One Shot

Point de vue de T/p

Cela faisait un an que je travaillais dans l'entreprise "KILLER.B", j'occupais la fonction de secrétaire pour le PDG de cette entreprise, Katsuki Bakugo. A seulement 23 ans, c'était une chance pour moi d'occuper un tel poste d'une entreprise aussi renommée que la nôtre. Les missions de mon travail sont de prendre en note les réunions avec les collègues ou à l'extérieur, organiser les agendas des cadres et du patron, faire les mails pour nos partenaires commerciaux, taper les rapports ou encore les bilans administratifs. C'était pas le boulot le plus excitant du monde, mais les gens sont gentils enfin pas tous et j'y apprend beaucoup.

Malheureusement dans ce travail je dois supporter le caractère vraiment pas facile du PDG de cette entreprise. Je dois avouer que Bakugo est vraiment très beau, il avait une aura charismatique à telle point que personne n'osait le contredire ou encore lui tenir tête. Malheureusement pour moi, la première personne qui doit subir son caractère c'est moi, il est du genre autoritaire et tout doit être fait comme il aime, tout le travail qu'on fait doit être parfait, il a déjà fait pleurer pas mal de personnes de l'entreprise. Il était aussi populaire, faisant souvent les couvertures des magazines, qu'il avait monté son entreprise très jeune et qu'il a rapidement eu du succès, il était aussi qualifié de "sexy" par les journalistes, je sais qu'il a eu quelques relations mais aucune n'a duré dans le temps. A mon avis il doit demander la perfection à ces compagnes autant qu'à nous ces employés.

D'ailleurs il n'était pas rare de terminer tard dans cette boite, c'était d'ailleurs l'une de ces journée il était 21h et je n'avais toujours pas fini de taper mon bilan avec l'un de nos partenaires commerciaux. Je soupira de fatigue, j'en ai marre de travailler aussi tard, j'ai juste envie de rentrer chez moi, de me mettre sur le canapé et regarder une série en mangeant, mais non je suis coincée ici à saisir un putain de rapport.

Bakugo : Vous semblez désespéré !

Je sursauta de surprise, pour croiser des yeux rouges, il s'avança dans mon bureau, j'avais un bureau mitoyen au sien, mais le mien était plus petit et décoré contrairement au sien qui était beaucoup plus neutre. Il se positionne derrière moi, je sentais mon cœur battre et son regard sur ma nuque.

Bakugo : Je comprends votre soupire à réveiller les morts, ce n'est pas très passionnant d'écrire un rapport.

T/p : Pas vraiment non...

Je l'entendis ricaner dans mon dos, sûrement surpris par ma réponse honnête. Il se posa sur le rebord de mon bureau me fixant du regard, je me sentais scanner de la tête au pied, puis un sourire se dessina sur ses lèvres.

Bakugo : Vous avez mangé ?

T/p : Non, pas encore !

Bakugo : Bien, alors je vais commander, je prend quoi pour vous ?

T/p : Non merci...

Bakugo : Je fais si peur que ça pour que tout le monde refuse de manger avec moi ?

T/p : Oui !

Bakugo : Vous êtes toujours aussi honnête ?

T/p : Oui...

Bakugo : Et moi je suis un homme extrêmement têtu, mangez avec moi, c'est un ordre de votre supérieur ! Des sushi ça vous va ?

T/p : Oui, ce sera parfait !

Il quitta mon bureau sûrement pour commander à manger, j'étais surprise qu'il me propose de manger avec lui, enfin ça fera du bien, mon ventre est en train de crier famine. Vingt minutes plus tard il vient me chercher pour manger, je quittais mon siège pour le rejoindre dans le bureau. Il avait enlevé sa veste de costume comme sa cravate pour rester en chemise où il avait déboutonné quelques boutons, une chose est sur ce type est carrément sexy. Je le rejoins sur le canapé.

T/p : Merci pour le repas.

Bakugo : Je vous vois souvent rester tard, pourquoi ?

T/p : Car le département commerciale ne fait pas correctement leur taff et que je suis obligée de passer derrière eux dans les bilans.

Bakugo : Je vois, vous êtes beaucoup trop gentille d'accepter de rattraper leurs merdes ! Si j'avais été vous je les aurais laisser ce démerder.

T/p : Et bien vous n'êtes pas moi, mais vous êtes le patron !

Bakugo : Bien vue !

Un nouveau sourire se dessina sur ces lèvres, je pris un sushi et le mangea, ça faisait un bien fou de manger. Il se leva pour prendre deux verres, et une bouteille de vin. Il remplit les deux verres avant de m'en tendre un, j'accepta volontiers. Je porta le verre à mes lèvres pour boire une gorgée, ce vin était vraiment excellent, je n'ose même pas imaginer son prix. 

Bakugo : Et vous n'avez personne qui vous attend chez vous ?

T/p : Si c'est un moyen détourné de me demander si j'ai un petit copain, alors non personne ne m'attend. A part peut-être mon canapé et ma télévision.

Bakugo : Je peux vous comprendre ! J'aimerai beaucoup rentrer chez moi, mais j'ai malheureusement une réunion à terminer.

T/p : Celle de l'entreprise "PLUS ULTRA" ?

Bakugo : Oui, vous y assisterez aussi à côté de moi.

T/p : Mon rôle est simplement de prendre en note la réunion.

Bakugo : Je sais, c'est moi qui paye votre salaire. Je n'aime pas particulièrement les réunions, mais avec vous à côté de moi je sens que ça va être plus amusant.

T/p : Pourquoi je sens que vous avez quelque chose en tête !

Bakugo : Peut-être...

Un sourire amusé se barra sur son visage à cette vue mon cœur loupa un battement. J'essaya de mettre ça dans un coin de la tête, je me penchais pour prendre le dernier sushi au saumon mais lui aussi le voulait. On se défia du regard, il avait un air joueur tout comme moi.

Bakugo : Je suis votre patron !

T/p : Et alors ?

Bakugo : Je pourrais vous virée !

T/p : Pour un sushi au saumon, ça ne passe pas au tribunal !

Bakugo : Vous allez prendre le risque ?

T/p : Totalement !

Je pris le dernier sushi et le mangea sous son regard horrifié qui me faisait rire. C'était la première fois que je le voyais aussi détendu. Pendant un peu plus d'une heure on discuta de tout et de rien, c'était vraiment agréable, il semblait plus doux et moins stressé que d'habitude.

Bakugo : J'y crois pas que tu ai mangé le dernier sushi !

T/p : On se tutoie maintenant ? Et faut tourner la page, ce sushi m'étais destinée.

Bakugo : Oui, j'ai envie de te tutoyer, fait le toi aussi. Je n'en reviens pas qu'une fille aussi mignonne qui toi soit célibataire.

T/p : J'ai rompu avec mon dernier petit copain.

Bakugo : Pourquoi ?

T/p : Il était beaucoup trop jaloux et refusait que je sors seule sans lui. Je ne suis pas une enfant et je n'aime pas me sentir surveillée.

Bakugo : Je comprend qu'il veule te garder pour lui tout seul.

Mes joues prirent une couleur rouge, il était clairement en train de me draguer, c'était un peu étrange mais c'était aussi agréable, Bakugo est vraiment bel homme et recevoir des compliments de sa part est assez inattendu. 

Bakugo : T'es vraiment mignonne quand tu rougis !

T/p : A qui la faute ?

Bakugo : Surement la mienne !

T/p : Je vais devoir retourner travailler.

Bakugo : Même si ça me fait mal au cœur de te dire ça, rentre chez toi.

T/p : Je n'ai pas terminée, je vais me faire engueuler demain matin.

Bakugo : C'est moi ton patron, alors si je dis que tu rentres, tu rentres. Si demain on te dit quelque chose viens me voir et je réglerai la situation.

T/p : D'accord merci beaucoup.

Je fini mon verre de vin d'une traite faisant rire le blond, j'allais chercher mes affaires dans mon bureau, quitta l'entreprise pour me rendre au métro et enfin rentrer chez moi pour un repos bien mérité. C'est avec beaucoup de bonheur que je m'allongeais sur mon canapé devant la télévision. 

Le lendemain matin je me rendais à mon travail, j'avais assez peu dormi, mais le peu de rêve que je fis était peuplé de l'image d'un certain blond de patron, et lui et moi ne nous faisions pas que nous embrasser. Je crois que mon cerveau a intégré l'idée que ce type est diaboliquement sexy et qu'il me draguait ouvertement hier soir. Alors que je pensais à ce qui c'était passer hier soir, Joshua le chef du service des commerciales viens vers moi énervé, je savais déjà qu'il était en colère que je ne lui ai pas envoyé le bilan que je tapais hier soir.

Joshua : T/p ! Je peux savoir pourquoi je n'ai pas mon bilan ?

T/p : Bonjour aussi !

Joshua : Ne joue pas la maligne, où est ce putain de rapport ?

T/p : Je n'ai pas eu le temps de le terminer...

Joshua : Comment ça tu n'as pas eu le temps ? Que faisais-tu hier soir ? T'es idiote ou quoi ? Je t'ai donné du travail et tu ne le fais pas dans les temps, tu es une bonne à rien de secrétaire, si ça ne tenait qu'à moi je te virerai !

Bakugo : ça tombe bien, ce n'est pas à toi que reviens cette tâche ! 

On sursauta tout les deux en entendant cette voix rauque, je me tournais pour voir Bakugo les yeux rivés sur Joshua. Il s'avança vers moi, me détailla quelques instants avant de ce tourner de nouveau vers l'homme.

Bakugo : Je peux savoir pourquoi tu engueule MA secrétaire ?

Joshua : Euh... Et bien... Cette idiote ne m'a pas rendu un bilan !

Bakugo : Oh oui, ce fameux bilan dont ton équipe à la charge, j'aimerai savoir pourquoi c'est elle qui le tape en rattrapant toute vos conneries ? Elle a déjà bien à faire avec son propre travail.

Joshua : C'est que...

Bakugo : "C'est que" rien du tout ! Puisque c'est elle qui a fait ton travail, tu ne verra pas d'inconvénient à ce que je prenne ta prime et que je lui donne ?

Joshua allait répliquer quelque chose mais celui-ci ce tue en voyant à quelle point le patron était en colère.

Bakugo : Rentre toi ça dans le crâne, T/p c'est MA secrétaire, alors hors de question que vous lui donniez VOTRE travail, si je vous revoie faire je vous vire et ça sans prime de départ. Maintenant hors de ma vue, tu m'a assez mis en colère comme ça.

Le commercial partit sans demander son reste, complétement sous le choque, moi je me retenais de rire. Bakugo m'invita à la suivre jusqu'à son bureau.

T/p : Merci de m'avoir aider.

Bakugo : Je t'en pris... Maintenant il faut que je trouve une nouvelle excuse pour que tu reste tard le soir avec moi au bureau.

T/p : Si vous me le demandez gentiment peut être que j'accepterai !

Il me regardait avec amusement, cela se voyait qu'il aimé notre échange. Il regarda sa montre avant de soupirer de frustration.

Bakugo : J'adorai continuer à t'embêter mais malheureusement nous avons une réunion...

Je me contentais d'acquiesçais avant d'aller chercher de quoi noter la réunion pour en faire une transcription plus tard. On rentra dans la grande salle de réunion, on nous attendait déjà, tout le monde salua le PDG de l'entreprise en m'ignorant royalement, puis on s'assit, Bakugo fit un mini discours de bienvenue avant de rentrer dans le vif du sujet.

Une heure plus tard j'en avais déjà marre, c'est l'une des réunions les plus ennuyeuse que je n'ai jamais vue, d'ailleurs je n'étais pas la seule à m'ennuyer mon patron écoutait d'une oreille en gribouillant sur son calepin. Puis il soupira légèrement, avant de coller son dos au dossier de sa chaise. Il me détailla du regard me faisant rougir. Discrètement sans attirer l'attention sur nous, il posa sa main sur mon genou, il me regarda pour voir si j'étais d'accord. Je l'étais, j'étais curieuse de voir ce qu'il allait faire. 

Doucement il ce mit à caresser mon genou avec son pouce, j'étais surprise de tant de tendresse. Alors que quelqu'un lui posa une question, il y répondit le plus naturellement du monde sans arrêter de me câliner, dans mon ventre j'avais des papillons qui volaient dans mon estomac et mon cœur qui battait dans ma poitrine. C'est sous ces câlins que la réunion ce termina nous délivrant de cette torture. 

Je pris mes affaires et retourna dans mon bureau, pourquoi m'avoir fait des papouilles ? Pourquoi en pleine réunion ? Pourquoi il s'intéresse autant à moi ? C'est avec toute ses questions en tête que j'essaya de me concentrer sur mon travail, mais c'était impossible. Je me levais de ma chaise et entra sans frapper dans le bureau de mon patron, en me voyant un sourire ce dessina sur ces lèvres. 

Bakugo : Un problème ? 

T/p : Oui ! Pourquoi ? 

Bakugo : Parce que tu me plaît ! 

T/p : Moi ? Je suis qu'une secrétaire. 

Bakugo : ça je le sais ! Juste tu me plaît, il y a pas de raison en particulier. 

Je me sentais à la fois perdu et en même temps heureuse, c'est vrai qu'il me plaît, mais je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée de sortir avec mon patron. Je ne savais absolument pas quoi lui répondre, quand il ce leva et ce dirigea vers moi avant de me prendre dans ses bras, une sensation de chaleur envahit ma poitrine. 

Bakugo : T'es pas obligé de me répondre maintenant mais j'aimerai que toi et moi on tente un truc... 

T/p : Tu te rend bien compte que ça va tout compliquer entre nous ? 

Bakugo : Je sais mais j'ai envie de tenter avec toi. Tu me plaît vraiment T/p. 

Son regard était honnête mais je voyais bien qu'il était inquiet que je le recale. Il colla son front contre le mien, son souffle s'écrasa contre mes lèvres. J'avais qu'une envie c'est de l'embrasser. Je réfléchis quelques instants, j'avais envie de tenter quelques chose avec lui. 

Je me hissa sur la pointe des pieds et posa mes lèvres contre les siennes dans un baiser rapide. Il me serra un peu plus contre lui en appuyant le baiser. Il se décolla un peu de moi, même si j'appréhendais un peu cette relation avec lui, j'étais curieuse de voir ce que ça donnerait.

Point de vue de Bakugo

Cela faisait un moment que je craquais sur T/p, je la trouvais à la fois belle et intelligente mais elle est beaucoup trop gentille, elle accepte le travail qui n'est pas le sien. Il faut que je fasse attention à ce que personne d'autres ne profite de cette gentillesse. J'avais aimé la taquiner durant le réunion, et de la voir rougir, elle est vraiment trop craquante. Je ne sais pas ce que donnera cette relation, mais j'ai envie de le découvrir avec elle. Mais j'ai aussi envie de l'embrasser librement mais ça sa ne va pas être possible maintenant, si les autres apprennent que nous entretenons une relation elle sera le sujet préférée des brimades et je n'ai pas envie qu'elle souffre au travail. Je sais aussi que je vais devoir prendre le temps avec elle.

"Ellipse de deux mois"

Point de vue de T/p

Cela fait maintenant deux mois que je sort avec Bakugo, nous nous efforçons à garder cela secret, notre couple concerne notre intimité personne n'est obligé de le savoir. En deux mois, nous avons eu le temps de bien nous rapprocher, on passait au moins deux soirée ensemble soit chez l'un soit chez l'autre, on n'allait au restaurant, au cinéma, il m'avait confié que ça faisait quatre ans qu'il n'y avait pas été car il n'avait pas le temps avec son travail, et il m'avait présenté ses meilleurs amis. Je m'étais aussi rendu compte à quel point c'était un acharné de travail, il voulait développer sa société, parfois ça m'inquiétait car il en oublie de manger. On avait l'habitude de manger ensemble le soir même quand il travaillait tard, cela lui permettait d'avoir une coupure qui lui faisait du bien.

Ce soir c'était une soirée exceptionnelle, il était organisé une petite soirée dans le halle de l'entreprise avec les salles annexes pour inviter tous les partenaires commerciaux, les clients, ainsi que tous les employés. Bien évidemment c'était une fête chic, donc j'avais enfilé ma plus belle robe, une longue robe blanche en soie, avec un dos nu et une fente à la jambe, avec ça j'avais mis mes escarpins blancs, avait attaché mes cheveux et me maquillais. Je devais rejoindre mon blond à la réception.

Arrivée là-bas je ne pouvais pas m'empêcher de le trouver carrément sexy, il avait mis une veste noir, une chemise bordeaux avec une cravate noir et un pantalon de costume de la même couleur. En me voyant un sourire arrogant se dessina sur ses lèvres, il laissa en plan les deux hommes avec qui il discutait pour venir me voir, il posa une main dans le creux de mes reins, me fit un bisou sur la joue avant de chuchoter à mon oreille.

Bakugo : Tu es magnifique ma chérie... Tous les hommes de cette soirée ne vont avoir d'yeux que pour toi, dommage pour eux tu es à moi...

Ce qu'il me dit me fit rougir, il me donna son bras que je pris avant de m'accompagner de me présenter aux hommes à qui il parlait précédemment.

Bakugo : Messieurs, je vous présente ma sublime secrétaire, aussi belle qu'intelligente.

Homme 1 : Hey, bien vous en avez de la chance d'être accompagné d'une si joli jeune femme.

Bakugo : C'est vrai et je mesure la chance d'avoir T/p dans ma vie.

A entendre cette phrase je fondis de l'intérieur, je savais qu'elle double sens avait cette phrase et ça me faisait vraiment plaisir et il le savait au vue de la petite caresse en bas de mes reins qu'il me fit me faisant frémir et battre mon cœur plus vite. J'essayais de garder contenance de moi même et de ne rien laisser transparaitre devant les deux invités. 

Deux longues heures plus tard et après avoir bu que deux cocktails pour garder les idées claires, je devais avouer que cette fête était plutôt ennuyeuse à part quand Bakugo chercher à me taquiner me faisant rougir devant tout le monde. Je crois que quelques personnes ont des soupçons envers nous mais je m'en fiche de ce qu'ils pensent. Le blond reviens vers moi avec un verre de champagne qu'il me donna, avant de soupirer.

T/p : Cette fête est terrible hein !

Bakugo : Oui et heureusement que c'est qu'une fois par an, enfin la seule chose qui me fait tenir c'est de te voir dans cette robe de soirée. J'ai dû me retenir toute la soirée pour ne pas engueuler chaque mec qui te mate. Mais bon comment leur en vouloir ? T'es tellement craquante que j'ai envie de t'embrasser, bien que pas seulement t'embrasser.

T/p : Et bien vous pensez à quoi monsieur Bakugo ?

Un sourire joueur se dessina sur ces lèvres tout comme moi, il se rapprocha, et alla susurrer à mon oreille tout en caressant mon dos de haut en bas dans un mouvement lent mais qui fit bondir mon cœur dans ma poitrine. 

Bakugo : Je pense à quelque chose qui se ferait sans nos vêtements et loin de tout ce monde...

T/p : Où compte tu faire ça ?

Bakugo : Dans mon bureau...

Il se détacha un peu de moi, son regard tomba sur mes lèvres, je sentais qu'il se retenait de m'embrasser tout comme moi. Je lui pris la main, et nous emmena dans son bureau sans que personne nous remarque, ce qui était assez miraculeux, il ferma la porte à clé, je n'eu même pas le temps d'ouvrir ma bouche qu'il se pencha pour m'embrasser. Je répondis à son baiser, sa langue rejoignit la mienne, il avait un léger goût de champagne, il me posa jusqu'à son bureau pour m'y faire asseoir, ces mains caressent mes hanches et mon dos. J'avais qu'une envie c'est de continuer ce que nous faisons actuellement sans que personnes ne viennent nous déranger. 

🍋"Début du Lemon"🍋

On s'embrassait avec gourmandise, j'étais assis sur le bureau, ses mains sur mes hanches glissaient sur mes cuisses, caressant ma peau, sa langue dansait avec la mienne dans une danse endiablée. J'avais chaud tout comme lui, les papillons dans mes ventre virevoltent avec force. Ma main empoigna une de ses mèches de cheveux le faisant grogner contre ma bouche. Ce que nous faisons actuellement était beaucoup plus marrant que cette fête d'entreprise.

Il me colla un peu plus contre lui, écarta doucement mes jambes pour ce mettre entre elles pour ce coller encore plus à moi. A bout de souffle on s'arrêta de s'embrasser mais rapidement ses lèvres se posèrent sur ma clavicule pour laisser une traînée de suçons sur tout mon épiderme. Il alla jusqu'à ma gorge, pour descendre jusqu'à ma poitrine encore couverte par ma robe blanche.

Bakugo : Tu sais pas à quel point c'est excitant d'être avec toi ici, tu n'imagine pas à quel point j'avais ce fantasme de faire l'amour avec toi dans mon bureau. En plus tu es sublime dans cette robe, quoique tu es tout le temps belle.

T/p : Tu sais qu'ils vont te chercher partout ?

Bakugo : J'en ai rien à foutre ! Tout ce qui compte pour moi tout de suite c'est d'être avec toi !

Il me dévorait littéralement du regard, je le pris par la cravate avant de le forcer à se pencher vers moi pour l'embrasser. Il posa sa main sur ma cuisse avant de caresser l'intérieur de celle-ci me provoquant la chair de poule, et l'apparition d'une boule de chaleur dans mon bas ventre. J'avais envie de coucher avec lui comme lui avec moi. Il remonta doucement vers mon entre jambes jusqu'à carrément retirer sa main de ma cuisse. Frustrée je le regardais avec interrogation.

Bakugo : Je compte bien profiter de ce moment au maximum...

Ces lèvres se posèrent de nouveau dans mon cou, il dénoua le nœud dans ma nuque, faisant tomber le haut de ma robe sur mes jambes, j'avais ma poitrine à nue, comme c'était une robe à dos nu je n'avais pas pu mettre de soutien-gorge. Il sourit de contentement, ses lèvres descendèrent jusqu'à mes seins. Il prit du temps pour embrasser et suçoter ma peau, puis de la pulpe de ses doigts il caressa mes seins me faisant frémir sous ces caresses. Il prit l'un de me téton dans sa bouche, je lâcha un soupir de plaisir, sa langue tourna autour de mon téton et sa main caressa mon autre sein. Il délaisse ma poitrine pour embrasser à nouveau mon cou quand sa voix s'écrasa contre mon oreille.

Bakugo : Allonge toi...

Je fis ce qu'il me dit et m'allongea sur son bureau, le bois était froid contre mon dos, tout doucement il embrassa mon corps en le caressant. A chacun de ces mouvements mes poiles se hérissaient, puis il reprit mon téton dans sa bouche me faisant arquer le dos, soupirant de bonheur et de plaisir. Dans l'aire flotter notre désir l'un pour l'autre envahissant toute la pièce. Il arrêta sa torture sur ma poitrine pour m'embrasser jusqu'à mon bas ventre, puis il continua l'attaque de ses baisers sur mes cuisses, laissant là aussi des suçons.

Bakugo : Attend on serai mieux installé sur le canapé.

Je me redressa, j'entourais sa nuque de mes bras, et sa taille de mes jambes, il me décolla du bureau pour s'asseoir sur le canapé, il me posa sur ses genoux, avant de retirer mes talons qui me faisait un mal de chien. Je posa mes mains sur sa cravate et l'enleva tout comme sa veste et sa chemise. Il se retrouva torse nu devant moi, il était beau, je posa mes doigts sur sa peau et suivi le tracer de ces muscles jusqu'à descendre au bouton de son pantalon, et le déboutonna, un sourire coquin ce dessina sur ces lèvres.

Mais il posa une main sur la mienne avant de porter mon poignet à sa bouche pour l'embrasser. Ses mains se cachaient dans mon dos, et ces lèvres dans mon cou. Il me posa à côté de lui sur le canapé, il s'agenouilla devant moi et embrassa mon genou avant de lentement remonter ma cuisse jusqu'à mon entre jambe. Il prit les pans de ma robe, et la glissa le long de mes jambes pour la retirer. Je me retrouvais en culotte devant lui. Il écarta mes jambes, sa tête se cacha entre mes cuisses qu'il embrassa. La petite boule de chaleur ne demandait qu'à être titillée. Tout en câlinant mes hanches, il donna un premier coup de langue. 

Il embrassait le tissu de ma culotte sans jamais l'enlever, je sentais juste ses baisers chauds à travers le tissu. Entre ses dents il pris l'élastique de ma culotte avant de le lâcher, il faisait monter ma frustration et il le savait. Il passa une main sous mon sous-vêtement, avant d'aller titiller mon clitoris, la boule de chaleur dans mon bas ventre commençait à grossir. Il fit des cercles sur les lèvres de ma féminité, la chaleur de mon corps augmenta instantanément me faisant gémir de plaisir. Il embrassait l'intérieur de mes cuisses tout en faisant ses caresses. Puis d'un coup il retira sa main de ma culotte et me regarda.

Bakugo : Avant de continuer je voulais savoir si c'est vraiment ce que tu veux ?

T/p : Bien sûr que j'ai envie de coucher avec toi !

Sa résonnait comme une évidence dans ma voix, et ça l'était, ça faisait un petit moment que j'en avais envie et que surtout j'avais commencé à véritablement m'attacher à lui. Un sourire tendre se dessina sur ses lèvres, il posa ses mains sur les pans de ma culotte pour la faire glisser sur mes jambes tout comme il avait fait avec ma robe. Je me retrouvais alors nue devant lui, il s'assit à côté de moi, je me mis à califourchon sur ses jambes et l'embrassa, le contact de ses lèvres sur les miennes m'ont manqué. Puis mes lèvres se posèrent dans son cou pour l'embrasser et lui faire des suçons. Ses mains retournèrent sur mes seins pour les masser, je soupirais de plaisir contre sa peau.

Une main aventureuse se glissa sous son pantalon mais au-dessus de son caleçon, je massa son membre en érection à travers le tissu, le faisant gémir. Ses caresses sur ma poitrine ce fit de plus en plus appuyer, puis mes baisers descendirent jusqu'à son torse, j'embrassais ses pectoraux jusqu'à lécher son téton le faisant réagir à ce coup de langue, je n'aurais jamais imaginer qu'il soit sensible à cet endroit. Dans ma main il devenait de plus en plus dur, puis d'un mouvement souple sans nous séparer il sortit son portefeuille, sortit une capote et me la donna. Le petit carré en aluminium en main, je défis son pantalon et le fit glisser sur ses jambes, son caleçon eu le droit à ce même sort libérant son érection de la prison de tissu. Je me baisa au niveau de son entrejambe avant d'embrasser son pénis le faisant frémir sous ses délicats baisers.

Je pris le petit emballage d'aluminium et l'ouvris pour en extraire la capote, et doucement la dérouler sur son pénis, une fois que je m'étais assurée qu'elle était bien en place je repris ma place sur ses genoux. Ses mains retrouvant le chemin de mes hanches, il me colla de nouveau contre lui comme-ci je lui manquais, nous nous embrassons avec tout le désir du monde. Appréciant ce baiser langoureux, mon bassin ce mit à bouger tout comme le sien, sans précipiter les choses il commença à me pénétrer sans me faire mal, une fois au fond de mon vagin, il se mit à nouveau à me caresser les seins, et commençait les vas et viens, s'approchant lentement sur mon point G. Mes mains prirent le chemin de ses cheveux, savourant cette texture douce.

Le bureau se remplit peu à peu de nos souffles de plaisir, je posa une main sur son épaule me stabilisant encore plus pour profiter du rythme de nos bassins, il était de plus en plus dur en moi, mon cœur battait à tout allure, une de ses mains se positionna dans le bas de mon dos, collant nos basins encore plus l'un à l'autre, je sentais que la boule de chaleur devenait de plus en plus grosse, jusqu'à ce tendre dans mon bas ventre et d'exploser, créant une vague de plaisir me faisait jouir contre ces lèvres. Deux coups de bassins plus tard, il éjacula dans la capote dans un grognement rauque. Il entoura ma taille de ses bras pour me faire un câlin et un bisou sur la tempe.

Bakugo : Tu sais qu'à l'avenir je ne pourrais pas résister à nouveau au fait de coucher avec toi dans ce bureau.

T/p : Alors ne résiste pas !

🍋"Fin du Lemon"🍋

Bakugo : Tu ne peux pas imaginer à quel point je me suis attaché à toi en si peu de temps.

T/p : C'est exactement la même chose pour moi...

Bakugo : Et si on officialisait notre relation ?

T/p : T'es sûr de toi ? Tu ne pourras pas revenir en arrière.

Bakugo : Je sais, mais j'ai envie que les choses soient claires pour tout le monde. Je veux que tout le monde sache que l'on est en couple. Je voudrais pouvoir t'embrasser quand je veux sans me cacher... ça te va ? 

T/p : Oui ça me va !

Heureux il se pencha pour m'embrasser,  j'étais vraiment bien dans ses bras, c'est la première fois que je suis si bien avec un homme. J'espère qu'avec lui ça durera longtemps, et avec un peu de chance ça durera tout notre vie. 

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Chatlout à tous, comment ça va ? J'espère que vous avez aimé ce petit One Shot avec Bakugo ?😸😸😸

Que pensez-vous de ce chapitre ? 

J'ai bien aimé faire une T/p un peu plus entreprenante, j'espère que vous aurez aimé. 🥰

N'oubliez pas de vous abonnez pour savoir quand je sortirai un nouveau One Shot, il va en avoir deux autres sur Bakugo, un sur Tartaglia, un sur Baji, un sur Mikey, un sur Izuku, un sur Izana, un sur Law, un sur arthur et pleins d'autres personnages. 😸

Je vous dit à bientôt pour le prochain chapitre milles bisous 💜💜💜

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