Yuna se contentais de pleurer pendant que Dabi parler a son amie.

" Je savais bien qu'elle comptait pour vous, plus que le blondinet on dirait.

- Vous lui avez fais quoi ? C'est qui a l'autre bout du putain de téléphone !!

- Doucement mon grand hurler ne te ramènera pas ton amie, au contraire. Il souria en agitant un couteau de la petite blonde.

- Dit moi ou elle est !!

- Je ne dirais rien. Ramener nous Katsuki Bakugo au QG au plus vite et on vous la rendra pas abîmer. Plus vous traînerai plus son visage sera amoché. Ce setait dommage !

- Bande d'enflures... rendez la nous !!! Prenez vous en aux pros et pas aux élèves !!!

- J'espère que tu as bien compris le message."

Il raccrocha et la regarda droit dans les yeux. Le regard plus menaçant que toute les autres fois. Elle avait a nouveau peur. Ses yeux bleu étaient devenus plus menaçant que toutes les autres fois qu'elle l'avais vu. Elle baissa aussitôt le regard, tremblant de tout son corps.

Il ricana et souleva son menton avec le dos sa main. Il entrouvrit la bouche pour parler mais un homme entra. Dabi grommella et hurla le nom de l'homme avant de sortir. Tomura Shigaraki était face a elle, assit sur une chaise la devisageant de haut en bas.

Elle  baissa la tête, etre regarder de cette façon la répugnait, elle n'etais pas un animal de foire que l'on pouvait regarder comme si elle était un jouet. Tomura finit par partir sans lui dire un seul mot, elle se rtrouva seule en quelque instants. L'air était glacial en pleine nuit, elle était en tenue de ville et n'avait rien prit de chaud. La petite rouquine tremblait de tout son corps et decida de fermer les yeux, juste pour dormir un peu ou penser a autre chose.

Le lendemain elle se réveilla vers 8 heures, elle n'avait même pas fait une nuit complète et s'était au moins réveillé 40 fois dans la nuit avec les portes qui claquaient et la fraîcheur de la pièce.

Tomura entra dans la salle pour l'observer a nouveau sans rien dire, l'ennuie se lisait sur son visage. Elle ne voulais rien dire pour ne pas l'énerver et décida de faire comme si elle n'avait plus la force de parler. Elle pensait juste a son camarade pour se changer les idées, elle imaginait sont sourire et cela lui convenait pour lui remonter le moral meme si c'était quelque chose de beaucoup trop dur a vivre a ses yeux.

Tomura se balada sur le téléphone de la rousse qu'elle avait déverrouillé la veille. Elle avait une vie banale, une conversation l'interpella, une ou elle parlait de son incapacité d'utiliser son alter. Elle en parlait avec un garçon au nom d'Izuku Midorya. Qui lui aussi lui avait dit qu'il ne pourrait pas se donner a fond avec son alter. Shigaraki étant intéressé commença à lire toute la conversation qui finalement ne lui appris rien du tout au sujet de sa petite otage.

Il décida de se changer un peu les idées vu que celle-ci ne voulais pas lui parler et sortit voir la télévision installé dans leur salon. Il tomba sur une chaîne d'information parlant d'une attaque de pro a nouveau dirigée contre l'alliance. Celle-ci avait eu lieu au même endroit ou Katsuki Bakugo avait été enlevé. Il souria a la vue de leur tête totalement dépitée de ne pas les avoir trouvés sur place. Il lança un regard en coin a Dabi et posa le téléphone de la rousse sur la table en attendant un appel.

Dabi s'asseya a ses côtés suivit de la petite Himiko Toga. Ils fallut attendre une bonne heure avant que le téléphone sonne a nouveau. Tomura laissa l'appel passer plusieurs fois avant de décrocher face a l'insistance de la personne au bout du fil.

" ELLE EST OU ?!

- Tiens c'est a nouveau toi qui l'appelle et sur un numéro masqué tu devrais avoir honte, nous ne sommes pas si con pour avoir été au même endroit. Dabi pouffa de rire.

- Nous ne te dirons pas ou elle est a moins que tu change d'avis et nous livre le petit blond que nous avions enlevé la dernière fois. Tomura plaqua sa main sur la bouche de Dabi.

- Si je vous le livre vous la laisserez partir en vie ?

- Bien sur que oui, un marché est un marché. Mais si tu oses nous la faire a l'envers n'oublit pas que nous avons une petite gamine en otage que tu connais très bien. Livre le nous demain ou maintenant a l'entrée de la forêt.

- Maintenant. "