Chapitre 7
Il n'existe aucun mot assez puissant à ma connaissance ayant la capacité de décrire avec exactitude la lenteur dont c'était déroulé cette nuit durant laquelle je n'étais parvenu à fermer l'œil qu'une heure ou deux. Veillant avec précaution à ce que la température d'Eren demeure stable en épongeant quelque peu son front à l'aide d'une débarbouillette fraichement imbibé d'eau froide. Repartant à certaines occasions nettoyer le sol de la salle d'eau tout en ramassant simultanément les habits délaissé au court de notre périple, les faisant rapidement migrer dans le panier à linges sales que j'avais heureusement, aisément repéré.
J'avais bien évidement contacté mon oncle au cours de ces tâches et lui avait expliqué la situation. Omettant volontiers quelques détails de façon à lui éviter de l'inquiétude superflue - comme le lieu où je me trouvais un peu plus tôt, entre autres - J'ai opté pour le mettre au courant du strict minimum. Lui expliquant que j'avais croisé Eren - Kaney l'ayant déjà rencontré à plusieurs occasions alors qu'il venait à la maison - et qu'il ne se sentait pas très bien. Qu'il avait une forte fièvre et qu'il n'était pas apte à s'occuper de lui-même. Sans compter que son tuteur était absent et que par conséquent, j'avais cru bon de rester chez lui, préférant le tenir à l'œil ce qui avait semblé surprendre mon oncle qui n'était guère accoutumé à ce que je me préoccupe des autres à ce point. Un étonnement auquel je fis cependant abstraction. Je l'avais également informé que je passerai à la maison avant l'école, le lendemain, ne désirant aucunement me coltiner des vêtements humides et crasseux durant l'entièreté de la journée.
Chose faite, j'avais raccroché et m'étais rendu au rez-de-chaussée, nos chaussures et manteaux en mains puis avait déposé les basquets dans l'entrée avant d'accrocher les pardessus sur le porte-manteau, et de verrouiller la porte de la maisonnée au passage. Me dirigeant par la suite vers le salon de sorte à récupérer le verre d'eau vide, préalablement laissé sur la table basse pour aller le nettoyer et le remettre à sa place.
Remontant subséquemment à l'étage afin de regagné la chambre de mon brun avant de m'installer sur sa chaise de bureau que j'avais antérieurement fait rouler jusqu'à son chevet, entourant mes épaules dénudés d'une mince couverture que j'avais précédemment dénichées dans le salon. Débutant de près la surveillance de mon gamin tout au long de la nuit de sorte à pouvoir rapidement intervenir en cas de problème.
Ce fut le chaleureux touché d'une paume contre mon visage qui me réveilla le lendemain matin. Me faisant lentement ouvrir les paupières alors que je calais inconsciemment ma joue au creux de la main tendue. La première chose que je distinguais malgré la noirceur de la pièce, faiblement éclairé de la lampe de chevet, fut Eren qui à la croisé de nos regard, retira précipitamment ses doigts. Détournant ses beaux yeux de jade tandis que le rouge reprenait d'assaut ses joues.
« Quelle heure ? » Je demande pour briser son malaise, la voix endormie. Délibérément accoutumé à ce genre de réaction de sa part, bien que je n'y comprenais rien.
Il amena de nouveau ses magnifiques prunelles sur ma personne suite à mon interrogation. Les dirigeant automatiquement à son réveille-matin que je n'avais jusqu'alors pas remarqué par la suite.
« 05h37 » Il me murmura d'une faible voix. J'acquiesçais alors que je lutais pour garder les yeux ouverts. Ressentant dorénavant les contres-coups des dernières vingt-quatre heures tandis que je prenais conscience que je n'allais plus tarder à devoir me rendre chez moi pour me changer.
J'avais bien évidemment pensé à emprunter des vêtements à Eren pour me dépanné, mais m'étais rapidement ravisé sachant qu'il était plus grand que moi et que par conséquent, cela ne me ferais pas. Je retins un claquement de langue à ce songe. Bien sûr, je m'étais résolu à lui dérober un jogging pour la nuit, ne supportant pas de ressentir une seule seconde de plus la sensation d'humidité que me procurait ce pantalon trempé, mais il n'était pas question que je me rende à l'école dans l'une de ses tenues appartenant à mon brun. Bien qu'elles fussent fort confortables de par la largeur qu'elles prenaient une fois revêtue sur mon corps.
« Tu devrais te recoucher... » Je dis, toujours de ma voix ensommeillé, me libérant malgré-moi de la plaid afin de me rapprocher de mon gamin pour déposer une paume contre son front de sorte à analyser sa température pour la énième fois de la nuit. Ce qui ne manqua pas de le faire tressaillir sans pour autant que je n'y porte attention.
« Ta fièvre a baissé. Je constate avec soulagement. Mais je ne veux pas que tu te pointe à l'école. Je termine sévèrement.
Il se mordit la lèvre inférieure tout en me toisant de ses grands yeux verts avant de me questionner sur la présence d'Hannes. J'en déduisis alors qu'il s'agissait de ce fameux tuteur manquant à l'appel.
« Il ne reviendra pas avant ce soir. Je commence mollement. Il a laissé une note sur le comptoir. » Mon brun acquiesça d'un simple hochement de tête, visiblement habitué à son absence.
« Je... Je suis désolé pour tous les soucis... » Il me lâche finalement d'une voix coupable alors que je me replaçais sur sa chaise, replaçant la couverture sur mes épaules afin d'essayer de profiter encore quelque peu de sa chaleur.
« C'est rien. Je dis en laissant filer un bâillement d'entre mes lèvres. Mais je veux que tu prennes soin de toi à l'avenir. Comment tu veux que je te fasse confiance si tu te remmène malade comme un chien ? » Je réplique d'un ton de reproche qui le fit baisser le regard sur ses mains en signe de culpabilité, laissant planer un silence pesant qui perdura quelque instant avant que je ne l'aperçoive entrouvrir les lèvres, me laissant aisément deviner qu'il allait prendre la parole, mais je le devançais.
« Tu n'iras plus seul à ce club. Je dis d'un timbre de voix catégorique qui le fit brusquement relever les yeux dans ma direction dans un soubresaut. Je ne veux pas qu'il se reproduise ce qu'il s'est passé hier soir. »
« Mais Lev- »
« Tu n'auras qu'à faire comme si je n'étais pas là. Je le coupe, voyant son désaccord palpable. Fais comme d'habitude, je me tiendrais au bar avec Mike, mais il n'est pas question que je te laisse là-bas tout seul. » Je termine avec persuasion.
« Je ne veux pas que tu t'en mêle ! » Il murmure d'une voix ferme, une lueur de crainte combiné à de l'irritation se reflétant derrière ses iris qui me fit froncer les sourcils alors qu'il resserrait sa prise sur sa couverture.
Je soupirais un coup tout en me penchant faiblement vers l'avant, courbant le dos tandis que j'appuyais mes coudes sur mes cuisses, ancrant simultanément mes prunelles dans celles d'Eren.
« Gamin. Je poursuis sévèrement. Si je fais ça, c'est pour ta sécurité et rien d'autre. Je veux bien te faire confiance, mais ça me fait grave flipper de te laisser seul là-bas après ce que j'ai vu. »
Ce fut à son tour de soupirer, continuant à malmener sa lèvre avec acharnement sous le désarroi. Se questionnant probablement sur s'il devait me laisser faire alors que personnellement, je ne lui laissais clairement pas le choix.
« Je sais très bien que tu ne m'expliqueras certainement pas ce qu'il se passe, comme t'es sacrément borné. Je poursuis sur ma lancée. Mais laisses-moi au moins assurer tes arrières ! » Je désirais tout de même tenter mon possible pour le convaincre.
Il se mit à gigoté suite à mes paroles, se positionnant en tailleur alors qu'il menait subséquemment un poing à ses dents qu'il se mit à mordiller sous de ce qui me paraissait être de l'inquiétude, fixant un point inexistant.
J'inspirais profondément, jurant que je donnerais cher pour savoir ce qui pouvait bien se tramer dans son esprit pour qu'il en soit aussi perturbé, avant de m'emparer délicatement de son poignet que j'éloignais doucement de son visage, recouvrant son poing préalablement meurtrie de mes mains. Cherchant simultanément son regard que je parvins heureusement à accrocher.
« C'est simplement pour te protéger... » Je dis calmement, espérant qu'il accepte sans rechigner. ce qui fit revenir le silence durant quelque instant, surplombant la pièce de sa pesanteur.
« De toute façon que je le veuille ou non, tu viendras quand même, je me trompe? » Il répliqua faiblement tout en resserrant ses doigts autour des miens, un sourire résigné ornant ses lèvres.
« Je préfèrerai que tu sois consentant. Je réplique instantanément. Mais oui, je viendrais quand même. » Je réponds finalement sans le quitter des yeux. Pensant qu'il valait mieux être honnête avec lui.
« Dans ce cas... Il soupira de nouveau, fermant les yeux quelque seconde avant de ne les reposer sur ma personne, plus déterminé et stricte que jamais. Tu restes au bar et tu attends que je finisse. Je ne veux pas que tu t'énerves. Il m'ordonne sévèrement. Si j'ai des ennuis comme hier, tu fais en sorte d'éloigner les fauteurs de trouble sans attirer l'attention, sans plus. Compris ? Je te veux aussi discret qu'un assassin. » Il me dit d'une voix ferme, le regard laissant transparaître le plus grand sérieux jamais connu chez ce garçon.
« Aussi discret qu'un assassin, ouais c'est compris. » Je réponds, un demi-sourire ornant mes lèvres. Eren était un grand fan d'Assassin's creed. Ce qui m'attisa un regard scrutateur de la part de mon brun qui ne put qu'élargir mon sourire malgré-moi.
Je jetais un rapide coup d'œil au cadran qui m'afficha 06h13, ne manquant nullement de me rebuter avant que je ne revienne sur mon gamin qui m'adressais désormais des yeux interrogateurs.
« Je vais devoir y aller, je dois passer chez moi. J'explique afin de le mettre dans la confidence. Il fit un hochement de tête me témoignant sa compréhension. Par contre, toi. Je veux que tu restes ici et que tu te reposes. Je dis d'un ton ferme, ne laissant passer aucune revendication de sa part. Ça ne te mènera à rien d'amener ton cul au bahut sans être correctement rétabli. Et c'est pareil pour ton travail, c'est clair ? Tu n'arriveras à rien si tu te retrouves dans le même état que hier. Je termine en le fusillant du regard, le défiant de contester mes ordres.
Quelques secondes passèrent durant lesquelles on s'observa mutuellement, plongeant notre regard l'un dans l'autre avant qu'il ne daigne me répondre par l'infirmatif, ne pouvant cependant se résoudre à réprimer un nouveau soupire d'agacement qui ne me dérangea pas le moins du monde.
« J'imagine qu'un seul manquement ne peut pas me faire de mal... Il souffle lassé. Et c'est pas comme si je travaillais aujourd'hui... Enfin, je ne suis pas censé. »
« Je prendrais des notes pour toi, en math. » Je le rassure, ayant parfaitement connaissance de sa difficulté concernant cette matière. Une affirmation qui me suscita un tendre sourire de sa part qui me fit rater un battement.
« Si Mikasa et Armin te questionne sur mon absence, tu peux leur dire que je suis malade, mais que je n'ai rien de grave s'il te plait ? » Il me demande doucement, ce à quoi j'acquiesce d'un hochement de tête avant de mollement me relever, n'ayant aucunement l'envie de quitter mon gamin, bien que je le devais. Quand ce dernier me retint de par nos mains toujours connecté. Resserrant davantage sa prise autour de ma peau avant de brusquement la relâcher. Comme s'il venait tout juste de s'apercevoir de son geste.
Je menai alors nouvellement mon regard sur lui avec curiosité, commençant à le scruter de toute part alors qu'il n'osait plus me regarder en face, ses joues de retour à leur teinte rougeâtre. Une vision qui m'arracha malgré-moi un demi-sourire avant que je ne me résous à déposer ma main gauche sur son épaule de façon à le rapprocher de moi pour me faciliter l'accès à son crâne d'où j'y déposais un doux baiser. Humant librement au passage la douce odeur qui émanait de son cuir chevelu.
« Dors, maintenant. » Je murmure en m'éloignant un minimum afin de pouvoir graver l'image de son expression embarrassé dans mon esprit qui ne put que me satisfaire avant de ne finalement me détacher de lui et de me retourner pour replacer sa chaise à son bureau, m'emparant subséquemment de la plaid que j'eus dans l'idée de redescendre au rez-de-chaussée.
« Tu prendras un tylenol si tu n'arrives pas à te rendormir. Une autre douche ne te fera pas de mal non plus. Je rajoute. Je te rendrais ton jogging une fois lavé. » Je lui lançais un nouveau regard suite à mes conseilles qui me laissa rapidement distinguer la gêne qui n'avait qu'accru sur son visage, se remémorant probablement la nuit dernière. Mais je ne fis cependant aucun commentaire et parti récupérer mes vêtements dans la salle d'eau, enfilant malgré-moi mon pull encore humide avant de redescendre le palier de la maisonnée. Repliant la plaid que je remis sur le sofa pour ensuite enfiler prestement mes baskets et mon blouson. Passant le pas de la porte après avoir lancé un dernier au revoir à mon gamin.
Ce n'est néanmoins que lorsque j'atteignis la rue, entreprenant de me rendre à mon domicile que je reçu un message de la part d'Eren, me stoppant dans ma démarche sous la surprise.
« Merci... » C'est tout ce que cela disait, et cela en en fut assez pour me procurer un étrange sentiment de bien-être dans la poitrine.
∞∞∞∞∞∞∞∞
La journée avait été plutôt longue et putainement emmerdante. Hanji et Erwin n'avait cessé de me faire remarquer les cernes de trois kilomètres - selon la binoclarde - qui avaient pris place sous mes yeux dû à cette nuit mouvementé. Ce à quoi j'avais simplement répondu que j'avais mal dormi, ne désirant nullement les impliquer davantage dans la situation qui se trouvait déjà fort compliquée. Une explication qui ne semblait toutefois nullement les convaincre. Ce qui me fit les maudire d'être aussi perspicace, bien que ce n'était qu'un demi-mensonge.
Je me dis sur le coup qu'heureusement que Petra n'était pas revenue me chercher des noises, ne sachant si j'aurai été capable de me contenir à sa venue alors que je n'en pouvais déjà plus.
Quant à Mikasa et Armin, je m'étais résolu à aller les avertir de mon propre chef, ayant naturellement et prestement discerné l'inquiétude qui se lisait sur leur visage vis-à-vis l'absence anormale d'Eren qui leur était jusqu'à présent inconnue. Une action qui m'avait procuré une expression soulagé de la part du blond, mais une panoplie de question provenant de la morveuse. À commencer par comment j'étais au courant de sa situation et pourquoi il ne les avait pas contacté lui-même et plein d'autres conneries les plus agaçantes les unes que les autres. Je pus néanmoins me contenté que le meilleur ami de mon gamin l'ai interrompu sur sa lancée, me remerciant de les avoir tenu au courant, sinon je crois bien que j'aurai commis un meurtre.
Enfin, j'avais passé le midi à me questionner sur ce que faisait mon brun. S'il avait bien dormis et prit un tylenols comme je lui avait conseillé. Si sa fièvre avait descendu davantage et plein d'interrogations dans le même genre qui ne purent me dissuader à lui envoyer un message. Lui demandant si tout allait bien, sous l'œil indiscret de mes meilleurs amis. Un message qui leur éclaira l'esprit en moins de deux par rapport à mon état déplorable. Ce qui avait déclenché la furie qu'était Hanji avant que je ne lui ordonne de se taire tandis que je reçu simultanément une réponse de mon gamin qui m'assurait qu'il se portait mieux. Une affirmation qui me soulagea moindrement alors qu'Hanji me regardait avec un sourire fendu jusqu'aux oreilles à en effrayer plus d'un.
Ce n'est qu'au moment où je traversais le seuil des portes de l'établissement, me faisant faiblement éblouir par la clarté de l'extérieur après avoir quitté mes amis que je reçu un appel de Kaney, me procurant un froncement de sourcils. Sachant qu'il ne me contactait que très rarement à la sortie des classes. Surtout alors que j'allais être à la maison dans une dizaine de minutes tout au plus. Imaginant le pire, Je n'avais guère tardé à répondre, croyant qu'il s'agissait d'une urgence.
Je ne pus retenir un claquement de langue agacé suite à sa demande qui n'était autre que de passer prendre une pizza sur le chemin.
« T'es sérieux ? Je dis d'abord, fronçant davantage les sourcils sous sa requête. Pourquoi tu la commande pas ? » Je demande, incrédule.
« Aller Levi, si je la commande, le livreur va se perdre et elle va être froide. Il argumente. En plus c'est sur ton chemin ! »
« De quoi tu parles ? Je réplique d'un ton amer. C'est pas du tout sur mon chemin, et la pizzeria la plus proche est super loin ! » J'essaye de lui faire entendre raison.
« C'mon. Insiste mon oncle. Elle est meilleure là-bas de toute façon. » Il m'implore tout en me disant qu'il me revaudrait ça. Ce qui me fit bruyamment soupirer en guise de résignation pendant que lui me remerciait, conscient de sa victoire.
Je ne pris pas la peine de lui répondre quoi que ce soit et raccrochais avant de me mettre en marche vers la pizzeria. Soufflant de lassitude à l'idée que j'allais devoir me coltiner une vingtaine de minute en plus. Décrétant que cette pizza allait devoir être sacrément bonne.
À peine je fusse entré dans la pizzeria que je posais mes yeux sur le menu, ne sachant aucunement combien allait me coûter une pizza pepperoni-fromage-moitié-végétarienne, connaissant parfaitement le culte que portait mon oncle pour les légumes - et j'exagérais à peine. - Ce qui m'incita à poser la question au caissier qui s'excusa promptement, m'expliquant qu'il devait aller chercher quelque chose dans l'arrière-boutique. Ce qu'il fit après avoir interpellé un autre employer afin que ce dernier me serve à sa place, le qualifiant de suicidaire au passage. Un surnom qui me laissa perplexe, me procurant simultanément un froncement de sourcils, laissant de ce fait visiblement paraître mon incompréhension vis-à-vis la raison qui pourrait bien se cacher derrière ce surnom sans pour autant que je ne m'attarde davantage sur le sujet. Classant brièvement cette information dans la catégorie "Ce n'est pas mon problème" de mon cerveau tout en reportant mon attention sur le menu surplombant le comptoir de la pizzeria.
« Tu peux bien parler, avec ta tronche de cheval. » S'indigna le remplaçant d'une voix qui capta instantanément mon attention, attirant machinalement mes yeux sur la personne qui se trouvait dorénavant devant moi, le regard posé sur la caisse. Ne m'ayant pas encore jeté un coup d'œil.
« Que désirez-vous command... » Débuta Eren avant que sa voix ne s'estompe d'un coup, se figeant brusquement en réalisant qui se trouvait devant lui alors que je plissais les yeux en croisant les bras contre mon torse. Le choc de le découvrir ici, titulaire d'un second emploi laissant rapidement place à l'agacement qu'il ne soit pas en train de se reposer.
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Saluuuut! Alors, oui il se passe pas grand chose dans ce chapitre, mais je promet plus d'action dans le prochain! Promis ;)
À toute mes chéri(e)s j'espère que ce chapitre vous à plus ! ^^
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