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-lâchez moi, j'ai pas une bombe sur moi.

..-Relaxe, je t'emmène juste voir ton avocat.

-Tout ça pour avoir un pistolet dans son sac?

..-Eh bien... C'est tout de même grave.

-Lâchez moi je sais marcher.

Il me sert encore plus les poignet et me bouscule pour que j'avance plus rapidement.

Arriver devant une porte en ferraille, je jette un coup d'œil dans le petit rectangle transparent.

-Interrogatoire, la blague.

Je pénètre dans la salle et m'assoit. Je croise les bras au niveaux de ma taille et l'homme qui me tenait sort de cette salle. Que je bannis d'ailleurs.

..-Bonjour, je me présente. Mademoiselle Catalia, je suis ici pour vous faire passez un petit interrogatoire.

Elle pose son dossier sur la table et me sourit, pour enfin s'assoir comme si c'était son nid douillet la folle.

-Allez-y, de toute manière j'ai pas le choix hyn?

Catalia-En effet madame. Dit-elle en riant.

Elle ouvre son petit dossier, sort quelque feuille avec des écritures dessus. Elle me montre une photo, où j'étais dehors une cigarette à la main.

-Pourquoi vous me montrez ça?

Catalia-Un meurtre c'est passer juste à cette endroit, tu faisais quoi à cette heure tardif dehors?

-Commencez par me vouvoyez d'accord, deuxièmement vous m'avez arrêter pour avoir une arme en ma possession et non pour cela.

Je reporte mon regard vers la photo et lui arrache des mains, pour la regarder de plus près. Elle fronce un sourcil choquer de mon geste et chuchote «bien...».

Catalia-Alors pourquoi avoir une arme sur sois Madame Gonzaless?

Je reporte instinctivement mes yeux sur les siens et elle rit.

Catalia-C'est bizarre, nos agents on essayer tant bien que mal de trouver quelques pistes sur vous et rien. À part votre nom.. Qui est très connu vous le savez? C'est évidemment très étrange vous le savez..

-Peut-être que vous vous tromper de personne, avoir une arme sur soit ne veut absolument rien dire. Je me protège juste.

Elle maintient sa tête à l'aide de ses mains et me regarde.

Catalia-Protégez de quoi?

Je souffle d'agacement et croise les bras, faire la victime ne serre absolument à rien. Me mettre dans un bloc de victime ça me convient pas.

Catalia-Vous disiez que transportée une arme ne veut absolument rien dire, qu'elle est là pour vous protéger. Mais de quoi?

Elle persiste et ça m'énerve ce genre d'enquêtrice bidon.

-Vous allez me lâcher oui?

Catalia-J'attend juste les réponses à mes questions.

Je ris ironiquement et la détaille de bas en haut, elle remet ses cheveux en arrière et me sourit.

- Et si, "Madame Gonzaless" ne veut rien dire.

Catalia-Vous serrez pas relâchez malheureusement.

-Ah.. dit-Je en riant.

Elle n'arrêtais pas de fixais ma cicatrice comme si elle lui faisait quelque chose. Comme de la compassion, mais j'en n'ai nullement besoin.

-Remettez moi au cachot alors.

Je me lève et me dirige vers la porte, je regarde la baie vitré teintée noir. Même si je ne vois rien, je savais très bien qu'un monde fou se cacher derrière alors je pointe la porte du doigt et chuchote.

-Ouvrez messieurs, ouvrez..

Catalia-Madame.

-Mademoiselle.

Catalia-Peut importe, rasseyez vous.

-Vous me donnez des ordres ou je rêve?

Catalia-..

-Je ne vais rien dire, allez ouvrer vos putains de porte.

Catalia regarde la baie vitrée et hoche de la tête, la porte s'ouvre et de la deux homme me tienne. Un me met les menottes et l'autre me tenait juste les épaules.

Je me laisse faire et rigole tellement fort.

-C'est la première fois qu'autant d'homme me touche.

Un des hommes ris simplement et celui qui me fixais s'apprêter à me dire quelque chose.

Catalia-Ramenez là.

Je me retourne la femme était assise sur la table, les mains sur la table.

-T'es jalouse?

Je reporte mon visage devant moi, l'homme qui me tenait les épaules me fait avançait dans se long couloirs et me demande de m'assoir sur une des chaises noir.

Je regarde son uniforme de policier et observe sa petite carte. «𝒏𝒂𝒓𝒆𝒌»

-Tu sais, je peux rester sans surveillance. J'ai des menottes... À croire je vais vous tuez, et tellement la flemme d'agresser qui que se soit.

Narek-C'est mon boulot et avec ton petit corps de crevette tu ferra absolument rien.

Je ris et il s'assoit sur la chaise devant moi.

-Alala, on ta jamais dis que les apparences sont trompeuse?

Narek-Dans la salle d'interrogatoire t'étais pas aussi bavarde que ça.

Il m'analyse, c'était un homme type Maghrébin. Avec des cheveux bouclé mais pas curly bien noir. Des yeux légèrement bridée et un nez imposant mais qui faisait ressortir ses yeux noir et une peau ni blanche ni bronzer avec une bouche pulpeuse une barbe de quelque jour et un corps de policier.

-Parce que toi tu m'intéresse.

Narek-Bah moi tu m'intéresse pas.

Il regarde mes talons et je souris, me faire recalée ça j'adore.

-Moi je t'intéresse pas?

Il ne répond pas et préfère faire comme si je n'avais rien dis. Je bouge de ma place et vient m'assoir près de lui.

-C'est dommage tu m'intéressais.

Je pose mes pieds sur la chaise face à nous, et il ne disait rien à part me regardez.

-Toi t'es pas du tout bavard.

Narek-On parle pas avec les personnes arrêter.

-Tu peux faire une exemptions tout de même.

Narek-...

-Tu m'intimide.

Narek-Bouge de là. Dit-il en riants'.

-Bah quoi? Depuis tout à l'heure tu fais que de me fixer.

Narek-Si tu l'dis.

-Je t'intéresse c'tout.

Narek-Oublie pas je suis policier.

-Et donc? Ça m'empêche pas de te draguer.

Narek-T'appel ça draguer toi?

-Bah..

Narek-T'es nul.

-Bah vas-y drague moi toi.

Narek-Non.

-Pourquoi ça?

Narek-T'es pas assez élevé.

-Mouais.

Je me redresse et lui se lève. Je fronce les sourcils et il me demande de me lever.

-C'est tellement dur les mains attacher Narek..

Il souffle d'agacement et prend mon bras pour m'aider à me relever. J'étais toute fière.

-On va où?

Narek-J'te ramène voir ton papa.

-Mon papa?

Narek-Je rigole.

-Tes nul partout au final toi.

Narek-Askip.

-C'est bon monsieur se lâche.

Narek-Continue et tu fini en gardav'.

-Si c'est toi qui surveille y'a moyen je continue.

Narek-Allez ferme là.

-Pas beau toi.

On fini par s'arrêter, de la je vois Amos. Je comprend direct qui la déposer je sais pas combien de billet pour qu'il me relâche.

Narek-C'est lui ton papa.

-Pas du tout, ça c'est mon mari.

Je me retourne pour voir sa réaction mais il avait l'air de s'en battre les couilles.

Narek-Tu drague alors que tes marier.

-J'te taquine juste.

Il m'enlève les menottes, je me dirige vers Amos et il me pince le bras en saluant les policiers. Je grimace légèrement en retenant mes ptites larmes.

Amos-Ta foutu quoi boufonne?

-Aïe, mais rien.

Amos-Pourquoi tu te retrouve ici?

-J'avais ton arme dans mon sac voilà pourquoi.

Amos-Bref, ta de la chance je suis là.

On prend l'ascenseur et il se regarde dans le miroir en touchant ça barbe.

-T'es moche croit pas.

Je le dévisage et baisse le regard vers mes talons. J'aime trop mes pieds au passage.

Amos-Je t'avais dis d'être prête à quatorze heure. On devait partir voir quelqu'un et toi t'es au commissariat.

-Ouais bah désoler...

Amos-Tranquille, j'espère que tu serra efficace.

-Ouais doute pas de ça.

Il me tend des gants blanc.

Amos-Tiens.

-Amos.

Amos-Prend, crois pas c'est un cadeau tu va voir pourquoi je t'offre ça.

-Offre? C'est un cadeau donne.

Je les met et me regarde dans la glace et met mes mains sur ma taille.

Amos-Magnifique.

Je ris et le contourne, je vois sa voiture devant le commissariat. On sort et je fais exprès de marcher sur le pied d'un des flics.

-C'est qui lui?

Amos-Un gars qui va jouer le chauffeur.

-En fait tu veux jouer le riche alors que ta aucun sous.

Amos-Vaudrais mieux que tu ferme ta bouche j'tai sorti d'ici.

-Ouais merci d'ailleurs.

Je monte derrière, j'avais l'impression de connaître ce parfum mais rien de bien grave. Amos monte lui aussi.

-Pourquoi t'es cagoulé?

..-C'est vrai que j'ai l'air de savoir, Ayem Gonzaless. Dit-il ironiquement.





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