Point de vue Chat noir
Sa bouche est douce et chaude. Elle tire sur mes cheveux et j'approfondis mon baiser. Elle me rend fou, fou d'elle.
-"Adrien.."
Elle a murmuré contre ma bouche. Sa voix, ce ton de voix. Il est empli de désir. Empli d'amour. Empli de tout. Tout ce dont j'ai besoin maintenant, tout de suite. Je la soulève et la porte jusqu'à l'endroit où elle dormait quelques minutes avant, rempli de cousins et de couvertures, venus tout droit de chez moi.
Elle prend mon visage dans ses mains et m'embrasse. Je quitte sa bouche et attaque son cou, sûr d'y laisser une trace. Ou plusieurs. Je ne sais pas encore. Je suce délicatement sa peau, lorsqu'elle agrippe mes cheveux plus tendrement et rapproche sa bouche de mon oreille :
-"Toi et moi... ce soir..."
Ce fut un chuchotement. Je relève la tête et croise ses magnifiques yeux lagons... et je fonds. Comment ne pas lui donner ce qu'elle veut quand elle me regarde comme ça ? Je souris, et elle aussi. Elle descend ses mains, là où mon costume la dérange.
-"Enlève le... je t'en prie..."
-"Mari..."
Elle s'arrête net et me fixe. Je lève un sourcil et elle se mord la lèvre. Adorable.
-"Ne dit pas mon prénom comme ça..."
Quoi ?
-"Pourquoi ?"
-"Je... c'est..."
J'attends sa réponse mais rien ne vient. Je lui prends alors les poignets et les place au dessus de sa tête. J'embrasse sa gorge.
-"Si tu ne me réponds pas, je te garde comme ça jusqu'à la fin de la nuit"
-"Dans ce cas, je ne te répondrais jamais"
Et c'est ce qu'il me fallait pour céder.
-"Dé-transformation !"
Une lumière verte jaillit. Et me revoilà Adrien. Marinette agrippe mon tee shirt et me l'enlève, touchant chacun de mes mucles.
Je l'imagine déjà, collée à moi, me demandant de continuer, m'embrassant et me disant à quel point je compte pour elle.
Soudan, sa petite voix me sors de mes pensées :
-"Tu as froid ?"
Moi ? Froid ? C'est une blague ?
-"Absolument pas ! Je n'ai jamais eu aussi chaud"
-"Tu as la chair de poule ! Je ne pensais pas que je te ferais cet effet là", dit elle en riant.
Si elle savait. Alors, je lui prends la main, et viens la placer au dessus de mon jean, sur mon sexe.
-"Voilà l'effet que tu me fais Mari..."
Elle rougis. 1 point pour moi, encore.
Après quelques secondes, le timide sourire gravé sur son visage se transforme en un sourire coquin. Marinette est tout simplement a-do-rable. Elle me pousse sur le côté, elle est désormais sur moi, ses couettes laissent échappées quelques mèches noirs, et ses yeux me regardent. Ce soir, elle sera mienne.
À ce moment là, elle se frotte doucement contre mon sexe, faisant des mouvements de va et vient extrêmement énervant.
Je suis torse nu, et elle non. Ce n'est pas juste. Avec un sourire charmeur, je tire lentement sa veste afin de la faire tomber de ses épaules. Impatiente, elle se l'enlève elle même, avant de se pencher sur moi et d'embrasser mon torse. Elle balade sa langue sur mon ventre, comme je l'ai fait pour elle un peu plus tôt. Je tire sur ses cheveux pour la faire revenir à moi. Elle comprend mon intention puisqu'elle se redresse et vient embrasser ma joue, mon front, mon nez et, comme par pure torture, effleure à peine ma bouche. Ça ne va pas se passer comme ça. Je me retourne et reprends le dessus. Marinette rigole, mais pas pour longtemps :
-"Bientôt ma Lady, tu ne riras plus"
J'observe sa réaction et enlève son haut. Elle porte un soutiens gorge en dentelle noir, faisant référence à ses cheveux. Son visage est rouge écarlate. Elle est belle, très belle. Et le pire, c'est qu'elle n'imagine même pas à quel point.
-"Ne fais pas cette tête Chaton..."
-"Tu es belle Marinette"
Et comme si cette phrase était son déclencheur, elle m'embrasse et commence à doucement descendre son pantalon. En un coup de main, je le lui enlève complètement et déboutonne mon jean, elle tire dessus avec ses petites mains, et je m'en débarrasse à l'aide de mes pieds. Je dégrafe son soutiens gorge et fais glisser les bretelles. Deux boules de chair apparaisse face à mes yeux et je ne peux m'empêcher d'être bouche bé. Marinette a bien plus de forme que ce qu'elle daigne montrer. Je commence à doucement sucer l'un de ses tétons pendant qu'une de mes mains joue avec l'autre.
Elle met sa tête en arrière et se cambre légèrement. Son souffle est court et saccadé, ce qui me rends impatient et titille mon excitation.
-"Je... si tu continue comme ça je ne tiendrais pas longtemps Chaton..."
-"Passons aux choses sérieuses alors"
Avec un sourire digne de Chat Noir j'embrasse une dernière fois sa poitrine puis sa bouche, avant de prendre une capote dans la poche de mon jean. À la vue de celle ci, Marinette déglutis péniblement. Un problème ?
-"Quelque chose ne va pas ?"
-"Non non, rien ! C'est juste que..."
-"Que..?"
Elle pose ses mains sur son visage encore rouge et souffle :
-"C'est... c'est la première fois.."
Non ? C'est pas possible. Sa première fois ? Une jeune femme aussi exceptionnelle et désirable qu'elle ?
Aurait-elle honte ? Pourquoi se cache t'elle ainsi ? Je suis tellement, tellement heureux d'être le premier à pouvoir lui faire sentir ce que je ressens pour elle. Il faut qu'elle le comprenne.
-"Marinette"
Aucune réponse.
-"Mari regarde moi..."
Elle enlève ses mains de son sublime visage et me regarde, visiblement toujours gênée.
-"Ça va bien se passer, d'accord ?"
Elle ferme alors les yeux, descend les mains jusqu'à mon boxer et me l'enlève. Elle prend ensuite mon sexe. Je frisonne à ce contact. Ses mains sont aussi chaudes et douces que sa bouche, et c'est une dure mais ô combien agréable torture qu'elle m'inflige. Elle tient mon sexe dans sa main et me caresse lentement et maladroitement. Elle a beau être novice dans ce domaine, sa main semble très bien se débrouiller. Elle touche le bout de mon sexe, et le pince très légèrement. Ce fut comme un effleurement. C'en est trop. Je retire sa main malgré ses protestations et lui enlève sa culotte. Je m'empare du sachet toujours présent dans ma main et l'ouvre. Je déroule la capote sur mon sexe, maintenant dure, sous les yeux de Marinette et me place à l'entrée de son intimité.
-"Je vais y aller doucement, d'accord ?"
-"D'accord..."
Je la regarde dans les yeux une dernière fois, et lui dis :
-"Je t'aime"
Elle m'embrasse.
À ce moment même, je m'enfonce lentement en elle. Elle est si étroite que ça en est agréable. Son visage se crispe légèrement, et elle respire difficilement. J'arrête tout mouvement, et la laisse me guider pour la suite.
-"Ça va..?"
-"Je... je crois oui..."
Je lui souris.
Mon sourire la rassure puisque très vite, elle appuie sur mes fesses, pour que je rentre plus profondément en elle. Ce que je fais. Je fais au début, de lents va et vient, puis de plus en plus rapides. Je ne veux pas la brusquer mais elle semble y prendre plaisir. Je vois ses yeux se révulser, et elle pousse des gémissements de plus en plus forts.
-"Continue Adrien !"
J'obéis.
Je suce et mords la peau de son cou si tendre, m'embaumant de son délicieux parfum de fleur.
Je me sens venir, alors, pour finir, je m'enfonce en elle aussi profondément que possible. Elle plante ses ongles dans mon dos sous la sensation. Nous nous écroulons tous deux, l'un à côté de l'autre.
Et c'est quelques temps après, pendant que je sombrais dans un sommeil inévitable, en observant la magnifique vue que nous avions sur le Trocadéro et sur tout Paris, que Marinette me chuchote :
-"Preuve suffisante ?"
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