J'étais levée, prête à partir dans cet uniforme que m'imposait U.A, mon premier lycée dont la spécialité était l'héroïsme. Je m'étais, dans un premier temps, réveillée à six heures pour aller courir, puis je rentrais, je me lavais et m'habillai.

Je dégustais mon petit-déjeuner qui se composait d'une simple pomme rouge tout en attendant que Katsuki décide de se pointer.

— RÉVEIL DE MERDE ! hurla mon imbécile de frère sur l'objet assourdissant qui le réveillait.

— KATSUKI, TU FERAIS MIEUX DE LA BOUCLER ! répliqua ma mère tout en descendant les escaliers.

— LA FERME LA VIEILLE !

Ça recommençait...Comme chaque matin ces deux-là étaient obligés d'hurler.

— Comment vous faites pour vous énerver dès le réveil...demandais-je désespérée.

— Demande ça à ton frère ! répondit Mitsuki toujours énervé que son fils avait gueulé.

— J'ai pas envie de me prendre la tête avec lui.

D'un pas décidé, mon jumeau descendit les escaliers, comme si il était en plein combat, ses pas tapaient presque le parquet au point de se demander si il faisait exprès.

— Tu me veux quoi toi ?! me pointa-t-il du doigt, décidé à ce qu'on se dispute, un matin de plus.

— Laisse tomber.

Je me levai et je montai à l'étage, je récupérai mon téléphone et mon sac à dos avant de redescendre et d'enfiler mes chaussures.

— Où est-ce que tu vas comme ça ? me demanda ma mère, calmement cette fois-ci.

Katsuki me dévisageait.

— Je vais au lycée, à pied.

— Huh ? On part ensemble ! s'écria mon jumeau.

— Plutôt crever que de devoir t'attendre et t'entendre gueuler.

— JE VAIS TE CREVER, AYANA !

Il s'excita soudainement, faisant chauffer ses mains de ses explosions, me menaçant.

— Joue pas à ça avec moi, Katsuki, j'aurai pas la patience de te ménager.

— Tss...Ouais c'est ça, casse toi !

J'avais logé mes écouteurs dans mes oreilles avant de poser ma main sur la poignée pour ouvrir la porte, mais ma mère m'avait intercepté de justesse.

— Ayana.

Je n'avais pas encore lancé ma playlist, mais j'avais tout de même retiré un de mes écouteurs et j'avais reculé d'un pas, faisant en sorte de croiser son regard.

— Est-ce que tu as pris tes médicaments ? demanda-t-elle en sirotant son café.

J'avais levé mes yeux au ciel et avais pris un air ennuyé.

— Je t'ai déjà dit qu'ils servaient à rien.

— Au plus vite tu les terminera, au plus vite tu auras une nouvelle consultation et si elle estime que t'en a plus besoin, t'en aura plus. Mets-y du tien, tu verras, ça s'arrêtera.

Ma boîte de cachets restait dans la cuisine, dans un placard entre les différentes épices, c'est Katsuki qui me la lançait et je l'avais facilement rattrapé. J'en extirpais deux et je les avalais directement, sans eau. Puis j'ouvris ma bouche, tirant la langue pour montrer à ma génitrice que je les avais bel et bien avalés.

— Super, souria-t-elle. À ce soir !

— Ouais, à ce soir.

Je relançais la boîte à Katsuki avant d'enfin quitter notre maison.

Le lycée était à trente minutes de marche de la maison, seulement dix en prenant le tramway. Il était à peine sept heures vingt et je marchais dans l'obscurité tandis que le soleil se levait doucement.

Ma playlist en marche, mes écouteurs dans les oreilles, mon sac sur mon dos et mes mains dans mes poches, tout paraissait calme. D'autant plus, c'était la première fois que j'allais dans la même école que mon jumeau alors je pouvais profiter de ce calme apaisant parce qu'il ne saurait durer.

Et puis, quand j'étais enfin arrivée devant les grandes portes de U.A, je constatais une caméra tournée tout droit vers moi avant que les portes s'ouvrent et que je puisse entrer.

Il fallait marcher un peu avant d'atteindre le hall d'entrée et une fois là-bas, j'y avais retrouvé plusieurs sortes de tableau avec chaque classe et les prénoms de tous les élèves les composant.

Voyons voir Aoyama, Ashido, Asui, Iida, Uraraka, Ojiro...J'étais sûrement plus bas, ou sur l'autre tableau. Todoroki, Hagakure, Bakugo Ayana, enfin ! J'étais en A-1 alors et Katsuki, où est-ce...je rêve ? On était dans la même classe...Bon sang !

Agacé, j'avais retiré mes écouteurs coupant ma musique avant de partir à la recherche de ma classe. J'avais eu un score parfait au test d'admission mais ce satané Katsuki avait réussi à avoir un niveau assez élevé pour être dans ma classe.

J'en attendais pas moins de mes camarades de classe, ils avaient intérêt à être à la hauteur, sinon ils ne feraient que me régresser.

Mhm...c'est pas toi qui disait ça, le vieux ?

Non, rester avec des proches qui ne supportent pas l'étendue de tes pouvoirs te fera régresser, mais progresser avec d'autres personnes qui n'atteignent pas ton niveau est différent. Au contraire, ils te pousseront à te surpasser.

Bien-sûr, c'était que des conneries, personne ne pouvait supporter l'étendue des pouvoirs de Chaos, ça me reviendrait à rester seule.

J'arrivais devant ma salle de classe et y était entrée directement, la salle était vide et je pouvais choisir n'importe quelles places, elles étaient toutes libres devant moi. De ce fait, j'avais choisi de m'asseoir sur la rangée du fond, près du mur.

Je jetai mon sac à dos au sol, remis mes écouteurs avant de croiser mes bras sous ma poitrine et de fermer les yeux. Ma musique dans les oreilles, je n'entendais pas les bruits autour et je crois m'être légèrement assoupie.

Quand je rouvris les yeux, un petit monde s'était formé dans la classe, une espèce de petite boule violette semblait me fixer et un garçon dont l'expression semblait aussi froide que la température extérieure, s'était assis sur la place à ma gauche.

Je regardais petit à petit les gens qui se trouvaient dans cette salle tout en retirant mes écouteurs, tombant nez à nez avec Izuku Midoriya, un garçon que je ne connaissais que trop bien.

— Midoriya ? m'exclamais-je.

À peine à quelques tables de moi, il s'approcha furtivement suivi de deux individus.

— Ayana-san ! s'écria-t-il.

Je me levai de ma chaise et avançai vers lui.

— Ayana-san, tu as donc décidé de venir à U.A !

— Il semble bien.

Seulement, une question me chiffonnait, comment avait-il pu intégrer cette prestigieuse école, sans Alter ?

— Ton Alter a finalement choisi de se manifester ?

— Ahah, oui apparemment !

— Je vois.

Alors qu'il s'apprêtait à repartir, il s'était tourné vers moi.

— D'ailleurs Ayana ! Je te présente Uraraka Ochaco ! dit-il en me montrant une brunette. Et voici Tenya Iida ! finit-il en me montrant un garçon aux cheveux bleus.

Ils me sourirent mais je n'avais pas répondu de la même manière.

— Moi c'est Bakugo Ayana, le colérique qui fait que gueuler là-bas, c'est mon jumeau. dis-je en pointant mon frère. Bakugo Katsuki, appelez-nous par nos prénoms respectifs, Ayana et Katsuki, ce sera plus facile pour vous.

— Très bien ! dit le fameux Iida de manière robotique. Enchanté, Ayana-san !

— Ravie de faire ta connaissance, Ayana-chan !

Ils partirent et un autre garçon était alors venu me parler.

— Je t'ai vu dormir, en rentrant, qu'est-ce qu'il t'arrive ? me demanda Katsuki, toujours aussi agressif.

— Je prends des médicaments, je te rappelle, ça me fatigue.

Comme s'il s'inquiétait vraiment.

— Qu'est-ce qu'il te voulait ce minable de Deku ?

Un rictus me parvenait face à l'absurdité de son comportement soudain.

— Sérieusement ? Minable ? Tu harcèles encore ce pauvre Izuku ?

Appuyé contre mon bureau, on aurait dit qu'il l'exploserait si je n'étais pas face à lui.

— Parle pas avec ce nerd !

Mes iris rouges dans les siennes, une certaine tension s'était installée.

— T'es pathétique, Bakugo.

— La Ferme ! hurla-t-il attirant les regards de toute la classe et le silence absolu.

Détournant les yeux des siens, leurs regards sur nous m'agaçaient.

— Tu veux te donner en spectacle, abruti ? susurrais-je.

— Comme si j'avais peur de ses minables. finit-il par dire calmement.

Tous les yeux étaient braqués sur nous et quand Katsuki partit les conversations reprirent.

J'expirai bruyamment alors qu'un adulte entra dans la salle et sans même se présenter, il commença :

— Allez faire copains, copines ailleurs, ici on vous apprend à devenir des pros-héros.

EraserHead, pro-héro et enseignant à U.A, à priori.

Il avança jusqu'au milieu de la classe alors que les derniers debout s'assirent.

— Je m'appelle Aizawa Shota et je serai votre professeur principal cette année.

Soudain, il sortit un sac de sous son bureau avant d'en sortir une sorte d'uniforme de sport.

— Enfilez ça et allez sur le terrain.

Comme prévu, on se leva et il nous indiqua de le suivre à travers les couloirs. Les mains dans ma jupe scolaire, je marchais dans mon coin, tandis que les conversations entre mes camarades fusaient.

Il nous emmena face à deux vestiaires, un pour les filles et un pour les garçons, chacun allait là où il devait aller et nous avons retrouvé plusieurs uniformes de sport aux tailles de chacune, mis à disposition.

Nous nous sommes changés et nous avons pu, enfin, gagner le fameux terrain. Vraisemblablement, nous avions les mêmes uniformes, filles et garçons.

— Vous allez faire des tests d'Alters, expliqua Aizawa.

— Des tests d'Alters ? répètèrent-ils en cœur.

Il y avait eu un grand blanc avant que la brunette ne prenne la parole.

— Et la cérémonie d'entrée ?

Agacé, le prof lui répondit simplement:

— On n'a pas le temps pour ça, vous êtes là pour devenir des héros. Bakugo Ayana, tu es arrivée première à l'examen d'entrée. Quel était ton record de lancer de balle au collège ?

Les regards se sont soudainement tournés vers moi.

— J'en sais rien, soixante-dix mètres, je suppose.

— Bien, maintenant essaie avec ton Alter.

Il me lança une balle et j'avais dû entrer dans un cercle. La balle main droite, ma main gauche était dans ma poche.

— Tu peux y aller.

Je pris un certain élan avant de jeter la balle dans le ciel tout en poussant avec mon Alter.

Non, je blague, j'avais juste fait monter la balle jusqu'à que je n'ai plus le contrôle dessus.

— Au score, on a : mille-cinq-cents mètres.

J'avais simplement baillé, ennuyé par ce test plus qu'absurde.

— Quoi ?! s'époumona une grande partie de la classe.

Leur réaction est insensée, exagérée.

— Comment c'est possible ? se demanda un garçon aux cheveux jaunes.

Je l'avais simplement regardé avec mépris, quand je disais que le test d'admission était trop facile, je ne mentais pas.

— Apprenez à connaître vos capacités maximum, termina le prof.

J'avais rejoint le groupe quand soudain, une fille rose s'est écriée.

— On va bien s'amuser !

— « On va bien s'amuser ! » répèta le héro pro. Vous croyez que pendant ces trois années vous allez rigoler ? Très bien, alors celui qui obtiendra le moins de points sera considéré comme inutile et renvoyé du lycée.

Renvoyé ? Ça devient compétitif de ce que je vois.

— Ici chaque enseignant choisit sa méthode. Bienvenue au lycée héroïque U.A !

De quoi nous mettre une certaine pression, enfin, pas moi.

Peu importe, nous avons fait plusieurs tests, notamment une course de vitesse, puis un test de force la poigne autrement appelé. On enchaîna avec du saut en longueur, des sauts latéraux et pour la dernière épreuve ils passèrent tous au lancer de balle.

Tandis que Deku passait, préparant une grande puissance, il semblait que lorsqu'il lança sa balle, toute la puissance préparée n'avait pas fait effet.

— Cinquante-six mètres ? s'offusqua-t-il.

— J'ai effacé ton Alter, lui expliqua soudainement notre sensei.

EraserHead, il tenait son nom de son Alter, un peu logique je dirais, son Alter consistai à effacer les Alters des autres. Il était un ennemi redoutable.

Cependant, leur petite discussion ne m'intéressait clairement pas, je cherchai de quoi m'occuper autrement. Mes yeux scrutaient l'endroit, cherchant quelque chose d'intéressant jusqu'à voir une ombre se cacher subitement derrière un mur.

Qui est-ce que ça pouvait être ?

Sans détourner le regard, j'attendais que cette personne veuille s'assurer que je ne la remarquai pour reprendre ce qu'elle faisait, c'est-à-dire, nous espionner.

Tout à coup, comme tombé dans le piège, cette fameuse personne se laissa entrevoir et je n'eus qu'une demi-seconde pour apercevoir un homme très célèbre. All Might, le héros N°1 qui semblait jeter un œil sur ses futurs élèves.

Mais je supposais qu'il ne faisait pas ça avec tous ses élèves, quelqu'un devait bien attirer son attention dans cette classe, peut-être moi. Après tout, j'étais arrivée première dans le classement, ce n'était pas donné. Non, je croyais que ce serait trop beau pour être vrai, quelque chose devait sûrement l'intéresser.

Peu importe, quand ma concentration fût revenue, je ne pouvais que constater Midoriya qui avait fait un score parfait et Katsuki qui s'apprêtait à se jeter sur lui.

Étant une grande sœur responsable, je me précipitai vers mon petit frère jumeau, une main sur l'épaule je lui chuchotait à l'oreille.

— Sérieusement Katsuki, ce nerd t'énerve ? susurrais-je. N'oublie pas à quelle place il se tient, il ne t'arrive pas à la cheville, il ne vaut pas le coup. Il ne mérite pas que tu t'énerves, si ?

Son corps s'est crispé suite à mes paroles.

— Ouais, il ne vaut pas mieux que moi.

Et il parti un peu plus loin.

Heureusement que je ne pensai pas tout ce que je disais, ça ferait de moi une bête monstrueuse et j'avais horreur de ça. En revanche, il semblai que Katsuki désirais plus que tout, entendre ce genre de paroles.

Quel égo si bas.

Maintenant, il ne nous manquait plus que les résultats pour déterminer qui serait renvoyé. De ce fait, les filles qui avaient déjà fait connaissance entre-elles sont venues à ma rencontre.

— Bakugo Ayana ! m'interpella l'une d'entre elles.

— Moi c'est Ashido Mina, ravie de faire ta connaissance ! se présentea la fameuse fille rose. Comment doit-on t'appeler ?

— Ayana, appelez-moi Ayana, ce sera plus facile.

— Super Ayana-san ! Vous avez quel lien toi et Katsuki Bakugo, d'ailleurs ?

Trop d'enthousiasme et de curiosité, ça me tuera au cours de l'année, je le sentais.

— On est frère et sœur, jumeaux, si vous préférez.

Leurs yeux se sont émerveillés à cette phrase si simple et une brunette aux cheveux lisses s'est approchée de moi, encore plus enthousiaste que les autres.

— Je me présente, Yaoyorozu Momo, au plaisir de te rencontrer !

— Ouais, de même.

Quelle nonchalance Ayana voyons.

— Moi, c'est Tsuyu Asui ! Je dis toujours ce que je pense et sans vouloir émettre de mauvais jugements dès le premier jour, ton frère me paraît très agressif.

J'ai rangé mes deux mains dans les poches de ces joggings de sport, tout en inclinant légèrement ma tête sur le côté.

— Mhm...pense ce que tu veux.

Soudain, une fille dont on ne voyait que les vêtements s'est précipitamment approchée.

— Moi c'est Hagakure Toru ! Je suis une fille invisible, comme tu as pu le remarquer !

Son Alter est sûrement l'invisibilité et sans ce cas, elle n'a aucune aptitude physique surnaturelle.

— Enchantée. Répondis-je simplement.

— Moi c'est Kyoka Jiro ! Et d'ailleurs, quel est ton Alter ?

Mes yeux se perdaient dans divers recoins, sur diverses personnes ou divers bâtiments, je commençais réellement à me faire chier honnêtement.

— Je vous laisse tenter de percer le mystère.

Quand Aizawa Sensei nous a rappelé afin de découvrir les résultats, j'étais ravie.

— Bon, j'ai additionné vos scores et fait un tableau des résultats. Je vais pas perdre de temps à annoncer les notes de chacun.

Sans perdre de temps, un hologramme du tableau des scores est apparu devant nos yeux. Le premier du classement, c'était Todoroki Shoto, le mioche d'Endeavor quant à moi, je suis troisième, le deuxième étant Katsuki.

Midoriya lui est arrivé dernier alors dans un dernier espoir, il tenta d'éviter de se faire renvoyer en s'avançant vers le prof.

— J'ai menti, pour le renvoi. Le prend-t-il de cours.

Un rictus m'est parvenu à l'avance de sa blague.

— C'est comme on pourrait l'appeler ; un coup de pute. Pensais-je à vive voix.

Un silence pesant, le professeur à l'Alter effaceur me tuerait presque du regard.

— Aurais-je mal entendu ? Va me faire dix tours de terrain ! Braille-t-il.

— Comme si c'était faux.

Mon insolence en a choqué plus d'un, à vrai dire, même moi je me perdais.

— Tu veux en faire vingt, peut-être ?

Dans un soufflement assez bruyant, je me suis résignée à commencer ma course, ça va, dix tours c'est déjà moins que vingt.

Quelle belle façon de se faire remarquer dès le jour de la rentrée, bien joué Bakugo, tu fais honneur à ta famille.

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2 770mots.

Heyyy, ici Linafa, votre futur autrice préférée !
Mhm...un peu trop prétentieuse ? Oui je crois, on va faire passer ça pour un excès de confiance...

Anyway ! Bienvenu dans cette réécriture de Ayana Bakugo, si vous lisez cette histoire pour la première fois, je vous préviens alors, une tonne de trauma vous attendent.
Les différents "Trigger Warning" apparaîtront en début de chapitre, si l'histoire vous met dans l'inconfort, je vous conseil fortement d'arrêter votre lecture, il pourrait y avoir pire par la suite.

Quant aux personnes qui viennent re-découvrir cette histoire, you'll not be disappointed, vous avez déjà sûrement remarqué les quelques gros changements présent, sachez que ce n'est pas fini, Ayana Bakugo va devenir la meilleure version d'elle même !

Enfin bref, je vous souhaite à tous et à toutes une merveilleuse lecture et surtout, les plus anciens commentaires datent de la première version de cette histoire, dégustez, ils sont drôles pour la plus-part !

Love on y'all !
See you soon !
Linafa.