La traversée était calme, Eve se trouva au poste de pilotage et moi j'étais assis sur le bastingage à regarder la mer, le ciel était ensoleillé et les mouettes faisaient  entendre leur cri. On n'aurait dit que la guerre n'existait pas.

Au bout d'une heure, à contempler ce désert bleu je me décidais à parler à Eve. J'avais énormément de questions à lui poser.

Moi: Alors...Qui êtes-vous au juste ?

Eve: Une assassine

Moi: Une assassine ? Vous allez me tuer ?

Eve: Ah ah ah que vous êtes chou...Je ne suis pas ce genre d'assassin, non au contraire

Moi: Alors si vous ne tuez pas, que faites vous ?

Eve: Je protège la liberté des hommes contre les templiers

Moi: Les templiers ? Qui est-ce ?

Eve: Nos pires ennemis....ils ont pour objectif de contrôler les hommes et d'instaurer une hiérarchie mondial, qui serait dirigé par une élite supérieur aux présidents et même au pape

Moi: Ils n'y arriveront jamais

Eve: Détrompe toi Arnaud ils peuvent y arriver, s'ils trouvent les fragments d'Eden

Moi: Les fragments de quoi ?

Eve: Les fragments d'Eden...il s'agit d'armes très puissantes dotées de grands pouvoirs, créé par une civilisation antérieur à la notre.

Moi: Quel genre de pouvoir au juste ?

Eve:Tout dépend des fragments

Moi:Tout ça est insensé, on dirait un compte de fée pour enfant

Eve: Et pourtant c'est aussi réelle que cette guerre

Moi: * reste silencieux* Et qu'allons nous faire une fois à Londres ?

Eve: Je te présenterais à notre mentor

Moi: Votre mentor ?

Eve: Le grand maitre des assassins, si tu préfère

Moi: ah...et quel genre d'homme est-ce ?

Eve: Strict mais quand on le connait il est pas si méchant que ça *sourit*

Moi: Rassurant...Et comment s'appelle cet homme charmant ?

Eve: Il se nomme: Elrick Frye descendant d'une grande lignée d'assassins

Moi: oh intéressant...parle moi plus de lui s'il te plait

Eve: On verra plus tard, regarde les cotes Anglaises sont en vue

En me retournant, je vis effectivement les cotes  Anglaises, la discution avec Eve avait fait passer  le temps à une vitesse folle. D'ailleurs, à chaque fois que je le regardais, une sensation étrange me traversais.

Je ne savais pas ce que cela pouvait être, ou j'en avais une idée, mais refuser de l'admettre. De toute façon, cela aller devoir attendre.

Je m'apprêtais à rencontrer mon destin.