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Il s'approche de moi, m'agrippe les cheveux, Nagisa tente de me retenir,mais Mr Kobayashi lui assène un coup du revers de la main. Il me plaque violemment contre le mur. Il lâche son arme, et sort de sa poche une lame. Il l'approche de mon épaule, laissant glisser ce bout de fer caresser mon t-shirt. Finalement il arrache mon haut et la lame froide court le long de ma clavicule. Même quand j'étais dans sa classe, jamais il n'a était aussi violent. Je croise le regarde de mes amis, Karma me désigne discrètement l'arme aux pieds de Kobayashi. C'est compris, je dois faire diversion, le temps que l'un de mes amis la ramasse.
Je tente de me libéré, mais il attrape mes poignets dans une de ses main et me plaque encore plus contre le mur. Finalement j'utilise la technique la moins sympa de l'univers. Je me remonte mon genoux le plus possible et assène un coup dans l'entre jambe de mon ancien professeur. Sous le coup de la douleur il relâche sa poigne,j'arrive à me libérer, je cours en direction des escaliers, comme prévenu, il me suis. Je n'ai pas le temps de monter beaucoup de marches, sa mains attrape une poignet de mes cheveux et me tire, me faisant tomber au sol.
Il me fait glisser sur le sol, mon dos rappe contre le parquet, puis me jette violemment le dos contre le mur quitté un peu plus tôt. Je remarque que l'arme a disparu, un de mes camarades, la ramassé. Nagisa se redresse et fait face à mon professeur qui fait facilement deux têtes de plus que lui. Ils se menacent mutuellement de leur couteau. Nagisa s'avance doucement , avec un sourire sur le visage,vers Kobayashi. Je ne comprends pas, pourquoi c'est Nagisa qui prend la tête de cette mission de sauvetage.
Il continue son avancé, il n'est plus qu'à quelques centimètres de la lame. Durant dix secondes, il ne bouge pas, se contentant de fixer,avec un sourire aux lèvres, le visage aigri face à lui. Quand il bouge enfin, il donne un coup de couteau vers Kobayashi, qui perturbé par cette approche, perd l'équilibre, son centre de gravité bouge brutalement, Nagisa en profite, il jette son couteau. C'est un leurre, c'est le couteau anti Koro qui nous a été fourni. Il saisit un objet coincé dans sa ceinture, il se glisse derrière le professeur, ils tombent tous les deux au sol. Le canon de l'arme se trouve contre la tempe du mon ancien professeur.
« Atsuko,aide moi ! Me supplie mon professeur
-vous pensez que je vais l'arrêter ? »
Je saisis le pistolet et tends la lame à mon ami, inversant les armes entre moi et Nagisa.
« Merci Atsuko tu es vraiment la meilleure de mes élèves.
-je me remercier pas trop vite monsieur
-Quoi ?!Tu étais ma meilleure élève, si j'ai fais tout ça c'est pour te rendre plus forte
-vous avez raison, je suis devenue plus forte. Et on peut dire que l'élève a dépassé le maître »
La crosse de l'arme rencontre avec force son crâne, ses yeux se ferment, il perd connaissance. Nagisa se dégage du corps et s'approche de moi, il me prend dans ses bras. La porte d'entrée se fait défoncer par deux homme habillés d'un uniforme, la seule chose que je peux dire c'est que ce sont des hommes représentant la lois.
L'un deux saisit les poignets du corps endormi au sol de Monsieur, et les enfilent dans une paire de menottes métallique. Il est porté tant bien que mal en dehors de chez moi, une femme d'une quarantaines d'années entre chez moi et nous examine Nagisa et moi, pendant ce temps les officiers questionnent mes camarades de classe.
Nagisa se retrouve avec une compresse sur la joue, quand à moi quelques compresses sur les coupures que la lame a laissée lors de son passage sur ma clavicule, me sentant encore tremblante, Nagisa saisit ma main, la chaleur de celle-ci me détend légèrement.
« Vous allez tous retourner chez vous maintenant
-mais et notre soirée....
-Vous pouvais venir chez moi, lance Karma
-Vous ne serez pas seul cette fois ? Demande l'officier
-non, j'ai des domestiques et un très bon matériel de surveillance. Répond le rouge fièrement
-bien si c'est ainsi... Mais appelez nous au moindre problème.
-quand est-ce-que je pourrais rentrer chez moi ? demandais-je
-dans le meilleur des cas, demain dans la journée »
Les officiers sortent devant la porte, ils attendent que nous partions pour mettre la fameuse bande jaune et tenter de fermer la porte qu'ils ont explosé auparavant. Je monte rapidement dans ma chambre pour changer à nouveau de t-shirt, avant d'entrer dans ma chambre,je sens enlacer ses doigts avec les miens. Avec la précipitation, je n'ai pas fais attention que je l'avais entraîné avec moi.
Il m'explique qu'il m'attend devant la porte, je prends rapidement un t-shirt blanc, et enfourne les vêtements dont j'aurais besoin pour la nuit et demain. Quand je ressors le visage souriant de Nagisa, me rappelle que j'ai des amis qui m'attendent.
Nous sommes tous arrivé chez Karma, dans le plus grand des style. Vous ne comprenez pas de quoi je parle ? Imaginer une classe de vingts élèves, se baladant en pyjama.
Karma nous a directement guider dans une grande salle, avec une énorme télévision. Vu leur tardive, il n'est pas question de remettre un film ou même de discuter, de toute façon personne n'en a la force.En moins de quinze minutes, tous les sac de couchage et autres matelas sont gonflés et mis au sol. Rapidement je me rends compte que je suis parti de chez moi avec seulement une couverture. Alors que tout le monde ce met au lit, je ne sais pas quoi faire. Quelqu'un tapote mon épaule.
« Atsuko tu as un problème ? Me demande Maehara
-et bien, je n'ai pas pensé à prendre de quoi dormir....
-Si tu veux...
-Atsuko, viens dormir avec moi » dit Nagisa.
Même si j'aurais refuser la demande du jeune garçon, je lui lance un sourire désolé, et me faufile jusqu'à Nagisa.
« Nagisa, c'est un matelas une place, non ? »
Il ne répond pas, il se contente de rougir et de soulever la couverture, m'invitant à le rejoindre. Il glisse son bras sous mon cou, me collant encore plus à lui.
« Ce n'est pas si mal un matelas une personne » chuchotais-je.
Je dépose un baiser rapide sur ses lèvres avant de fermer les yeux, ma main posée sur le torse du bleu ressent tous les battements de son cœur, c'est agréable, de le sentir si proche de moi.
Ce moment de tendresse est coupé par des bruits de baisers et autres ventouses.
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