The bugs
Résumé: Le jour de ses 15 ans le monde d'Henry s'écroule, car c'est définitif n'a et n'aura jamais de faculté surnaturelle, jamais il ne pourra accéder à l'EMPEAFS cette académie permettant à toute personne qui y ressort de vivre respecté de tous. Serait-ce vraiment la fin ou y a-t-il encore une chance que tout ça ne soit qu'une erreur
Chapitre 1: Un bien triste anniversaire
— Alors, docteur, il a quelque chose ? demanda mon père au médecin qui m'auscultait.
« Pauvre gamin, malade le jour de son anniversaire ! » devez vous penser en lisant ces premières lignes. Je vous rassure, j'allais malheureusement très bien. Seulement, je venais d'avoir quinze ans et justement je n'avais toujours pas manifesté le moindre signe de migraine, fièvre ou vertige.
Le Dr Midler se rassit dans un fauteuil en forme d'œuf et feuilleta mon dossier médical. Franc et Daphné, mes parents adoptifs scrutaient le regard du médecin à la recherche d'un signe d'inquiétude mais la chose qui s'y approcha le plus, fut sa grimasse quand il releva la tête et découvrit sur une étagère l'une de mes affreuses photos de classe de primaire où mes cheveux avaient été collé avec une tonne de gel. Reposant mon dossier sur la table basse, il déclara :
— Désolé M. Rostern, mais votre fils adoptif va parfaitement bien.
— Qu'est-ce que vous en savez ? Si ça se trouve c'est psychologique ! s'écria ma mère avant de se tourner vers moi pour me demander d'une voie plus douce, Tu es sûr que tu vas bien mon poussin, tu m'as l'air un peu tristounet aujourd'hui ?
Peut-être était-il encore temps de ne pas perdre la face, faire semblant d'éclater en sanglot comme engloutit par une dépression. Mes parents ravis de savoir que j'étais spécial auraient renvoyé le médecin en demandant à Malcom notre majordome de me préparer une glace pour me remonter le moral.
Je savais très bien faire semblant d'éclater en sanglot !
Malheureusement, ce plan n'était pas à long terme et les adultes ne tarderai pas à découvrir que tout cela n'était qu'une mascarade. Baissant les yeux comme si j'avais une bêtise énorme, je murmurai :
— Non maman, je vais très bien.
Osant redresser ma tête, je pus voir la déception transpercer le regard de mes parents et je l'étais autant que, on m'avait toujours préparé à être spécial. Mais c'était définitif j'étais banal, jamais je ne pourrais me téléporter, arrêter le temps, lire dans les penser, me métamorphoser. Jamais je ne pourrais intégrer l'EMPEAFS (Ecole militaire pour enfant avec faculté surnaturel) qui valait gloire et renommer aux familles des élèves qui sortait avec les lauriers de l'académie.
— C'est impossible ! s'exclama mon père ! La mère biologique de Henry était téléportatrice !
Le Dr Midler prit la seule photo de ma véritable mère qui trainait au milieu de mon dossier médical. Pour l'avoir des milliers de fois contemplés, je connaissais par cœur cette photo, ma mère portait ce jour-là un tee-shirt bordeaux, sur ses épaules retombaient ses cheveux crépus et son visage métisse affichait un immense sourire.
— Peut-être vous a-t-elle mentis. Avait-elle des problèmes d'argent ?
— Non ! cria ma mère adoptive qui semblait plus scandaliser par le fait que le médecin sous-entende qu'elle avait put se faire avoir plutôt que par celui qu'il dise que ma génitrice pouvait être une menteuse doubler d'une voleuse.
Mon père intervint alors plus calmement :
— Se que ma femme veut dire, c'est que Emma Tomas n'avait pas vraiment de problèmes d'argent, elle nous a simplement confié Henry car elle se trouvait trop jeune pour s'occuper de lui et qu'il mériterait une meilleure vie.
— Et vous ne pouvez pas lui demander pourquoi son fils n'a pas hériter de son pouvoir ?
— A l'adoption d'Henry, elle nous dit que ça serait mieux pour nous tous si nous ne la recontactions pas, fit ma mère avant de détourner le regard et d'ajouter. Mais elle a été tuée quelques mois plus tard.
C'était ça le pire, même si j'avais eu envie de renouer les liens avec ma mère c'était impossible car elle n'était plu.
— Et le père ? demanda le Dr Midler dont les questions commençaient à me compresser la cage thoracique.
— Un parfait inconnu ! répondit ma mère en relissant sa chevelure blonde.
— Il vient peut-être de là le problème ! déclara le médecin. En tout cas ça fera 60 dirsm la séance.
— Que voulez-vous dire ? questionna ma mère.
— Que si le père n'avait pas de pouvoir cela augmente les chances que son fils n'en n'est pas.
S'en fut trop pour mon père qui s'écria hors de lui :
— Malcom, raccompagnez le Dr Midler. Dr, nous vous enverrons l'argent directement à votre cabiné.
— Je comprends, déclara le médecin en enfilant son manteau. Je suppose que vous voulez digérer tranquillement l'information en famille.
Encore sous le choc, mes parents et moi le regardâmes s'en aller jusqu'à l'entrée où il s'arrêta et se retourna pour lancer :
— Et au faite joyeux anniversaire Henry !
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