Chapitre 3.2
Bryan,
Putain, mais quelle soirée pleine de surprise ! Dés le moment ou mes yeux ont croisaient les siens, je savais que tout ce que je connaissais jusqu'à pressent aller changer drastiquement, si jusqu'à là j'avais encore des doutes, ils ont été vite écarter au moment ou je suis rentré chez moi et j'ai sentis son doux parfum enivrant. Qu'elle a été ma surprise en entrant dans le salon et la voir hypnotisée par les pouvoirs de ma mère, j'ai juste eu le temps de la rattraper pour quelle ne tombe pas au sol. Quand son corps est entré en contact avec le mien et que son odeur a pénétré mes narines, j'ai su que j'étais un homme perdu. J'ai su que ce petit bout de femme était ma perdition et mon salut. Mon loup ne voulait qu'une seule chose, la marquer comme sienne, j'ai eu du mal à me contrôler, quant sa tête est venue se longer contre ma poitrine, son doux visage plein de souffrance à changer pour un de pur plaisir. Oui, elle comme moi, nous sommes foutus. Ma mère m'a juste ordonné de l'emmener se reposer dans une chambre, ce n'est que plus tard qu'elle m'a tout raconté. Je suis fier de mon petit bout de femme, elle ne sait pas laisser écraser par la dominance de mon père même ma mère en a souri. Nous savons quelle tête de mule peut être mon père parfois. Par contre, je n'ai pas aimé les raisons de cette dispute et sur plusieurs points, mais celui qui m'innerve le plus c'est de savoir qu'elle veut quitter définitivement la meute. Inutile de polémiquer trois cents ans, elle ne partira pas, car je ne la laisserais pas faire, un point c'est tout ! Donc, pour la voir à porter d'oreille, je l'ai installer dans la chambre collée à la mienne ! Quand je l'ai déposé dans le lit, je n'avais qu'une envie, rester. Son corps collé au mien et de préférence à poils ! Pour que je puisse me délecter de ses merveilleuses courbes, mais ma mère m'a jeté de la chambre à coup de pied, c'est donc en râlent que je suis parti me coucher, d'ailleurs j'ai eu un mal de chien à m'endormir ! Autant mon loup que moi même, nous étions trop excités pour dormir et au moindre bruit, je sursautais en espérant qu'elle se réveil, mais je crois qu'elle a du faire un mauvais rêve, car elle n'a pas arrêté de bouger et de geindre, ses petits sons ont mit ma résistance à rudes épreuves !
Quand le soleil à pointer le bout de son nez, je me suis levé et pris une bonne douche froide, c'est en sortant de ma chambre que j'ai entendu un gros boum provenant de la chambre d'Azaella, je suis rentrer comme âme en furie ne la voyant pas prêt du lit j'ai supposer qu'elle était dans la salle de bain, c'est avec le cœur au bout des lèvres que j'ai défoncer la porte et en criant
– Mais, que ce passe-t-il ici ! J'ai eu du mal à croire ce que mes yeux voyaient. Elle au sol et à poils ! Putain ! Et quel corps de déesse ! Je me sens à l'étroit dans mon pantalon, j'ai chaud et mon loup lutte pour sortir et la faire sienne. Je suis dans la merde et ses yeux qui me fusillent ne font qu'empirer mon état d'excitation !
– Mais ! Toi ! Tu fais quoi là ? Sorts d'ici ! Me cri-t-elle. Allez, Bryan, reprends-toi !
– Pour commencer, je vis ici et si je suis rentré c'est parce que j'ai entendu un gros bruit en pensant qu'il y avait un troupeau d'éléphants ! Mais, je suis forcé d'admettre que la vue de ton corps est des plus.... appétissante. Je lui lâche mon plus beau sourire. Je la vois se lever me laissant le plaisir d'admirer ses courbes à t'en faire tourner la tête.
– Tu sais quoi ? Si tu ne veux pas finir avec un savon enfoncer entre tes fesses, je te suggère de dégager d'ici ! Avec grande difficulté, je détache mes yeux de ses seins et je lui dis la voix rauque.
– Ne me donne pas d'idée, ma belle. Je n'ai même pas le temps de réagir que je finis par terre et ma petite femme au-dessus de moi.
– Déjà tu veux passer à l'action ? Dis-je en posant mes mains au tour de ses hanches pulpeuses. Je la vois lever son poing droit pour m'en coller une, mais je le saisit au vol et je la retourne, je bloque ses mains au-dessus de sa tête et mes hanches bloquent les siennes. Mon membre dur est à la lisière de son sexe, je sais qu'elle sent comment je bande. Son regard s'assombrit et son souffle devient cour. J'approche mes lèvres de son oreille et je lui murmure.
– Tu sais, ma belle, je ne suis pas un homme facile ! Puis je lui mordille le cou, nous provoquant à tout les deux des frissons de plaisirs. Je me lève et je repars, la laissant là allonger et offerte. Putain ! Mais quel con ! Pourquoi, je suis parti ? Même mon loup en gémit. J'essaye de mettre un pas devant l'autre pour mettre de la distance entre elle et moi. Si je fais ça, c'est pour qu'elle me désire et qu'elle reste.
Je pense qu'une autre douche froide me ferait le plus grand bien !
---------------------------------------
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top