Plongé dans l'abîme des émotions : L'écho d'une douleur déchirante

Je ramasse tout l'air emprisonné dans mes poumons,j'essaie d'enfermer cette rage.L'abstenir elle est si forte elle me consumme.comme un feu naissant qui crépitrai un bois. MA douleur est immense,qu'elle voudrait se laisser exprimer par ma colère. À l'intérieur de moi est un chaos de colère de larmes amère de résilience. Les sensations s'enchaînent me voilà au bord de la falaise prêt à exploser.Peut-être que c'est mieux qu'une douleur physique. Je combats repousse l'agresseur avec toute la hargne .Je sais plus ou tourné les yeux ,l'opresseur et ses amis me tient sous silence.Résigné,que ma parole soit peu prit en compte.Aujourd'hui ,je sais ce que je veux et je veux m'enfuir.La cage est trop étouffante,depuis le temps que je hurle ,ils m'ont jamais aidée ,personne ne m'a porté secours . Laissant cette flamme me consummer dans mon être . Je pourrais dire que vos parfaite petite vie a été la seul dont vous vous préoccupiez vraiment . Parce que moi je suis là,et j'ai mal,j'ai mal,j'ai mal,j'ai MAL
MAL
MAL
MAL
À l'aide ! D'où il me viendra le secours, le secours me viendra de l'éternel.

Mais père je suis là,je meurs.Aide-moi,à l'aide!

Ne me méprise pas,pas toi.Sauve-moi,je crois tu comme déjà fait ça pour moi.Vient père !

Je veux Fuir, j'ai l'impression que cette fois je tiendrai plus.
Je meurs et personne n'arrive à me panser. Vu qu'il t'es au moins vu saigner mais ils vivent leur petite vie.Pendant toi que tu meurs .

Je souffre
Je souffre
Je souffre

Et cette douleur me tue je vous en prie, j'ai besoin d'aide qu'on me sauve. Après chaque ,le combattant à bataille besoin de respirer.J'accumule trop depuis. Il me reste que ma morve mon désespoir, mon âme n'à plus l'air d'être là comme si je meurs.
Elle m'a trop fait souffert.

JE NE T'AIME PAS MÈRE.C'EST TOI QUI ME TUE,C'EST TOI QUI M'A TUÉ.

J'AI MAL.

ANMWEY....

Mon super pouvoir s'est éteint je me suis tenu au fond de ce couloir, prêt à expier ma souffrance. J'ai regardé toutes les portes possibles. Le suicide, Crié, refoulé

Mais j'ai ouvert grand la bouche et sous mes gémissement,rien n'a pu m'échapper,rien comme si j'ai été réduit à une coquille vide plus de remord ,plus de colère.Je me faisais juste consommer.juste mes larmes , je me sentais mourir.

J'y suis retourné.
Encore une fois de plus dans le fond de ce couloir, j'ai aspiré l'air feignant des gémissements. Et sans trop d'effort, elle est sortie cette colère, je me suis délivrée. J'ai crié ,et je me sentais bien .Des ondes sont sorties de ma gorge ,elles étaient puissantes,elles sont sorties ,je ne sais pas si c'était qu'une moitié.J'ai crié si fort,que j' en ai mal à tête à la tête après,je me suis senti apaisé. Ensuite,des rires se sont déployés de ma gorge et en même temps des larmes. Je ne savais plus ou j'en étais. Mais j'étais délivré.

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