Chapitre 6
Chapitre 6
Un deuxieme chap dans pas longtemps ;)
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-Thomas ? Je peux te parler ?
Livia.
Le Gryffondor lance un regard à son ami Serdaigle et celui-ci lui lance un regard particulier. Ce regard est un code que le groupe de Keira à inventer avec le temps qui signifie tout simplement : lis dans ma tête.
Suivant le conseil du blond, Thomas s'incruste dans les pensées de son meilleur ami grâce à ses pouvoirs de legilimens.
« ET TU OSES DIRE QU'ELLE NE TE PLAIT PAS ? MECC T'A LIMITE PANIQUÉ ! »
Ta gueule, pense le Gryffondor si fort qu'il aimerait que le Serdaigle puisse lire lui aussi dans ses pensées.
-Oui, bien sûr, répond-t-il alors à la Serpentard qui attendait toujours sa réponse.
Et les 2 s'en vont, laissant Leith seul, avec un sourire provocateur toujours accroché à ses lèvres.
Livia mène thomas assez loin, même un peu trop loin d'après le jeune adolescent. Mais quelque chose attire l'attention du Gryffondor : La blonde semble connaitre bien les lieux. Elle n'hésite jamais avant de tourner vers un endroit ou un autre et on pourrait penser qu'elle sait où elle va. Enfin, elle s'arrête près d'un tableau qui n'est pas loin du dortoir des Gryffondor.
Ensuite, chose très inhabituelle, elle pose son doigt sur sa bouche pour lui indiquer de se taire et ferme ces yeux très fort comme si elle souhaitait quelque chose mais les rouvre quelques secondes plus tard et fixe Thomas avec espoir, mais devant l'air totalement perdu de celui-ci, elle murmure une injure et demande :
-Tu peux s'il te plait me donner quelques courts particuliers, pour ... rattraper mon retard ? On m'a dit que tu étais un des meilleurs élèves de la promotion et, disons que les Serpentard ne sont que très peu sociables et « n'ont pas le temps ».
La jeune fille semble alors très essoufflée ou stresser, et elle n'a pas l'air bien : bizarrement, elle a énormément pali en quelques instants et 2 gouttes de sueur roulent sur son front. Thomas accepte et elle hoche la tête en signe de remerciement, mais quand celui-ci s'en va, très intrigué et étonné par cette scène très bizarre, il se retourne une dernière fois et vois Livia en train de tourner vers un autre couloir. Elle tombe au sol et se relève en une fraction de seconde, se retenant de crier de douleur pour une raison que le Gryffondor ne connait pas.
Thomas, paniqué, s'empresse de courir vers elle, mais quand il arrive au tournant du couloir, elle n'est plus là.
Le brun pose alors sa main sur son visage. Mais que vient-il d'observer ?
***
(Quelques jours plus tôt)
-Un duel ?, demande-je intrigué.
Mon père, remettant ces cheveux mi long derrière ces oreilles d'un signe de main, acquiesce avec un sourire, un peu sadique à mon gout.
-MAIS QUELLE BONNE IDEE !, dis-je d'une voix ironique. OUI UN DUEL ! AVEC 15 MANGEMORT AUTOUR DE MOI, CA SERA TRES JUSTE, EFFECTIVEMENT ! Tuez-moi directement, crache-je en changeant immédiatement de ton. On perdra moins de temps.
Mon père, du haut de son mètre 80 baisse les yeux vers moi et mon petit mètre 65.
Nous nous fixons ainsi quelques instants et avant que je n'aie le temps de répliquer quelque chose il m'envoie un doloris.
Je tords de douleur au sol en tentant de me retenir de crier et me relève un dans les vapes quelques instants plus tard.
-Je n'ai donc pas le choix. Constate-je faiblement.
-Ne t'inquiète pas ma fille. Je vais instaurer quelques règles.
Je tente de reprendre mes esprits en faisant attention à mon bras toujours casser et fixe quelques instants les mangemorts devant moi : Draco et sa mère qui me regardent avec mépris pas très loin de Lucius. Ou encore Scabior derrière moi accompagné de Greyback, Bellatrix pas loin et Dolohov. Je fais un petit rire ironique en les comptant tous. 8. 8 mangemorts et moi. Une petite gamine de 16ans.
-Il vous est INTERDIT d'intervenir dans ce duel, celui qui ose me désobéir, je le tue, déclare mon cher papa.
-Si tu dis ça c'est que tu es vraiment sûr de gagner, constate-je.
Un regard noir plus tard, et il continue.
- Ensuite, Scabior, donne-lui sa baguette.
On me la lance et soudainement je me sens plus en sécurité. Vais-je vraiment perdre ? Je me suis souvent entrainé avec cet homme que je dois appeler « père » et les résultats n'étaient pas très positifs. De plus, je sais que je n'étais pas vraiment au maximum mais me battre contre lui, avec l'expérience qu'il a.
-Tu es prête gamine ?, me demande-t-il en se mettant en position de combat ?
-Non, une seconde.
Une idée me vient soudainement.
-Accio couteau.
L'arme de Bellatrix arrive dans ma main cassée et j'utilise un Wingardium Leviosa pour qu'elle tienne près de moi.
-Sale petite peste, me lance Lestrange, la haine se lisant dans ces yeux et sa baguette me menaçant.
-Je pensais que vous n'aviez pas le droit d'intervenir ?, proteste-je d'un air faussement anxieux.
-Laisse la Bella, rigole mon père. Elle ne gagnera pas.
-Ça c'est ce que tu crois, défie-je.
-Emero, ne te rappelle tu pas ce qu'a fait notre maitre au début du duel ou il a été confronté au jeune Potter pendant la final du tournois des 3 sorciers ?, demande Scabior un sourire aux lèvres.
Je fronce mes sourcils en signe d'incompréhension, mais mon père a l'air de comprendre.
Il appuie sur sa baguette et soudainement, mon corps ne m'obéis plus. Mon dos commence à se courber et je tente de me débattre mais rien. Je ne suis plus maitresse de mes muscles. Et quand je constate que je suis en train de m'incliner à contre cœur, je comprends enfin que je suis en train de subir le maléfice de l'Impero. Je serre des dents et lève la tête en direction de mon adversaire qui annule son sort et me demande :
-On peut y aller ?
Mais avant que je n'aie le temps de répondre un Doloris sort de la bouche d'Emero Hood.
-Protego !, hurle-je.
Mon bouclier cède immédiatement et connaissant la maitrise de mon père dans ce genre de sortilèges maléfique je sais que ce n'est pas encore finit
-INCARCEREM !, lance-je.
Mais avec un simple Incendio, les petites cordelettes disparaissent aussitôt. Comment n'y ait je pas pu penser tout à l'heure ?, pense-je en m'auto-insultant.
-CONFRINGO !
Je suis alors propulsé à quelques centimètres sous les rires gras des mangemorts et atterris sur mon nez qui coule de sang.
Je tente d'arrêter l'hémorragie avec mes mains en balançant un juron tandis que mon père me regarde fièrement. Je lève mon bras brisé comme pour demander une pause mais voyant que mon paternel n'en a rien à faire et s'apprête à réattaquer, j'utilise un Episkey et après un crac sonore, mon nez est aussitôt guéri et a sa place. Ce qui me donne que peu de temps pour balbutier un Protego contre le deuxième Doloris de mon cher papa.
Et à ce moment nous commençons à enchainer attaque sur attaque, mais rien à y faire. Nous arrivons chacun à nous défendre.
Je soupire alors sous le coup de la fatigue et ce petit instant de pause permet à mon père de profiter de l'occasion.
-ENDOLORIS !
Je retombe alors au sol et me mets directement à hurler de douleur vu que je n'ai plus la force de me retenir. Et cette impression reprend. Comme si ma tête pesait 500kg et que mes muscles allaient tous éclater. Alors que le sort s'arrête, je décide de ne pas me lever.
-Ais-je donc réussis a enfin tuer ma fille ?
Je m'assoie en tailleur au sol et fixe mon papa.
-J'arrête.
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