Attirance
Dès ton entrée dans l'agence, tu m'as tout de suite attiré avec tes grands yeux couleur chocolat, ton teint clair, ta peau lisse qui donnait envie de toucher, ton rire agréable à écouter, tes lèvres en forme de cœur et pulpeuses qui me donnaient envie, envie de t'embrasser. Décidément, tes lèvres m'attirèrent énormément, elles étaient tellement irrésistibles. Mais je m'y abstenais pendant longtemps. Si tu savais comme ça était dur, dur de devoir cacher ou même refouler mes sentiments à ton égard. Mais je me disais souvent pour me réconforter que ta présence et ton sourire radieux suffisaient amplement. Lorsque tu souriais, je souriais aussi. J'adorais tes yeux, surtout quand tu te mettais à sourire, tes yeux plissaient, c'était tellement adorable. Mais quand tu n'allais pas bien, je l'étais aussi, alors l'inquiétude m'envahissait. Je ne pouvais donc pas m'empêcher de passer à côté et faire comme si rien ne s'était passé, alors dans ces moments-là, je venais vers toi et te demander si tu allais bien. C'était une phrase stupide, non ? À quoi ça sert de demander à la personne alors que l'on sait qu'elle ne va pas bien. Mais je le faisais quand même et quand je savais que ça n'allait pas bien, j'essayais de te remonter le moral, de te réconforter...Tel un ami. Tu te plaignais de ta petite taille mais c'est ce qui fait ton charme hormis tes traits. Tu te plaignais de ne pas être assez viril mais moi, cela m'importait peu. J'aimais ton ventre qui n'avait pas encore développé d'abdominaux ou encore tes épaules, tu étais parfait à mes yeux. En fait, tout me plaisait chez toi, tes qualités comme tes défauts. J'aimais ta petite personne alors reste comme tu es, tu es bien comme ça.
J'étais si heureux de pouvoir te parler et surtout, quand j'ai appris que nous avions des petits points en commun. Nous étions tout de même différents mais je m'en fichais, car cela m'importait peu. Ce qui m'importait le plus, c'était que tu me parlais et que tu me souriais, juste pour moi. Parfois, je me suis demandé si tu ne m'avais pas ensorcelé grâce à ta présence. J'appréciais écouter le son mélodieux de ta voix. C'était comme un précieux cadeau tombé du ciel. J'aimais beaucoup t'entendre chanter en Anglais également et je savais bien que tu t'intéressais à cette langue et aux pays étrangers. Ce n'était pas seulement ta précieuse voix mais tu te débrouillais bien en danse. C'était plaisant de te voir bouger au rythme de la musique et même quand tu faisais des erreurs, je te trouvais surtout tellement adorable que je m'enfichais, j'étais même fatigué pour te reprendre, cependant, à quoi bon d'être en colère ? Nous faisions tous des erreurs. Puis je te trouvais également sexy que ça me rendait presque fou. Mes sentiments se développaient et je te désirais de plus en plus. Quand je te trouvais, mes yeux ne voulaient pas se détacher de ton corps pendant un laps de temps, quand tu partais mon corps bougeait de lui-même tel un aimant. Te voir faire la cuisine avec quelques autres membres me faisait sourire bêtement, j'éclatais un petit rire lorsque tu m'as dit cela : « Arrêtes de regarder, viens plutôt nous aider, non ? ». Je souriais et hochais la tête négativement. Cela m'amusait mais pas pour toi, tu roulais des yeux et continuais ton travail.
Ce qui me faisait sourire aussi, c'est que tu prenais soin de moi, tu me donnais de l'affection tel un ami, tel un grand frère que je n'avais jamais eu, je n'avais seulement des sœurs, mais moi j'espérais plus. J'étais conscient qu'il n'y avait pas seulement toi, les autres membres aussi, après tout on était une famille mais parce que toi, tu étais une personne spéciale. Et justement j'adorais ces petites affections entre nous comme ce moment où tu calais ta tête sur mon épaule, quand tu t'asseyais sur mes genoux. Bien que je ne m'étais pas déclaré. Cependant, j'avais toujours une petite lueur d'espoir en moi. Même si je ne suis pas du genre à croire ce qu'on me dit, j'avais un petit espoir parce que souvent, je me suis rendu compte que tu me regardais discrètement toi aussi. Je sentais ces grands yeux ronds me fixer d'un air attendrissant. Je pouvais même apercevoir, ce petit sourire. C'était un petit avantage de savoir que tu m'aimais bien et plus important, qu'on s'entendait bien mais encore une fois, j'étais effrayé à l'idée que tu ne découvres mes sentiments et si tu ne m'aimais pas comme je t'aimais ? Il m'arrivait d'être confus et de me renfermer seul dans ma bulle et dans ces moments-là, je me dirigeais vers la salle d'entraînement où je dansais au rythme de la musique. C'était donc par la danse que j'essayais de me libérer. Cependant, quand j'ai appris que tu avais fais un malaise et du fait que c'était la période où je commençais à m'éloigner de toi, m'a fait encore plus mal. Et un jour, pendant que j'avais les yeux fermés, j'ai senti des lèvres se poser contre les miennes tout en douceur. J'avais ouvert mes yeux lentement pour enfin, voir ton visage si près du mien. C'était assez gênant au début, je ne comprenais même pas, j'étais comme paralysé par ce geste si soudain, venant de toi. Mais très vite, j'avais compris que tu m'aimais de cette façon.
Aujourd'hui, je suis si heureux d'être avec toi, j'ai franchi le pas en t'avouant mes sentiments et je ne t'ai pas perdu comme je le craignais. Tu m'as ouvert le cœur et ne m'a apporté que du bonheur depuis. Je te remercie pour cela et d'avoir également répondu à mes sentiments.
Kyungsoo hyung, je t'aime et notre relation est loin d'être finie.
Une porte s'ouvre et une tête apparaît dans l'encadrement de la porte. C'est lui.
- JongIn, viens dîner.
Je range mon stylo et mon carnet soigneusement puis rejoins Kyungsoo hyung, le sourire aux lèvres. Avant qu'il ne descende, je l'attrape et l'entoure de mes bras légèrement musclés afin de l'embrasser.
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