"En quête de lumière : La quête d'attention à travers les méandres de la vie"
Ça fait mal, oui,
Ce sentiment d'être sollicité,
De ne pas être pris en compte,
Être le fantôme de sa communauté.
Elle hurle, encore et encore,
Mais hélas, personne n'y prête attention.
Mal considéré, oublié,
Fais un effort, montre-leur.
Je me fâche, je pleure, je rougis,
Ah bon, ils ne te voient toujours pas?
Ça me désole de voir vous, mes amis,
Qui vous pensiez maîtres du temps.
Vous, mes amis, qui blessiez mes sentiments,
Laisse, ils ne voient pas,
Il ne font pas exprès de te faire saigner.
Ça me désole que vous pensiez,
Que cette bonne fi-fille sera toujours là à vous attendre.
Ce cadre m'étouffe, je n'en peux plus,
Il faut que je m'évade.
Comprenez-moi, mes chers,
Quand je cesserai de faire surface,
Pardonnez-moi même quand je n'aurai plus de voix.
Elle court plus vite, l'arrivée est tout proche,
Évadons-nous des situations où l'on étouffe.
Je trébuche, aïe, qu’importe la dureté du gravier,
Je me relèverai.
Pardonnez-moi de vous quitter sans un mot,
Nous avons tellement gaspillé le temps.
Je suis désolée, mais je dois vous quitter,
Ça fait mal, je m'efface.
Un brin s'envole, un autre,
Il ne me reste que des jours,
Vous ne voyez toujours pas?
Je m'efface, eh oh, regardez-moi,
Psst, ici, regardez,
Allez un effort, elle s'efface,
Et puis au revoir, mes très chers.
Le temps qu'il restait est fini,
Comme pour toute chose, apprenez à le considérer.
[Ce poème exprime la douleur et la volonté de s'évader des situations étouffantes.
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