit par les hanches. Je me retrouvais plaquée contre le matelas, Bakugo ce mit à me chatouillait me faisant rire aux éclats, je rigolais tellement que j'en avais mal aux côtes. 

T/p : Ok d'accord je vais nettoyer ta chambre ! 

Satisfait de ma réponse, il s'allongea à côté de moi qui essaie de reprendre mon souffle. Puis je tourna ma tête vers lui. 

T/p : Elle t'a dit quoi ta mère ? 

Bakugo : Mon père et elle s'installe définitivement en Inde, ils veulent que Yuna et moi on les rejoignent mais j'ai refusé. Ma sœur rentrera dans une école là-bas à la rentrée, et moi ils me laissent la maison. Ils sont égoïstes, ils travaillent tout le temps, ils sont jamais là pour les moments importants, je suis obligé d'être un parent depuis que Yuna est née. Je l'adore ma petite sœur, mais m'occuper d'un enfant c'est pas ce que j'avais demandé et pourtant je peux pas imaginé ne plus la voir tout les jours. Je suis bien ici avec mes amis et puis j'ai mes études. Ils ont promis de rentrer pour les vacances mais je sais qu'ils vont toujours avoir un empêchement par le boulot. Je leurs en veux, ils sont égoïstes. 

T/p : ça craint ! 

Mon regard tomba sur un skate qui trainait dans sa chambre tout en pensant ce que m'avait annoncé Bakugo. 

Bakugo : Tu en as déjà fait ? 

T/p : Du skate ? Non jamais. 

Bakugo : Va t'habiller je vais t'apprendre !

J'étais surprise qu'il soit autant gentil mais autant en profiter, j'allais dans ma chambre, passa rapidement dans ma salle de bain pour me laver et m'habiller. J'alla dans l'entrée où le blond m'attendait avec le skate en main, on sortit tout les deux de la maison pour nous rendre au skate parc qui ne ce trouvait pas loin de la maison. Il n'y avait pas grand monde, il posa la planche sur le sol avant de ce tourner vers moi. 

Bakugo : Aller monte dessus ! 

T/p : Maintenant ? 

Bakugo : Non dans deux mois, oui maintenant. Tu ne tombera pas, je vais te tenir. 

T/p : Ok... 

Je m'approcha de la planche un peu hésitante et mit un pied dessus mais la planche roula. Il me tendit sa main que je saisi, il posa son autre main sur ma hanche pour me stabiliser et pour que je puisse avoir les deux pieds sur le skate. Nos visages étaient à quelques centimètres l'un de l'autre, je pouvais sentir mes jours rougir mais je fis mon possible pour ne pas que cela ce voit. L'odeur de son parfum monta jusque dans mes narines me faisant tourner la tête et me troubler d'avantage.  

Bakugo : Bien, maintenant tu avance en poussant un peu la planche contre le sol avec ton pied. 

Je fis ce qu'il me dit et poussa la planche, je sentais mon dos ce courber, le blond passa un bras dans mon dos me collant encore plus contre lui. Mon cœur loupa un nouveau battement, je sentais que mes joues s'enflammaient. Pitié faite qu'il ne le remarque pas. 

Bakugo : Tu dois garder le dos droit, c'est tes jambes qui doivent donner l'impulsion. 

T/p : C'est facile à dire pour toi, tu as l'habitude ! 

Bakugo : Tu vas y arriver ! 

Kirishima : Qu'est-ce que vous faites tout les deux ? 

On sursauta tout les deux, pour ce tourner vers les autres qui souriaient en nous voyant aussi proches. 

Bakugo : ça ce voit pas ? Je lui apprend à faire du skate ! 

Denki : Et vous avez besoin d'être aussi proche ? 

Bakugo : C'est pas ma faute c'est elle n'est pas douée ! 

T/p : Quoi ? Comment ça je ne suis pas douée ? 

Je me tourna d'un coup vers lui, mais beaucoup trop violement, la planche avança toute seule et je bascula en arrière, deux bras entourèrent ma taille pour m'empêcher de tomber, le blond soupira. 

Bakugo : Je vous l'avais dit que c'était un boulet sur une planche. 

Les autres rigolaient et j'étais de retour sur mes deux jambes. On passa une partit de la matinée à discuter et à faire du skate. Enfin les autres on bien essayait de m'apprendre mais après plusieurs chutes j'avais abandonné. A midi nous étions de retour à la maison mais en rentrant des choses avaient changés, des vêtements à moi étaient déchiquetés dans tout le salon,  j'avança un peu plus dans la maison. Ma peluche était au sol complétement déchiré, des larmes coulèrent le long de mes joues et une vague de tristesse traversa mon corps. Ne voulant pas que les autres me voit ainsi je monta rapidement dans ma chambre. Mon cœur venait de ce briser. 

Point de vue de Bakugo

Elle courra vers sa chambre en pleurant, je m'approcha pour voir son doudou au sol en plusieurs morceaux. Une carte était accrochée sur un bout de la peluche, je pris la carte pour la lire "Tu n'aurais jamais du me quitter et elle s'approcher de toi ! J'espère que ma surprise lui a plu" Je savais que ça venez de Cassy, mon poing ce serra de colère surtout que je connaissais l'importance de ce doudou. Je ramassa les morceaux du chien et de la bourre. Je me tournais vers Denki, c'était un pro des aiguilles à coudre. 

Bakugo : Tu peux le réparer ? 

Denki : Je ne suis pas sûr... 

Bakugo : Mec faut que tu répare cette peluche ! 

Denki : Ok, je veux bien essayer mais je ne suis pas sûr du résultat. 

Bakugo : ça sera mieux que rien ! 

Je lui donna le matériel de couture de mon père et alla au premier étage pour voir T/p pleurer toute les larmes de son corps sur le lit. Mon cœur ce serra dans ma poitrine, je m'assis sur le matelas avant de la tirer vers moi et de la prendre dans mes bras. Elle s'installa sur mes genoux, je passa ma main dans le long de son dos essayant de la calmer. Je m'en voulais, j'aurais dû rompre avec Cassy il y a bien longtemps, elle s'en est pris à T/p pour aucune raison à par sa jalousie. Elle s'accrochait à mon tee-shirt comme si sa vie en dépendait, je suppose que voir le dernier souvenir de sa mère dans un tel état la détruisait, sans compter les images de l'accident qui devait refaire surface. J'essaya de la calmer du mieux que je pouvais. Cependant malgré la situation j'aimais l'avoir dans mes bras, je savais que c'était mal de ressentir ça alors qu'elle était mal. 

Quelques heures plus tard, j'avais appelé ma tante pour qu'elle garde Yuna une nuit de plus, elle c'était inquiété pour dire T/p, je lui avais simplement dit qu'elle a dû attraper froid après avoir nager dans la piscine et qu'elle avait de la fièvre et qu'une bonne nuit de sommeil lui ferai du bien. Je ne sais comment mais Denki avait réussi réparer son doudou, il avait fait un super travail, il y avait quelques partit où l'on voyait que ça avait été recousu mais dans l'ensemble ça ne se voyait. Mais T/p restait mal, les autres s'inquiétaient pour elle et m'avait posé pas mal de questions, je n'avais pas répondu, c'était à elle de leur raconté son passé. 

En fin de soirée les autres étaient partit nous laissant seul tout les deux. Elle avait passé sa soirée seul dans sa chambre et n'avait même pas manger n'ayant pas faim. Je m'inquiétais vraiment pour elle. 

Point de vue de T/p

J'étais vraiment déprimée, voir Rocky comme ça m'avait fait mal au cœur, je ne pourrais jamais assez remercié Denki de me l'avoir réparé, il était presque comme neuf. Si je revois Cassy je lui colle la plus grosse claque de toute sa vie. Malgré tout j'avais du mal à m'enlever les images de la mort de ma mère et ça me tordait l'estomac de douleur. Je me noyée encore plus dans mes souvenirs quand la porte de ma chambre fut ouverte avant d'être refermée. Bakugo s'allongea à côté de moi avant de ce recouvrir avec la couverture. 

T/p : Mais qu'est-ce que tu fais là ? 

Bakugo : A moins que tu l'ai oublié, une certaine personne a inondé ma chambre de confettis et dormir dans des petits bouts de papiers multicolore n'est pas très agréable. 

T/p : Oh merde, pardon j'ai oublié de nettoyé ta chambre ! 

Bakugo : Ouais j'avais remarqué ! Tu as de la chance, grâce à ta bêtise tu as l'immense honneur de dormir en ma présence. Je suis sûr que tu l'as fait exprès ! 

T/p : Mais pas du tout ! 

Bakugo : Mouais j'ai quand même un doute là dessus ! 

Il passa un bras en dessous de tête, je voyais bien qu'il essayait de me remonter le morale. C'était plutôt agréable d'être à ses côtés, doucement il entoura un bras autour de ma taille me rapprochant de lui. Il avait chaud, j'étais bien bien dans ses bras. Sa main glissa sous mon tee-shirt me faisant des papouilles sur mon ventre et ma hanche faisant battre mon cœur plus vite. Doucement je fus bercé par le son de sa respiration et ses papouilles pour m'endormir dans un sommeil sans rêve après cette journée difficile. 

Quelques semaines plus tard Bakugo et moi on c'était pas mal rapproché, il était assez taquin avec moi sans être méchant, il venait faire des balades avec Yuna et moi, et je m'entendais vraiment bien avec son groupe d'amis. C'était agréable d'être en sa compagnie et je me sentais de plus en plus attiré par lui. Mais malheureusement les choses ne c'étaient vraiment passés comme prévue. J'avais été déposé Yuna chez sa tante et j'avais passé quelques heures avec elle et la petite. J'appréciais vraiment sa tante, c'était une femme vraiment adorable et aux petits soins. Malheureusement pour moi, en rentrant à la maison je m'aperçue que le blond avait organisé une fête chez lui chose qui lui était formellement interdit. 

La maison était remplis d'étudiants pour certains déjà ivres, de l'alcool était renversé rendant le sol collant, la musique était à fond, les gens dansaient dans le salon et d'autres ce bourraient la gueule dans la cuisine. Je zigzagua entre les gens pour trouver Bakugo, il était sur le canapé en train d'embrasser une rousse à pleine bouche, mon estomac ce noua et ma colère ne faisait que d'augmenter. Il n'a pas respecté la confiance que j'avais en lui. Je m'approchais de lui, il pris conscience de ma présence, détacha sa bouche de la rousse et me regarda. Ses yeux étaient vitreux signe qu'il avait beaucoup trop bu d'alcool. 

Bakugo : Hey, salut beauté ! Tu aimes la fête ? 

T/p : Tu te fous de ma gueule ? Tes parents t'on interdit d'organiser une fête dans leur maison ! 

Bakugo : Ce sera bientôt ma maison quand ils vivront en Inde. Et d'ailleurs pourquoi tu me prend la tête ? Je croyais que tu étais une fille cool ! 

T/p : Je croyais que je pouvais te faire confiance pour ne pas faire un coup dans mon dos, mais non je dois te surveiller comme un enfant de cinq ans ! 

Bakugo : Entre nous deux c'est pas moi qui dors avec un stupide doudou ! Si t'es pas contente t'a cas foutre le camps de chez moi ! Je serais bien mieux sans toi, enfin la paix ! 

Ces mots me faisait mal, je savais qu'il était bourré, qu'il ne contrôlait pas ce qu'il disait et qu'il n'en n'avait même pas conscience, mais ça faisait quand même mal. 

T/p : Tu veux que je me casse ? Ok, pas de soucis, je me barre ! 

Bakugo : Bien ! Parfait ! J'en suis heureux ! 

Je sentais mes larmes montaient mais je ne voulais pas lui laisser le plaisir de lui faire voir que ses paroles me blessaient. Je monta jusque dans ma chambre pour voir un couple en train de coucher dans mon lit. 

T/p : Nan mais ça va ? Je ne vous dérange pas ? Vous pouvez aller baiser ailleurs ? 

Les deux n'étaient pas content que je coupe leur partit de jambe en l'aire, mais ils ce rhabillèrent et quitta ma chambre. Je pris un sac, mis quelques affaires dedans, pris Rocky, mon ordinateur et mes chargeurs. Je partis de la maison pour me rendre dans ma chambre étudiante, certes je devais prendre le métro et j'avais beaucoup de route mais c'était mieux ça que de rester dans cette maison. Je passa une main sur ma joue rageusement pour effacer une larme. Bakugo Katsuki est un crétin doublé d'un connard ! 

Point de vue de Bakugo

Je me réveilla sur le canapé du salon avec une fille à moitié nue sur moi, je passa une main dans mes cheveux, je sentais le mal de crâne arriver, et le goût amer de l'alcool dans ma bouche qui la rendais pâteuse. Je posa doucement la fille sur le canapé pour que je puise me lever. Il y avait des étudiants qui dormaient à même le sol sûrement comme moi imbibés par l'alcool, des gobelets et des bouteilles en verre trainés partout dans la maison. Le nettoyage va être compliqué. Je me levais de canapé, le mal de tête était arrivé, j'ai besoin d'un doliprane et d'un café ou même de dix cafés. Je traina ma carcasse jusqu'à la cuisine pour me servir un verre d'eau et un doliprane. Kirishima était là aussi, il était aussi mal en point que moi. 

Bakugo : Elle est où T/p ? Elle est restée chez ma tante ? C'est peut être mieux car si elle avait vue ça je crois qu'elle aurait câblée. 

Kirishima : Attend mec, je sais que j'ai bu moins que toi mais te ne te souviens de rien ? 

Bakugo : Me souvenir de quoi ? 

Mon meilleur ami m'expliqua tout ce qui c'est passé et toute les horribles choses que je lui ai dit. Mon estomac de noua, je suis complétement con. Un abrutis totale. Je passa mes mains dans mes cheveux rageusement épuisé de mon propre comportement. 

Bakugo : Dit moi que c'est une putain de blague ! 

Kirishima : Désolé mec mais non !

Bakugo : Oh putain, je suis un gros con ! 

Kirishima : C'est pas moi qui va te dire le contraire. 

Bakugo : Tu sais où elle habite ? Il faut que j'aille la voir ! 

Kirishima : Je ne sais pas mais Mina doit le savoir. 

Bakugo : Elle est où ? 

Kirishima : Dans ta chambre je crois. 

Je quitta la pièce en vitesse grand V pour trouver ma meilleure amie allongée dans mon lit en train de ronfler avec Denki collé à elle en train de baver sur mon oreiller. Je la secoua dans tout les sens pour la réveiller. 

Mina : Qu'est-ce qui a Bakugo ? Pourquoi tu me réveille si tôt ! 

Bakugo : Pour commencer il est 13h de l'après-midi, et je veux savoir où habite T/p ! 

Mina : Pourquoi ? 

Bakugo : J'ai fait le con avec elle, je dois aller m'excuser... J'ai vraiment été horrible avec elle. 

Mina : C'est mignon, il veux pas que sa chérie lui en veux. 

Bakugo : Mina ! 

Mina : Ok. OK. 

Elle m'envoya l'adresse de T/p par SMS, puis j'allais dans ma salle de bain me laver et changer de fringues qui puaient l'alcool. Puis je courra vers le métro pour me rendre chez elle. Sa résidence étudiante était prêt du campus, je dû attendre que quelqu'un ouvre la porte pour que je me faufile à l'intérieur, je chercha son nom sur les boîtes aux lettres, je le trouva et me précipita chez elle. 

Je toqua à sa porte, quelques minutes s'écoulèrent mais aucune réponse, alors je frappa de nouveau. Le son de sa voix traversa la porte. 

T/p : Je ne veux pas te parler Bakugo ! 

Bakugo : Je ne partirai pas T/p en tout cas pas temps que je ne t'aurais pas parlé. 

Plusieurs longues minutes s'écoulèrent de nouveau sans aucune réponse quand le déclique de la serrure retentit. La porte s'ouvrit et elle apparut devant moi, elle avait l'aire de ne pas aller très bien en même temps avec les horreurs que je lui ai dis c'est normale. Elle me laissa entrer, elle croisa les bras sur la poitrine vraiment énervée, je ferma la porte. Je pu regardais sa chambre, elle était vraiment petite, je dirai 9m², il y avait un lit et un grand bureau, elle avait décoré sa chambre de posters, il y avait des livres des classiques comme des œuvres plus modernes. Il y avait aussi une petite armoire et un mini frigo, c'était petit surtout quand on compare sa chambre à ma maison. Même sa chambre chez moi est trois fois plus grande que où elle vie en résidence étudiante. Comment fait-elle pour vivre dans un endroit aussi petit ? Le son de sa voix me ramena à la réalité me sortant de mes songes. 

T/p : Qu'est-ce que tu veux Bakugo ? 

Bakugo : Je suis vraiment désolé, je me suis comporté en connard. Je n'aurais pas dû te dire toute ses choses horribles mais j'étais complétement bourré. 

T/p : C'est une excuse ! Tu pensais tout ce que tu as dis ! 

Elle avait les larmes aux yeux et j'en étais la cause, ça me brisait le cœur et ça me dégoute de moi même. Je m'approcha d'elle, pris son visage en coupe, et passa mes pouces sur ses joues. J'aime le contacte de ma peau contre la sienne et être aussi près d'elle.  

Bakugo : C'est faux ! Je ne pensais pas ce que je disais, je suis qu'un gros con. J'te promet de ne plus jamais organiser une fête à la maison mais s'il te plaît reviens. 

T/p : Je ne sais pas... 

Bakugo : T/p s'il te plaît, je te promet de ne plus jamais dire ce genre de conneries. Reviens, j'ai besoin de toi... 

J'étais sincère, elle était dans ma vie depuis peut de temps mais je n'arrive pas imaginer de nouveau ma vie sans elle. Elle avait réussi à apaiser toute la colère que je ressentais contre mes parents, elle me faisait un bien fou, l'apaisement c'est quelque chose que je n'avais plus ressentit depuis longtemps, même si ce que je ressentais pour elle me faisait peur je ne pouvais pas me résoudre à ne plus l'avoir dans ma vie. Elle ce mordit la lèvre inférieur en réfléchissant, ce simple geste me donna une envie irrésistible de l'embrasser, je me battais tellement contre moi même pour ne pas céder à cette envie que mon ventre et ma gorge ce noua douloureusement. 

T/p : D'accord, mais si tu redis encore une seule fois ces choses horribles, je ne veux plus jamais et je dis bien plus jamais te revoir ! 

Bakugo : D'accord. 

L'idée de ne plus jamais la voir me donnait la nausée, alors j'ai vraiment intérêt à ne plus me comporter comme l'abrutis que je suis. Je la lâcha, elle réuni ces affaires avant de ce changer dans la salle de bain. Elle en sortit, je pris son sac et on quitta la résidence. 

Point de vue de T/p

Avec Bakugo on était de retour chez lui, il ne restait que son groupe d'amis, les autres avaient commencé à ranger la maison. On aurait dit que une tempête était passée et qu'elle avait ravagé toute le maison. Nous en avons pour des heures à tout ranger. J'allais mettre mon sac dans ma chambre avant de commencer à les aider. 

Quelques heures plus tard, on n'avait presque fini de tout ranger et nettoyer, Bakugo avait appelé sa tante pour lui demander de garder Yuna en inventant un mensonge. Depuis qu'on était rentré je n'avais pas beaucoup parlé au blond, même s'il c'était excusé j'avais encore dans ma tête ces paroles qui m'avaient fait tant de mal. Pourtant aussi au fond de moi, j'avais eu envie de l'embrasser dans ma chambre, cette attirance que je ressens pour lui commence à me dépasser. Mais est-ce que lui il ressens la même chose que moi ? Mina arriva vers nous, une bouteille vide à la main en souriant. 

Mina : Les gars et si on faisait une pause en faisant un jeu ? 

Kyoka : Tu veux jouer à quoi ? 

Mina : Action et vérité ! 

Tous étaient d'accord pour jouer, moi j'étais un peu réticente, en générale ce genre de jeu ne ce termine pas bien. On s'assit en rond dans le jardin, Mina posa la bouteille au centre et la fit tourner, elle tomba sur Denki qui dû plongé tout habillé dans la piscine faisant bien rire tout le monde. Plusieurs tours passèrent, les actions et vérités défilaient. Mina tourna une nouvelle fois la bouteille après avoir raconté la fois où elle avait fait pipi au lit dans une colonie de vacances. La bouteille s'arrêta sur Bakugo. 

Mina : Action ou vérité ? 

Bakugo : Action. 

Mina : Tu dois embrasser T/p !

T/p : Quoi ? Non ! 

Sero : Depuis quand ça te dérange d'embrasser une fille canon ? 

Bakugo : Je ne vais pas faire ça sans son accord ! 

Denki : En faite tu veux juste cacher le fait que tu embrasses comme un parpaing. 

Bakugo : Pas du tout ! 

Le blond semblait embarrassé ce qui était assez drôle à voir, les autres l'embêtait, il commençait à s'énerver. 

T/p : Ok, c'est bon tu peux. 

Bakugo : T'es sûr ? 

T/p : Ouais, ce n'est pas comme si c'était mon premier baiser. 

Je le sentais un peu hésitant, mais il ce leva quand même de sa place pour venir vers moi et s'accroupir à ma hauteur. Il ce pencha vers moi et posa simplement ces lèvre sur les miennes. C'était un baiser sage, mais sans trop comprendre comment le baiser prit en intensité. Ses dents mordillaient ma lèvre inférieur demandant l'accès à ma langue ce que je lui accorda, sa langue rejoignis la mienne enflammant encore plus le baiser. Une nuée de papillons s'envolèrent dans mon ventre retournant mon estomac. Comme-ci il prenait conscience de ce qu'il était en train de faire il ce sépara de moi, les joues un peu rougis. 

Denki : Je retire ce que j'ai dit, tu n'embrasse pas comme un parpaing ! 

Les autres explosèrent de rire, il reprit sa place pendant que moi j'étais profondément troublée par ce baiser et j'avais l'impression que mes joues brûlaient. J'essayais du mieux possible de cacher mon trouble. On joua encore une demi heure avant de recommencer à nettoyer le reste de la maison. Vers les coups de 23h on n'avait fini et les autres quittèrent la maison. J'étais seule avec Bakugo qui était quelque par dans la maison. Moi j'étais en train de me préparer quelque chose à manger car j'avais faim et c'était aussi un bon moyen d'essayer d'ignorer le trouble que je ressentais. Ce baiser m'avait chamboulé. Mais qu'en était-il de lui ? Est-ce que lui aussi ressens ce trouble ? Mon esprit était emplis de questions quand soudainement deux bras entourèrent ma taille. 

T/p : Bakugo ? 

Bakugo : Et bien je te parlais mais tu ne me répondais pas ! 

T/p : Désolée j'avais l'esprit ailleurs. 

Bakugo : Oh, et bien je sais ce qui pourrait te réveiller !

T/p : Quoi ? 

Il me leva du sol me portant sur son épaule me faisant protester à haute voix et lui le faisant rire. Puis il décida de me jeter dans la piscine coupant court à mes protestations. Ma tête remonta hors de l'eau, il était plié en deux de rire, j'attrapa le bas de son tee-shirt le balançant dans l'eau, il y a aucune raison qu'il est que moi qui soit trempé. Il avait l'aire choqué que j'ai osé faire ça, moi ça me faisait rire. Il nagea vers moi me bloquant contre le rebord de la piscine, ses yeux s'ancrèrent dans les miens, une tension s'installa entre nous et il perdit son sourire en aillant des yeux fiévreux. Doucement il posa une main sur ma joue, caressant ma peau avec son pouce faisant battre mon cœur plus vite. Il colla son front contre le mienne, sa main ce posa sur ma hanche, quand il pris possession de mes lèvres. Mes bras entourés sa nuque, ses mains allèrent sous mes cuises pour que j'entoure mes jambes autour de ma taille mon dos ce trouva coller contre le rebord de la piscine et ma poitrine à son torse. Je crois que mon cœur pourrait sortir de ma cage thoracique tellement qu'il bat fort. 

Sa main glissa sous mon tee-shirt caressant avec gourmandise ma peau. Ma main passa dans ses mèches blondes humides, nos lèvres ce dévoraient avidement. Son autre main ce posa sur ma nuque faisant basculer ma tête en arrière, accentuant le baiser. A bout de souffle il arrêta le baiser, collant de nouveau son front contre le mien toujours en continuant ses papouilles sur mon ventre. 

Baugo : T/p... 

Mon prénom comme une complainte dans sa bouche me fit rater un battement de cœur. Ses lèvres ce déposèrent délicatement sur les miennes pour un baiser doux. Puis il me hissa sur le rebord de la piscine de telle sorte que je me retrouve assise. Il quitta lui aussi la piscine pour aller chercher deux serviettes pour nous essuyer. Je remonta dans ma chambre, pour me changer encore plus troublée par ce second baiser qui cette fois n'était pas un défit. 

"Ellipse de quelques semaines"

Avec Bakugo les choses avaient changé, il était câlin même devant ses amis, il dormait souvent avec moi et il m'embrassait dés qu'il en a l'occasion. Plus je passais du temps avec le blond plus je sentais que j'étais encore plus attirée par lui que ce soit sur le plan physique que sur le plan sentimentale. Aujourd'hui on allait tous ensemble au cinéma pour l'anniversaire de Yuna, elle voulait aller voir le nouveau film de Disney. La petite tenait sagement la main de son grand-frère en faisant la queue pour les tickets et le pop-corn. Une fois tout récupéré, on n'alla dans la salle, il n'y avait pas assez de places libres pour qu'on ce mette tous ensemble, la petite insista pour être entre Mina et Kirishima car elle savait qu'ils allaient la laisser manger tout le pop-corn. Avec Bakugo on ce retrouva à l'arrière de la salle. La salle fut plongée dans le noir et le film commença. 

Durant le film Bakugo ce pencha vers moi et m'embrassa, je le sentais sourire contre ma bouche. Il posa une main sur ma joue caressant ma joue avec ses pouce, il colla son front contre le mien emprisonnant ma lèvre inférieur entre ses dents. C'est moi qui happa de nouveau ses lèvres, sa main ce posa sur le haut de mon genoux remontant doucement jusqu'au haut de ma cuisse frôlant délicatement ma peau recouvrant celle-ci de chaire de poule et faisant naitre des papillons dans mon ventre. Mon cœur battait vite. Ma main glissa sous son tee-shirt savourant les reliefs de ses abdos mais des rires nous ramenèrent à la réalité, on était dans une salle de cinéma remplis de personnes. Il soupira longuement, son souffle s'écrasa contre lèvres me donnant envie de continuer à l'embrasser durant des heures et que ses mains ce promène sur mon corps. Ses yeux étaient fiévreux, je savais qu'il avait les même idées que moi en tête. 

Bakugo : Tu préfère rester ici à regarder le film, ou venir avec moi ? 

T/p : Aller avec toi ! 

Un sourire coquin sans équivoque étira la commissure de ses lèvres, il prit ma main dans la sienne, je regarda l'endroit où était assis les autres, ils ne faisaient pas attention à nous. On quitta la salle de cinéma pour ce retrouver dans le couloir où ce trouvait les autres salles. Il marcha jusqu'à trouver un locale de ménage, on rentra à l'intérieur, la pièce était aussi grande que ma chambre étudiante et faiblement éclairé par une petite led. La porte était à peine refermée qu'il plaqua ses lèvres contre les miennes avant de me porter jusqu'à un meuble de rangement où il me posa dessus. 

Bakugo : T'es sûr de toi beauté ?

T/p : Ouais ! Certaine. 

🍋"Début du Lemon"🍋

J'avais autant envie de lui que lui avait envie de moi. Sans attendre il plaqua sa bouche contre la mienne allumant un feu de désir dans mon ventre. Je pris son tee-shirt et lui enleva, en me voyant aussi pressée un rire retentit dans le locale. 

T/p : Monsieur Katsuki Bakugo, est-ce que vous seriez entrain de vous moquer de moi ? 

Bakugo : Ouais, complétement ! Mais je trouve aussi ça très craquant ! Et puis je comprend ton empressement, je suis si beau et parfait, non mais franchement tu m'as... 

Je le fit taire en l'embrassant, une chose n'a pas changé c'est son côté arrogant mais pour être honnête ça va bien à son caractère explosif. Après ce baiser un sourire ce dessina sur son visage. Ses lèvres rencontrèrent de nouveau les miennes pour un baiser plus sage et plus doux que précédemment. Mes mains ce promenèrent sur son corps avec une certaine gourmandise profitant des vallons de son corps. Ce n'étais pas ma première fois, j'ai déjà eu des petits amis et quelques aventures par-ci par-là mais c'est bien la première fois qu'un garçon me fait autant d'effets et me donne aussi envie. 

Rapidement il ce débarrassa de mon tee-shirt, ses lèvres ce déposèrent dans mon cou, il embrassa le long de ma mâchoire descendant de ma gorge jusqu'à ma poitrine, il embrassa mes seins à travers la dentelle de mon sous-vêtements avant de doucement descendre jusqu'à mon ventre, les mèches du blond me chatouillaient me faisant sourire. J'aimais sentir ses mains sur mon corps. Il remonta emprisonner mes lèvres avec les siennes, pendant que sa main glissa sous mon soutien-gorge pour caresser mon sein. Moi je profitais des reliefs de ses muscles passant dangereusement sur la zone de son bas ventre recouvrant doucement son épiderme de chaire de poule. Puis ma bouche alla ce promener dans son cou passant juste sur son pouls qui battait vite, je suçota sa peau laissant ma marque sur sa peau. Puis le timbre de sa voix s'écrasa contre mon tympan me faisant frissonner. 

Bakugo : Je vois que tu es possessif beauté ! Si tu as le droit de l'être alors moi aussi ! 

Il ce décolla de moi me faisant grogner de mécontentement pour regardait autour de la pièce pour trouver ce qu'il cherchait, un marqueur noir. Que fait ce feutre ici ? Il débouchonna le feutre avec ces dents, comment ce simple geste peut être si sexy quand c'est lui qui le fait ? Il prit doucement mon bras avant d'y noter "Propriété de Katsuki Bakugo" et il mit ces initiales juste au dessus de mon cœur K.B comme-ci il lui appartenait ce qui était peut être un peu vrai. Je lui vola le marqueur des mains le faisant ricaner. 

T/p : Je peux ? 

Pour toute réponse, il me tendit son bras, j'y notais également "Propriété de T/p T/n" qui le fit sourire de toute ses dents. Il embrassa le long de ma mâchoire et glissa de nouveau sa main dans mon soutien-gorge, avec son pouce il caressa mon téton me faisant soupirer de plaisir, je passa une main dans mon dos pour décrocher mon sous-vêtement et l'enleva. Il ne perdit pas de temps avant de prendre mon téton dans sa bouche et le lécher avec avidité créant une boule de chaleur dans mon bas ventre. Sa main ce faufila sous mon pantalon et ma petite culotte, il caressa ma féminité avec son pouce, il prit mon autre téton dans sa bouche avant d'embrasser mes seins. Est-ce qu'il peut sentir battre mon cœur ? 

Il pénétra deux doigts en moi me faisant gémir, j'espère vraiment que personne ne peut nous entendre. Je pris la boucle de sa ceinture dans mes mains avant de la défaire et de descendre sa braguette et de plonger ma main dans son caleçon. Son membre était chaud et dur, je frôla son pénis du bout des doigts le faisant gémir contre mon sein. Son majeur alla titiller mon clitoris me faisant gémir une nouvelle fois et cambrer mon dos. Il accéléra le mouvement de ses vas et viens faisant grandir la boule de chaleur dans mon bas ventre. Mon pouce glissa le long de sa verge, il grogna de plaisir. Putain c'est si sexy quand il gémit. J'accentua mes propres caresses, la boule de chaleur dans mon bas ventre grossit jusqu'à exploser rependant une vague de plaisir dans tout mon corps me faisant jouir. Je termina mes caresses, il éjacula sur ma main et dans son caleçon. Nos souffles étaient courts, il me prit dans ses bras et embrassa tendrement mon cou et ma joue me faisant sourire. 

🍋"Fin du lemon"🍋

Point de vue de Bakugo

Une fois nos respirations redevenue à la normale, on ce nettoya et on ce rhabilla. Si le jour où que je l'ai vue on m'aurait dit que j'aurais fait des choses coquines avec elle dans la pièce d'entretien d'un cinéma, j'aurais ris à gorge déployée. Mais la réalité est là, je viens de m'envoyé en l'aire avec T/p et putain c'était trop bien. J'avais déjà fait ce genre de trucs avec d'autres filles, mais avec elle c'était carrément différent. Il y avait quelque chose de plus excitant et en même temps de plus doux, il y a aussi cette connexion qu'il y a entre nous rendait le sex encore meilleur. Et puis c'était la première fois que je suis possessif avec une fille, d'habitude je m'en cogne mais avec T/p c'est différent, je ne supporte pas l'idée qu'un autre mec l'approche. Je savais pertinemment que j'étais en train de tomber amoureux d'elle, si ce n'est pas déjà fait. 

Elle était complètent rhabillée tout comme moi, je pris son visage en coupe et déposa avec douceur mes lèvres contre les siennes. Je la pris par la main, j'adore voir nos doigts entrelacés comme ça et encore plus les inscriptions sur nos bras. J'aime ça aussi qu'elle soit possessif avec moi, au moins ça montre qu'elle tiens à moi. Je crois que ça ne me dérange pas qu'on soit possessif l'un envers l'autre tant que ça ne deviens pas toxique. 

On sortit tout deux du locale d'entretien en faisant attention à ne pas nous faire chopper. Je ne suis pas sûr que les responsables du cinéma soit content d'apprendre qu'on c'est fait plaisir dans le locale d'entretien. On retourna à nos places dans la salle, T/p s'installa contre moi, je passa une main sous mon tee-shirt pour lui faire des papouilles sur le ventre la faisant ronronner de bonheur, un son purement adorable. Mon regard croisa celui de mon meilleur ami, il nous avait grillé et vue son sourire il n'était pas dupe de ce que nous faisions durant notre absence surtout en voyant nos sourires niais post-orgasme. Je me contentais de lui faire un doigt d'honneur, il ricana avant de ce tourner vers l'écran tout comme moi. J'étais vraiment bien avec elle dans mes bras. Je sentais que mon cœur était en train de fondre comme du chocolat sur le feu et j'adore cette sensation. 

Point de vue de T/p

J'étais allongée dans mon lit en ne me sentant vraiment pas bien. Mes règles me faisait beaucoup trop mal et à chaque fois que je me levais j'avais des vertiges et la nausée. Depuis que je suis ado je souffre de règle hémorragique, mon flux de sang est important, j'ai l'impression de me vider de mon sang sans compter la douleur. Les règles de base sont super chiantes mais alors là c'est l'enfer. J'ai juste envie c'est de rester dans mon lit et de ne rien faire de la journée. La porte de ma chambre fut ouverte par le blond, en me voyant il fronça les sourcils inquiet. 

T/p : J'ai une si sale tête que ça ? 

Bakugo : Tu vas bien beauté ? 

T/p : J'ai mes règles et je ne me sens pas bien... 

Bakugo : Je peux faire quelque chose pour toi ? 

T/p : Tu ne peux rien faire mais c'est gentil de proposer.

Bakugo : Ok, je te laisse te reposer. 

Deux heures plus tard Bakugo reviens dans ma chambre, les bras chargés de plein de trucs. Il ce posa à côté de moi. 

T/p : C'est quoi tout ça ? 

Bakugo : Je suis aller à la pharmacie et au magasin pour te prendre des trucs. Met toi assise.

Ok, c'est juste tellement adorable de sa part, je crois que aucun de mes anciens petits amis n'ont fait ça pour moi. Je fis ce qu'il me dit et me mis assise. Il ce glissa derrière moi, j'appuya mon dos contre son torse avant qu'il pose une bouillote chaude sur mon bas ventre me faisant un bien fou. 

Bakugo : Alors je t'ai ramené, des médocs, des protections j'ai pris un peu de tout ne savant pas ce que tu préfère. D'ailleurs comment vous faites pour vous y retrouver avec tout ces trucs ? Limite le choix des capotes est plus simple ! J'ai dû appeler Mina pour qu'elle m'aide, et elle c'est bien foutue de ma gueule. Ensuite je t'ai pris des snacks sucrés et salés. Mais si vraiment tu te sens mal on peut appeler le médecin. 

T/p : ça va aller merci, c'est adorable te ta part, c'est parfait. 

Bakugo : Et ouais, je sais que je suis le mec parfait ! 

Malgré son air plaisantin, je le voyais vraiment inquiet. C'était craquant toute ses attentions. Il mit bien l'ordinateur portable pour suivre la série avec moi avant d'enfouir sa main sous mon tee-shirt me faisant des papouilles sur le haut de mon ventre qui n'était recouvert par la bouillote. C'était agréable et je me sentais bien dans ses bras, il me claqua un bisou sur la joue avant de poser sa tête sur mon épaule profitant de ce petit moment à deux pendant que mon cœur s'emballait. 

"Ellipses de quelques temps" 

Il ne me restait qu'une semaine dans cette maison entant que baby-sitter, et ça me rendais terriblement triste, je m'étais vraiment attachée à la petite et je dois bien l'avouer que je suis tombée amoureuse de Bakugo. Tout ce temps passé avec lui n'on fait que nous rapprocher, mais dans quelques jours je serai de retour dans ma minuscule chambre étudiante. Est-ce que Bakugo et moi c'était simplement une amourette d'été ? Je n'aimais pas me poser ce genre de question, pourtant on ne ce serai jamais parlé si je n'étais pas devenu la baby-sitter alors peut être qu'il y a aucune raison de poursuivre cette relation entre nous deux et ça me rendais triste. Le blond arriva vers moi et posa un bisou sur ma joue. 

Bakugo : Tu es prête pour le rencard ? 

T/p : Oh alors tu prend notre petite sortit pour un rencard ? 

Bakugo : Bien sûr pas toi ? 

T/p : Ok alors c'est un rencard, alors j'attend que tu m'offre plein de sucrerie ! 

Bakugo : Autant que tu veux !

Il rigola et ce pencha vers moi pour m'embrasser avant de me prendre par la main. Il m'avait invité à la fête foraine, après la mort de ma mère je n'avais jamais osez y retourner, il m'avait dit que je devais affronter ma peur et qu'il serait avec moi pour le faire alors il m'avait invité le jour où Yuna était chez sa tante. C'était aussi notre dernière soirée à deux avant le retour des parents de Bakugo. 

On arriva à la fête foraine, une boule d'angoisse s'installa dans mon ventre. Voyant que je ne me sentais pas au top il m'offrit une barba à papa avant de m'en voler une partie. 

T/p : Hey ! 

Bakugo : Bas quoi ? Moi aussi j'ai envie de manger sucré ! 

Il posa ses mains sur mes hanches avant de me tirer vers lui et de m'embrasser délicatement. Puis il me reprit par la main pour aller faire quelques manèges, des jeux au stands, et d'aller aux machines à pinces, il m'attrapa une peluche de lapin tout bleu juste adorable qui fera une bonne compagnie à Rocky. Peut à peut grâce à lui je sentais mon angoisse disparaitre. Puis c'était bientôt les feux d'artifices, je ne sais comment mais on trouva une bonne place, il entoura ma taille de ses bras et les feux d'artifices explosèrent dans le ciel noir. C'était vraiment beau, je me tourna légèrement vers le blond qui me regardait. 

T/p : C'est pas moi qu'il faut regarder c'est les feux d'artifices ! 

Bakugo : Tu es beaucoup plus belle que tout les feux d'artifices de cette planète ! 

Je sentais mon cœur fondre comme de la neige au soleil, je l'embrassa profitant du goût sucré de ses lèvres et sous le bruit des feux d'artifices qui explosaient dans la nuit. C'est ce genre de chose qui m'ont fait tomber amoureuse de lui. Après les feux on profita encore de la fête foraine en allant manger des churros avec du chocolat. 

Après la fête foraine on retourna à la maison, j'étais heureuse d'avoir passé un bon moment là-bas, je suis sûr que ma mère aurait était heureuse de ça. La maison était plongée dans le noir, seule la lumière de la lune passait par les baies vitrées. La maison était silencieuse, Bakugo entoura ma taille de ses bras avant d'embrasser mon cou, je bascula ma tête sur le côté pour qu'il est plus de peau à embrasser. J'aime tellement être dans ses bras, ses baisers allaient en dessous de mon oreille dans cette zone si sensible me faisant ronronner. Je me tourna vers lui et happa ses lèvres avidement. D'un coup il me souleva du sol, j'entoura sa taille de mes jambes avant qu'il ne monte les escaliers toujours en m'embrassant à pleine bouche. 

Il ouvrit la porte de sa chambre avec son pied, il nous bascula tout les deux sur son lit défait me faisait rire. Il s'allongea à côté de moi aussi souriant que je l'étais. Il passa une main sur ma joue, je sentais qu'il voulait me dire quelque chose. 

Bakugo : T/p... 

T/p : Oui ? 

Bakugo : Tu sais que mes parents vont revenir dans quelques jours avant de repartir pour l'Inde. J'ai deux choses à te demander, la première j'aimerai que tu vienne habiter ici, j'en ai parlé à ma mère et elle est d'accord, et la deuxième chose c'est : est-ce que tu veux sortir avec moi ? Enfin je veux dire officiellement ? Ce que je veux dire, est-ce que tu veux être ma copine ? 

Le voir aussi confus était à la fois mignon et drôle. Je le voyais nerveux en attendant ma réponse en même temps j'étais heureuse que mes sentiments que j'avais pour lui été partagé. 

T/p : Je veux bien sortir avec toi. Tu es sûr que ça ne dérange pas tes parents que je m'installe ici ? 

Bakugo : Non, ma mère en était même contente, elle m'a dit "Au moins je suis sûr que la maison ne partira pas en fumée". Alors tu viens vivre ici avec moi ? 

T/p : Ouais, avec plaisir ! 

Soulagé il ce pencha vers moi pour m'embrasser. Je le fis basculer en arrière sur le matelas avant de me mettre à califourchon sur lui, une lueur coquine et d'excitation brillait dans son regard. Ma main ce glissa sous son tee-shirt profitant des vallons de sa peau. 

Bakugo : Tu l'aimes bien mon corps de rêve ? 

T/p : Oui, et puis tes yeux, tes mèches blondes, tes lèvres, et même ton côté arrogant. C'est dire à quel point t'a réussi à me faire tomber pour toi ! 

Bakugo : Et moi c'est toi toute entière que j'aime ! 

Entendre me dire qu'il m'aimait me fit sourire. Je me pencha vers lui pour l'embrasser, sa langue rejoignis ma main il avait un goût sucré que j'adore à cause de toutes les sucreries que nous avons manger allumant un feu en moi. Ses mains sur mes hanches me colla encore plus à lui, on n'avait envie l'un de l'autre. 

🍋"Début du Lemon"🍋

Je remonta son tee-shirt le long de son torse, je frôla sa peau du bout des doigts passant de ses côtes, à ses abdos et de ses pectoraux. Il y a pas à dire Bakugo est un mec vraiment sexy. Je me pencha vers lui et déposa mes lèvres juste au dessus de son cœur, je descendis jusqu'à son téton et le lécha, ses mains ce posèrent sur mes cuisses et remonta jusqu'à mes fesses et ses mains glissant sous ma petite culotte. D'un geste souple il ce débarrassa son tee-shirt, ses mains ce posèrent sur les pans de mon tee-shirt et me l'enleva. Mes baisers retrouvèrent le chemin de son cœur jusqu'à descendre à la lisière de son pantalon. Je défis sa braguette, et me débarrassa de son pantalon, il était maintenant en caleçon, je vue son érection naissante. Il ce mit assis, avant de me tirer sur ses genoux et happer mes lèvres. J'entoura sa nuque de mes bras, je crois que je me lasserai jamais de l'embrasser. Il enleva ma jupe et mes chaussettes hautes, je me retrouva moi aussi en sous-vêtements, nos peaux ce frottant avec gourmandise et mon cœur battant à vive allure. 

Ses lèvres ce déposèrent dans mon cou à la naissance de mon oreille, laissant trainer sa langue sur mon épiderme. Ses mains glissèrent dans mon dos pour détacher mon soutien-gorge, il descendit ses baisers vers ma poitrine, il embrassa le moindre centimètre de peau, il passa sa langue sur mon sein passant sur mon téton avant d'emprisonner celui-ci dans sa bouche me faisant soupirer d'aise. Mon cœur ce mis à battre plus vite, une petite boule de chaleur s'installa dans mon bas ventre. Nos basins ce frottait l'un contre l'autre faisant grandir son érection. Ses mains passaient sur mon corps, de la chaire de poule pris possession de ma peau malgré la chaleur de cette nuit d'été. 

D'un coup je força mon blond à s'allonger sur le lit, il arqua un sourcils à la fois étonné et curieux. Je l'embrassa rapidement avant embrasser son torse jusqu'à descendre jusqu'à son caleçon, je lui fit un suçon juste au dessus de l'élastique de son sous-vêtement. Je pris son caleçon et le glissa le long de ces jambes libérant son érection. J'embrassa son pénis, sa respiration ce coupa d'un coup. 

Bakugo : T'es pas obligé de me faire une pipe. 

T/p : Avec toi ça me va, par contre je n'aime pas avaler. 

Bakugo : Ok. 

Ma langue lécha le long de son pénis le faisant trésahir à ce simple contacte, mon pouce passa sur sa verge le faisant gémir puis pris son membre dans ma bouche, ma langue caressait le bout de son sexe et mes doigts le caressaient également le faisant devenir de plus en plus dur. Ces gémissements rauques étaient vraiment sexy. J'accentua un peu plus mes coups de langue et mes caresses, sa main passa dans mes cheveux m'incitant à continuer ce que je faisais. J'aimais l'idée d'être maîtresse de son plaisir comme lui pouvait l'être du mien, je trouvais ça vraiment excitant. 

Bakugo : T/p je vais venir ! 

Il me prévenait qu'il était sur le point d'éjaculer pour que je puisse arrêter ma fellation, j'aimais le fait qu'il accepte mon choix de ne pas avaler et surtout que je sois consentante dans tout ce qu'on faisait. C'était déjà arrivé dans mes précédentes relations que mes partenaires ce fiche complétement de mon plaisir ou encore si je voulais faire quelque chose ou pas, ça pouvait crée pas mal de dispute car je ne me laissais pas faire. Je crois qu'il y a certains mecs qui ne comprennent pas que le sex ne s'arrête pas quand le mec a éjaculé et que les femmes aussi on besoin de ce plaisir charnel. 

Je continua mes caresses avec ma main sur son membre, ses joues étaient rougis à chacun de ses gémissement, c'était sexy, puis les muscles de son ventre ce contractèrent avant qu'il éjacule emportant ses gémissements dans l'aire moite de la pièce. Je m'allongea juste à côté de lui, il avait le regard embué du plaisir qu'il venait de prendre, je passa mes doigts sur ses mèches blondes, il était beau comme ça. Je me pencha pour l'embrasser amoureusement, il posa sa main sur ma joue caressant ma joue avec son pouce, j'aime tout ses petits gestes d'attention qu'il a envers moi. Quand un déclique traversa mon esprit. 

T/p : Tu as des capotes ? 

Bakugo : Regard dans le tiroir de ma table de chevet. 

J'allais chercher les préservatifs dans le meuble quand je tomba sur une huile de massage comestible. Je me tournais vers lui un peu étonnée. 

T/p : Je ne savais pas que tu aimais les massages ! 

Bakugo : J'aime autant en avoir, qu'en faire, je trouve ça à la érotique et ça crée une connexion entre partenaires. Malheureusement j'ai eu que très rarement l'occasion de l'utiliser cette huile de massage. 

T/p : Tu sais moi je ne suis pas contre un massage ! 

Un sourire coquin emplis d'excitation étira ses lèvres, il me tendit sa main que je prit, je m'allongea sur le ventre sur le lit. Bakugo ce mit juste au dessus de moi, je sentis le liquide froid coulait sur mon dos me faisant sursauter, le blond entrepris de me masser, il massa tout mon dos s'attardant sur mes zones sensibles, ma nuque et le bas de mon dos, c'était vraiment agréable, je veux bien ce genre de massage tout les soirs. 

Bakugo : Tourne toi beauté. 

Je fis ce qu'il me dit et me retourna sur le dos, il reprit le petit flacon d'huile de massage pour y ajouter un petit filet. Je devais avouer que cette huile avait une odeur incroyable. Il commença à masser mon ventre remontant lentement vers ma poitrine, massant mes seins me faisait gémir. Puis il ce pencha vers moi, déposa sa langue à mon nombril avant de remonter jusqu'en haut de ma gorge laissant trainer sa langue sur ma peau faisant battre mon cœur plus vite. Mon basin frotter contre le sien, sa nouvelle érection frottant le tissus de ma culotte contre ma féminité prisonnière de ce petit bout de tissus. 

T/p : elle est si bonne que ça cette huile ? 

Bakugo : Ouais pas mal, mais ce que je préfère c'est la personne que je masse. Tu veux gouter ? 

T/p : Carrément ! 

Ma réponse le fit ricaner, il me passa le flacon, je déposa simplement une goute dans son cou avant d'y promener ma langue, je devais avouer que c'était hyper bon avec un petit gout de bonbon. 

Bakugo : Tu aimes ? 

T/p : J'adore ! 

Bakugo : Et moi c'est toi que j'adore ! 

T/p : Moi aussi je t'adore. Comment tu as réussi à me faire tomber amoureuse de toi ? 

Bakugo : Je pourrais te retourner la question ! 

Il reprit délicatement possession de ma bouche, continuant à câliner mon corps. Mon cœur battait fort dans ma cage thoracique et les papillons dans mon ventre était lentement en train de ce transformer en tempête dans mon estomac. Je pris la capote qui était à côté de moi, déchira l'emballage en aluminium avant de la dérouler le long de son pénis. Je m'assura qu'elle était bien mise, les baisers brûlants de Bakugo dévorait ma mâchoire et ma gorge avant d'aller titiller mes tétons qui fit grossir la boule de chaleur dans mon bas ventre, sa main parcourra tout mon corps pour ce cacher dans ma culotte, son pouce caressa ma féminité avant de pénétrer deux doigts en moi me faisait gémir. Toujours en embrassant mes seins, il fit un mouvement de vas et viens caressant mon clitoris, mon bassin bougeait le long de ses doigts, la boule de chaleur ne faisait que grossir. Mon corps le désirait, comme le sien désirait le mien. J'avais envie d'encore plus le sentir contre moi. 

T/p : Bakugo... Viens en moi... 

Bakugo : Tout ce que tu veux mon amour ! 

"Mon amour" je crois que c'est mon surnom préféré dans sa bouche, bien plus que "Ma beauté", il retira ses doigts de moi me provoquant un sentiment de frustration, il prit ma culotte et me l'enleva. Il s'installa entre mes jambes, ses mains ce posèrent sur mes cuisses ramenant mes jambes à ses hanches, il ce pencha vers moi m'embrassant. Doucement il me pénétra en faisant attention à ne pas me faire mal, un gémissement sortit de ma bouche, une fois au fond de mon vagin il attendit un peu pour que je m'habitue à lui. Il commença ses vas et viens, nos souffles ce mélangeaient, son membre tapait contre la boule de chaleur la faisant grandir et déchargeant des vagues de plaisir. J'aimais le contacte de sa peau contre la mienne, ses gémissements contre ma bouche, ses mains sur mon épiderme ce couvrant de chaire de poule, il glissa une main dans mon dos ce posant au creux de mes reins, collant encore plus nos basins l'un à l'autre et accentua nos ressentis. Son autre main caressa mes seins et sa bouche dévorait la mienne avec avidité. Moi mes bras était autour de sa nuque rapprochant nos corps, on avait besoin de sentir ce contacte, d'être l'un contre l'autre. 

Ses vas et viens continuaient à taper la boule de chaleur, la pièce était emplis de nos souffles, de nos gémissements étouffés par nos baisers et du bruit de nos corps frottant contre les draps. Plus il faisait des vas et viens plus son membre devenait dur en moi, je sentais que je n'étais pas loin de l'orgasme tout comme lui. Ses vas et viens s'accentuèrent jusqu'à que la boule explosa rependant une énorme vague de plaisir dans tout mon corps me faisant gémir contre sa bouche. Il n'en fallut pas plus pour emmener Bakugo avec moi dans l'orgasme. Nos muscles étaient détendu, nos souffle courts, nos peaux brûlantes et nos esprits embrumés par le plaisir. 

🍋"Fin du Lemon"🍋

Bakugo m'embrassa sur la joue avant de me faires des papouilles dans les cheveux avec un grand sourire sur le visage tout comme moi. Ses yeux brillaient d'amour me faisant complétement fondre. 

T/p : Je t'aime Bakugo ! 

Bakugo : Je t'aime aussi T/p ! Tu n'imagines pas à quel point je suis bien dans ma vie depuis que tu es dans cette maison. 

Je sentais mon cœur fondre, moi aussi je me sentais mieux depuis que j'étais ici, il avait apaisé la tristesse que je ressentais depuis la mort de ma mère. Je suis sûr qu'elle l'aurais adoré. Je me pencha vers lui pour l'embrasser et profita de ses câlins.

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Chatlout à tous, comment allez-vous ? J'espère que vous passez une bonne journée ? 😸😸😸

Que pensez-vous de ce One Shot ? Perso c'est toujours autant un kiff d'écrire un One Shot. 🥰

D'ailleurs ce One Shot est plus long que les Héritiers de Odin avec plus de 16 000 mots, je n'avais vraiment pas prévue qu'il soit aussi long, j'ai eu plein d'idées en plus que j'avais eu au départ. 

Si vous avez aimé ce One Shot n'hésitez pas à vous abonnez, j'ai d'autre One Shot sur mon compte et à laisser un petit commentaire ça fait toujours plaisir. 😸

J'espère que vous avez aimé, je vous dit à bientôt pour le prochain One Shot, je vous milles bisous ! 💜💜💜

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