17. Après deux heures d'attentes (LEMON)
*PDV Azenet :
Le générique marque la fin de la soirée. Pierre s'est calmé, et passe désormais simplement ses bras autour de mon ventre. Disons que le fait que la lumière soit rallumée et que les Patrick partent au fur et à mesure des minutes s'écoulant se coucher aide beaucoup !
"Bon, bonne nuit les mecs !"
"Bonne nuit Zera." Répondons en cœur Pierre et moi. Nous le regardons s'éloigner vers les marches, un arcanin capturé endormi dans les bras, un regard bienveillant porté sur ce petit être apprivoisé, un sourire attendri à cette vue délicieuse pour lui, et le collant amoureusement contre son torse. Il sont vraiment mignons ces deux là ! Toujours à s'occuper l'un de l'autre.. C'est exactement comme ces deux là que j'aimerai être avec Pierre.. La main de se dernier vient d'ailleurs me tirer de cette douce pensée et me caressant nouveau l'entre-jambe.
"Pierre.. Arrête.." Souffle-je en tentant de retenir mon gémissement. Je repousse gentillement sa main avant de me relever. Je ne pensais pas me retrouver la seconde d'après à nouveau entre ses jambes, bloqué de ses bras qui m'entourent complètement, m'empêchant le moindre mouvement. Et l'ensemble de mon dos entièrement collé à son torse. L'une de ses mains m'attrape par le menton, me relevant puis m'inclinant la tête, de manière à ce que mon oreille soit au niveau de sa bouche. Il se joue de son souffle chaud contre mon oreille pour me faire languir. Cet abruti ! Puis, d'une voix suave et terriblement excitante, il me chuchote d'un ton grave :
"J'attendais ce moment depuis deux heures."
*PDV Aypierre :
Aze pousse un langoureux gémissement sous l'effet de ma phrase tout en frissonnant. Je descends ma main libre à son entre-jambe, passant sous son pantalon pour caresser à travers le fin tissu de son boxer sa fierté fièrement dressée. L'effleurant uniquement du bout des doigts, je fais se mourir Aze d'impatiente qui se met à grogner de mécontentement. Ma propre fierté se durcit contre le bas de son dos accentuant notre excitation mutuelle. Je l'immobilise avec mon autre bras le bloquant sur tout son torse, dont la main se situant à son extrémité lui tient fermement l'épaule. Toujours dans la fièvre du moment, et entraîné par la mélodie de ses gémissements succulents et de sa respiration haletante, je trace des vagues avec ma langue partant de sa clavicule pour remonter jusqu'à son lobe d'oreille, que je viens mordiller avec fougue. Sa main vient m'agripper les cheveux lorsqu'il relève la tête, laissant toute la peau de son cou à découvert et prête à se livrer entièrement à mes lèvres. Je m'empresse donc d'unir mes lèvres à cette blanche peau délicate. Puis, caressant de manière plus sûre son intimité, je fais doucement rouler cette même peau sous mes dents.
"Pie.. Ah.."
Je glisse adroitement ma main sous ce bout de tissu devenu de trop. Aze gigote entre mes bras et sa respiration haletante de plaisir l'empêche d'émettre de nouveaux sons. Je serpente son membre bien durci avec mes doigts, le faisant se raidir encore plus. Ses doigts se resserrent entre mes cheveux pour l'aider à se contenir. Estimant l'avoir assez fait languir, je commence cette célèbre chorégraphie, enchaînant d'abord de longs et lents va-et-vien. Je cesse de maltraiter cette parcelle de peau avec mes dents pour descendre vers ses clavicules, parsemant au passage des doux baisers à la volé. Ce côté de son cou a dorénavant fait connaissance avec mes lèvres, ma langue, et mes dents dans son intégralité. Me rappelant de son point faible, j'atteins le milieu de sa clavicule pour lui laisser ma marque d'appartenance. Je pose donc mes lèvres sur cette partie de peau, puis j'inspire lentement cette chair tendre retenue prisonnière de ma bouche. De temps en temps, je caresse cette même chair de ma langue ou je la taquine avec mes dents. Grâce à l'habilité et la parfaite maîtrise de mes lèvres, j'extirpe une toute nouvelle sorte de gémissement de sa bouche. Des gémissements beaucoup plus prononcés, plus langoureux, et surtout, contenant une bien plus grande part d'excitation.. Nos corps brûlent l'un contre l'autre. J'accélère peu à peu cette chorégraphie bien plus sympathique à deux, pressant un peu plus sa virilité entre mes doigts, allant beaucoup plus loin. Ses gémissements s'accentuent, ses muscles deviennent de plus en plus fébriles, puis je le sens se tendre de plus en plus dans mes bras. Preuve qu'il ne va plus tarder à venir.
"Ah ! Pie... Je vais.. PIEERRE"
En criant mon nom, il déverse dans ma main ce liquide blanchâtre et chaud, me comblant de bonheur. Je desserre mon étreinte pour le laisser sombrer d'épuisement contre mon bras. Sa respiration reprend lentement sa régularité, et sa semence colle entre mes doigts. Je retire doucement ma main de son sous-vêtement. Je l'ai entièrement vidé de ses forces avec cet excès de plaisir improvisé. Je me lèche les doigts pour les nettoyer.. Et je suis agréablement surpris. Je ne pensais pas que ça pourrai être si bon !.. A moins qu'il ne soit le seul ayant ce goût si exquis. Je passe ensuite une main sous ses jambes que je réunis, puis la seconde derrière son dos. Et enfin, le calant contre moi, je me relève en le serrant dans mes bras. Il m'attrape à sa grand habitude le col de mon chandail en posant sa tête contre ma poitrine. Pouvant ainsi entendre les battements réguliers de mon cœur comblé. Je le porte jusque dans sa chambre, dont entre temps, il s'est endormi dans mes bras.
"Ne change jamais mon petit ange.."
Lui chuchote-je en l'allongeant dans son lit. Je le débarrasse de ses vêtements pour ne pas qu'il soit mal-à-l'aise, puis, je le recouvre de ses draps.
"Je t'aime Aze.. De tout mon cœur.." Lui souhaite-je la bonne nuit en rencontrant son front de mes lèvres. Fait de beaux rêves mon p'tit amour !
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