Et je sens son ombre se poser sur mon dos comme un voile chaleureux et protecteur,
Comme une seconde peau, une armure contre la mort.
Contre l'inesperance, le déni, la passivité.
Son corps fantômesque s'enveloppe autour de moi comme quand nous formions un tout d'amour sans conditions.
Dans cette journée dépourvue de lumière, j'aime à penser que ces quelques minutes de soleil qui me réchauffe le bras comme une une jolie caresse, me proviennent d'elle.
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