Chapitre II 🌶🌶
Ben
"Une première rencontre avec une inconnue, c'est se poser des questions après."
Idriss Mahamat-Kosso
Je la suis avec ma moto jusqu'à chez elle. J'ai du mal à rester en place tellement j'ai la gaule. Elle vit à cinq minutes de chez Bruna. Elle ouvre son parking et me fait signe par la vitre de la suivre dans les garages, ce que je fais jusqu'à sa place privative. Elle recule le plus au fond et sort de sa voiture en me montrant où stationner ma moto. Une fois à l'arrêt, j'en descends et y relie le casque grâce à l'antivol. Je la suis de nouveau, passe une première porte coupe-feu et on prend les escaliers.
— J'habite au troisième, mais l'ascenseur est en panne.
Je la tire en arrière et la bloque contre le mur, je dévore sa bouche, ses clavicules, je remonte son petit haut pour avoir accès à sa poitrine. Elle tire sur mes cheveux, elle est déchaînée et ça me fout en l'air.
Mes mains sont trop petites pour englober entièrement ses seins, les siennes assez fortes pour me tenir tout contre son corps. Je ne sais pas qui dégage cette chaleur, mais c'est ardent. Je n'ai plus de souffle, plus de retenue, si elle continue de m'allumer comme ça, je vais la prendre sauvagement contre ce mur.
On entend à ce même instant la porte de la cage d'escalier s'ouvrir quelques étages plus hauts, on se détache l'un de l'autre, on attend que la personne sorte au rez-de-chaussée et on finit de monter les paliers restants.
— T'as de la chance, je t'aurais prise à même les marches.
— T'appelles ça de la chance toi ?
Elle nous fait passer deux portes pour arriver à son couloir. À peine a-t-elle ouvert celle de son appartement que l'on se saute dessus. Elle retire son haut immédiatement et fait voler son soutien-gorge. Bordel les seins qu'elle a, ils sont incroyables. J'en attrape un férocement et le mets dans ma bouche goulue. Elle tire sur mon polo pour me le retirer, on n'a pas avancé d'un millimètre, toujours bloqué entre la porte de l'entrée et une espèce de petit buffet.
Je retire mes chaussures, en même temps, je déboutonne mon jean et le descends, je suis tellement pressé que je fais tout en même temps, je fais suivre le caleçon. On est nus tous les deux et on se regarde, à bout de souffle.
— Ragnar, ta bite est juste WAOUH. T'es au repos, là ?
— On va dire que je ne suis pas encore au max.
— Et bien mon vieux, je ne suis pas sûre qu'on va avoir le temps de manger.
— Je te garantis que tu vas avaler quelque chose toi.
Elle lèche ses lèvres, je l'attrape et la soulève pour qu'elle s'accroche à mes hanches, puis, je ploie sur mes genoux et l'allonge à même le sol. J'attrape rapidement une capote dans mon portefeuille resté dans la poche arrière de mon jean, je l'enfile et pénètre ma Jolie Blonde sans attendre une seconde de plus.
— Oh merde, elle est énorme.
Je pense que si on nous voyait, on nous prendrait pour des sauvages, pire, pour des animaux. Elle est couchée par terre, les jambes relevées, les genoux au niveau de mes fesses qu'elle est en train de déchirer avec ses ongles et je la pilonne comme un forcené. On dirait que j'essaie de la faire rentrer dans le sol.
Je recule doucement et rentre avec une force décuplée par le désir qu'elle provoque en moi. Aucune meuf ne m'avait excité comme ça. Mon Dieu, je pourrais la baiser sans jamais m'arrêter jusqu'à ce que mort s'ensuive, elle est si chaude, si belle, si... Parfaite. Je crois que même mon meilleur fantasme ne lui arrive pas à la cheville.
— Alors toujours pas enchantée de m'avoir rencontré, je lui murmure au bord des lèvres.
— Tu serais tellement plus canon si tu fermais ta gueule.
Je rigole tout en continuant mes vas-et-viens. J'attrape ses poignets, les ramène au-dessus de sa tête et les maintiens avec une seule main, je me décolle légèrement de son corps pour me donner accès à un de ses seins. Je le mets dans ma bouche, le lèche et y mets une petite claque, l'effet que je lui fais me rend dingue, alors je recommence plusieurs fois. Elle gémit de plus en plus fort et moi, je la baise de plus en plus fort. Nos corps s'emboitent ensemble comme les deux pièces d'un même engrenage, avec une précision d'horloger et me retenir de jouir pourrait être comparable à de la torture. Je la maintiens toujours prisonnière et au moment où je sens qu'elle vient, je sers ma main libre autour de sa gorge et je m'approche de sa bouche.
— Je vais te baiser et te faire hurler toute la journée, peut-être même toute la nuit et si tu es sage, je te baiserai demain aussi.
Elle jouit avec une violence telle, que ma bite est à deux doigts d'exploser, je donne un dernier coup et la suis de peu.
Je me lève, retire la capote, la noue et vais la jeter dans la cuisine, je fais comme chez moi. Elle s'est relevée et m'a suivi, toujours nue, elle aussi. Cette femme n'est pas seulement belle, elle est magnifique.
Je la reluque sans vergogne, déjà prêt à remettre le couvert.
Jamais une femme ne m'avait fait cet effet-là. D'habitude, elles ne sont que des produits consommables pour moi et de préférence à usage unique, mais là, je n'ai qu'une seule envie.
Me replonger au plus profond d'elle.
Elle ouvre son réfrigérateur, sort une bouteille d'eau fraîche, boit au goulot et me la tend.
— T'en veux ?
— Ouais, merci.
— Putain, quand on te voit, on ne peut pas s'imaginer la moitié de ce que tu caches.
— Je suis un bon coup, je sais.
— Je parle de la taille de ta queue le viking, c'est elle qui a fait tout le boulot.
— Tu veux que je te bouffe la chatte, on va voir s'il n'y a qu'elle qui bosse.
— Tu parles beaucoup Ragnar, mais tu agis peu.
Elle me cherche, j'adore ça, j'ai trouvé quelqu'un à ma hauteur, alors je vais en profiter le plus possible.
Je l'attrape, la soulève et l'assois sur le rebord de son plan de travail, je tire une chaise à moi, je m'installe et me mets à table. Elle prend son pied en quelques minutes, en m'ayant arraché la moitié des cheveux.
— Décidément, entre la bite et la barbe, t'as tout bon.
Je la lèche, la pénètre de ma langue, tète son clitoris jusqu'à ce qu'elle jouisse.
— Alors, madame l'insatisfaite ?
— Mouais, pas mal, je suis certaine qu'avec un peu d'entraînement, on peut arriver à faire quelque chose de toi.
J'éclate de rire et elle en fait autant.
On passe l'après midi à s'envoyer en l'air, elle a une endurance qui risque de me tuer, j'ai de l'avance pour plusieurs semaines, mais une seule question trotte dans ma tête.
Comment mes couilles peuvent se remplir aussi vite ?
Et apparemment ce n'est pas près de s'arrêter, j'ai encore envie d'elle, si cela continue, je risque de mourir dans cet appartement.
— Je descends vite fait trouver une pharmacie, il faut que je refasse le plein de capotes.
— Tu t'échappes ? Tu as peur de ne pas assumer ?
— Mais bien sûr. Je me bouge avant que ça ferme surtout, ne pense même pas pouvoir te débarrasser de moi.
— Il faudra bien que tu dégages à un moment donné.
— Je vais me tirer, ne te fais pas de soucis. Mais pas avant que tu ne puisses plus marcher.
— C'est une promesse ?
— D'après toi ?
Elle me détaille de la tête au pied, ses yeux me disent qu'elle a hâte et sa langue passe sur ses lèvres comme pour me dire "J'ai la dalle". T'inquiète ma belle, je vais te nourrir de moi jusqu'à ce que tu n'en puisses plus. Mais en attendant, on a besoin de plus de latex, alors je m'active vers la sortie.
— Commande nous à manger, tu vas avoir besoin de prendre des forces.
— Trop de blabla Ragnar, trop de blabla.
Elle me file les clefs de chez elle pour me permettre de rentrer sans avoir besoin de sonner.
Il ne me faut pas plus vingt minutes pour faire mes achats. Quand je pénètre dans l'appartement, j'entends la douche couler, ni une ni deux, je me désape, enfile un préservatif et la rejoins. Elle ne m'entend pas arriver et je me plaque à son dos, lui caresse la poitrine et m'enfonce dans sa chaleur par derrière.
— J'ai pris deux boites, au moins pas d'excuses.
— Seulement deux boites ? Moi, j'ai commandé des sushis.
— Des sushis ? Tu n'as pas trouvé plus cliché ?
— J'adore m'enfiler des sushis après m'être enfilé un mec.
Cette femme est folle.
Encore plus folle que moi. Plus elle me titille et moins, j'ai envie de m'en aller, pourtant jamais deux fois la même chatte, c'est une règle normalement.
Elle s'agrippe à ma tête avec une main et prend appui sur le mur de sa douche avec l'autre pendant que moi, je suis cramponné à ses seins. Elle jouit encore bruyamment, et moi, je réalise à contre cœur que j'adore réellement ce son.
Merci les lundis fériés.
On s'est envoyés en l'air durant deux jours. On a baptisé chaque pièce, chaque meuble, le tapis, les sols, le balcon en pleine nuit. Je ne sais même pas comment je tiens debout ou elle comment elle peut encore marcher.
Quand je me réveille le mardi matin, je me surprends à être enroulé autour de son corps comme une liane autour d'un arbre. Je me détache d'elle avec une sensation de brûlure et le sentiment d'être le mec le plus con de l'univers. Je me mets un coup de pied au cul, et la réalité me percute à deux cents kilomètres heure : des situations telles que celles-ci ne doivent plus se produire.
Je me relève immédiatement pour m'éloigner le plus possible, m'habille à la vitesse de l'éclair, récupère mes affaires, je culpabilise l'espace d'un instant de me barrer sans refermer à clef la porte d'entrée, puis me rassure avec le fait qu'il n'y ait pas de poignée à l'extérieur. Avant de partir, j'ouvre le tiroir du petit meuble dans son entrée à la recherche d'un morceau de papier, c'est la meilleure copine de la meuf de mon pote, je ne peux pas faire le connard et partir comme un voleur.
Je décroche un post-it bleu de son support, inscris "Désolé Boulot" dessus et je me barre.
Je descends, récupère ma moto et me retrouve comme un con à attendre que quelqu'un sorte du garage pour partir à mon tour. Arrivé chez moi, je me déshabille et en vidant mes poches, je retrouve le même post-it bleu que chez Kaya avec une inscription qui me met les nerfs immédiatement : "C'est toi qui vas rappeler" et son numéro de portable. Alors là, elle me connait mal, normal, elle ne me connait pas, ce n'est pas parce qu'elle est le meilleur coup de ma vie que je vais la rappeler.
Donc pourquoi je le range dans un tiroir au lieu de le jeter ?
Et Si, je ne l'avais pas rencontrée par hasard ?
----------
JE TE CONSEILLE D'ALLER LIRE LE CHAPITRE XII DU TOME 1 PUIS DE REVENIR POUR PLUS DE COMPRÉHENSION ET D'INTENSITÉ
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top