Chapitre 43
C'était pas possible il était sûrement entrain de rêver...
Peter était entrain de piloter un avion !
Bon...
Carol et Steve l'aidaient beaucoup...
Mais c'était lui au commande !!!
Il n'aurait jamais crû que ça arriverai un jour !
- Peter tu m'écoute ? dit la voix de Carol depuis la radio.
- Oui je vous écoute.
- Parfait ! Logiquement tu devrais arriver à proximité d'un petit aéroport d'ici environ cinq minutes. Tu devras atterrir là bas ! On t'y attends ! déclara t'elle.
- Euh... atterrir ?
- Oui ! Suis nos instructions et tous se passera comme prévu ! dit Steve.
Le garçon avala sa salive.
Le stress commença à le gagner, fallait pas qu'il se rate...
- Bon... allons y...
Sous leurs instructions, il appuya sur diverses boutons.
- C'est bon ? demanda Rogers.
- Oui je crois...
- Alors maintenant, sort le train d'atterrissage et commence la descente.
- Le train d'atterrissage...
Poussa doucement la manette vers le bas.
- Ni trop rapide, ni trop lent, dit Carol.
C'est pas en le répétant que ça l'aidera.
Au contraire c'est stressant !
- C'est bon.
- Alors maintenant, commence la descente et redresse le nez de l'appareil doucement dès que tu est à une centaine de mètres du sol, continua Danvers.
Peter fit ce qu'elle lui dit.
Il atterrit plutôt bien pour une première fois.
Mais l'avion continuait de rouler.
- Coupe les gaz et frêne ! dit Steve.
Il coupa les gaz mais ne trouva pas le frein.
- Oh non...
Prit de panique, il chercha le frein en vitesse.
Il s'approchait dangereusement d'un des hangars.
- MAIS OÙ EST-CE QU'IL EST !?
- C'EST UNE PEDALE !!!
Il regarda à ses pieds et appuya sur une au pif.
L'avion freina brutalement.
Il souffla de soulagement.
Il entendit frappé depuis le hublot et tourna la tête pour voir qui s'était.
Il sourit fasse au visage de Scott.
Que c'était bon de revoir un visage familier.
Il partie leurs ouvrir et Carol lui sauta au cou.
- Ta réussi !!! dit-elle toute fière en le lâchant.
Il sourit et passa sa main derrière sa nuque.
- Héhé !
- Bravo Peter ! Je savais que t'y arriverais ! dit Scott en lui donnant une frappe amical dans le dos.
Peter lui lança un regard affectueux.
- Bien joué ! Aller ne perdons plus de temps et allons y ! lança Captain en pénétrant dans l'appareil.
Les autres le suivirent et Peter souffla un bon coup...
"T'inquiètes Peter, c'est pas toi aux commandes cette fois !"
Il partie s'asseoir à l'arrière de l'appareil avec Steve et Scott.
- Au fait ! Je vous ai vu Captain ! Enfin... l'autre... dit l'araignée en s'asseyant. Je savais pas que vous aviez un spectacle ! Même si il a pas eu beaucoup de succès au près des soldats...
Rogers soupira.
- Ouais... bas disons que j'ai pas réfléchi en acceptant... répondit-il.
Lang les regardait sans vraiment comprendre.
- Mais dites moi... y' avait un truc entre l'agent Carter et vous ? demanda l'araignée.
"T'es trop curieux Peter ! C'est pas tes affaires !" Hurla sa conscience.
Oui bas c'était trop tard pour reculer !
Il avait déjà parlé !
Steve passa sa main derrière sa nuque un peu gêné.
- L'agent Carter... la femme qui est venu te chercher !? demanda Scott essayant de s'incruster dans la conversation.
Parker hocha la tête.
- Ah d'accord ! N'empêche c'est vrai qu'elle est canon ! rajouta Ant Man.
Steve leva les yeux au ciel amusé.
- C'est compliqué... lâcha t'il.
Peter ne lui força pas la main.
- Combien de temps durera le vol ? demanda Scott.
L'araignée observa le couché de soleil depuis le hublot.
- Encore plusieurs heures, ce sera un vol de nuit. Je vous conseil de vous reposer, dit Carol depuis son siège.
Il n'en fallu pas plus pour que Spiderman s'endorme.
Il avait eu une journée éprouvante...
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- Ne traînez pas derrière ! Restez en rang !
Leur professeur faisait de son mieux pour que les élèves ne s'éparpillent pas.
Ils étaient en pleine visite d'un des immeuble d'une entreprise spécialisée dans la recherche génétique.
La tour Osborn.
Peter allait fêter ses quatorze ans d'ici quelques jours.
Il regardait depuis la vitre qui les séparaient du laboratoire les chercheurs faisant des analyses avec un petit sourire en coin.
La génétique n'est peut-être pas vraiment son domaine mais la science si !
Plus tard il aimerait vraiment en faire son métier !
Rendre son oncle et sa tante fier de lui !
Le groupe s'avança dans un couloir.
Parker s'apprêtait à les suivre quand un détail attira son attention.
Une des portes censé être verrouillé était entre-ouverte laissant s'échapper un filet de lumière intrigante.
Il jeta un coup d'œil à sa classe.
Ils n'allaient sûrement pas remarqué sa disparition.
Il s'avança alors discrètement vers la porte et pénétra à l'intérieur de la pièce.
- Brrrr... il fait froid ici... lâcha t'il en se frottant les bras pour se réchauffer.
Il se trouvait dans un endroit assez particulier...
Déjà il faisait maximum 5 degrés !
Ensuite... il y avait des espèces de bocaux en verre contenant plusieurs araignée un peu partout...
- Qu'est-ce que c'est que ça...
Il sentit alors une piqure au niveau de sa nuque.
- Aïe !
Il jeta l'araignée au sol prit de panique et déposa sa main sur la morsure.
- Argh... ça fait un mal de chien...
Il tituba légèrement et s'appuya sur une des table pour se maintenir debout.
- Hmm...
Il commençait à voir flou...
Ses oreilles se mirent à siffler...
- Mais qu'est-ce qui m'arrive...
Sans faire exprès, il fit tomber au sol une bouteille de gaz.
- Oh mince...
L'odeur était vraiment insupportable... il devait absolument sortir de là !
Peter se dirigea vers la sortie.
Son odorat c'était comme... développer...
Le gaz s'était transformé en fumé...
Il sortie juste à temps de la salle au araignées sans se faire remarquer et partie rejoindre son groupe en vitesse.
Il ne se sentait vraiment pas bien...
L'alarme incendie se déclencha et leur classe se précipita vers la sortie...
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Peter se réveilla suite au bruit de coup de feu.
Il se souviendra de se jour toute sa vie !
Le jour où il a reçu ses pouvoirs !
Le jour où il a tuer des milliers d'araignées...
Il secoua vivement la tête pour chasser cette pensée.
Il regarda autour de lui.
Steve avait prit les commandes et Carol était partie dormir un peu.
Scott regardait depuis le hublot pensif.
L'araignée fit de même et vit qu'ils se trouvait au dessus du champ de bataille.
Il avala sa salive.
Le sort de l'univers reposait sur leurs épaules, il ne fallait pas se rater...
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