18
Après mon saut de la foie, je regagnis le rivage à la nage et je rejoignis Eve ainsi que Markos et les prisonniers libérer.
-Ah le voila, tu es encore vivant mon ami ! Dit Markos le visage enjoué et les bras levé au ciel
-J'ai bien cru que j'allais y passer à vrai dire mon ami, les pouvoirs de cette lance est incroyable ! Dis je
Puis je me retourna vers la base et vis la fumée s'élever
-Eh bah c'était un sacré feu d'artifice n'est ce pas ?
-Tu l'as dit Arnaud, les prisonniers ont réussit à trouver des explosifs et ils ont saboté les générateurs de la base ce qui a provoqué une réaction en chaîne ! Me dit Eve en posant sa main sur mon épaule.
Elle marqua une courte pause avant de reprendre .
-Qu'est il advenu de Leonhardt ? Est il Mort ? Je vois que tu as réussis a récupérer la lance.
Je ne savais pas quoi répondre à cette question et à vrai dire j'avais même peur de la réaction d'Eve
-Eh bien...non, il est toujours en vie je ne l'ai pas tué !
-QUOI ? EH POURQUOI TU NE L'AS PAS TUÉ ? TU EN AVAIS L'OCCASSION, J'ESPÈRE QUE TU AS UNE BONNE EXPLICATION DUBOIS ? Dit elle rouge de colère, puis elle pris une grande inspiration pour ce calmer avant de poursuivre.
Le mentor ne vas pas apprécier Arnaud...tu viens de mettre notre confrérie en danger
-Mais Eve, il ne peut rien faire sans la lance, il...il est trop faible
-Comment ça faible ? Un templier est dangereux peut importe son état
-Quand je lui est enlever la lance des mains, les pouvoirs de l'artefact se sont dissiper et il ne restait du docteur plus qu'un homme frêle et sans défense, a peine capable de tenir debout
Eve m'écouta mais n'avais pas l'air convaincue par mes propos
-Tu aurais quand même du le tué Arnaud
Puis elle partit, je la suivais ainsi que Markos et les prisonniers et nous regagnimes le repaires des rebelles, afin de leur annoncer la bonne nouvelle: leur île été libéré de la tyrannie Nazi et de ce fait du joug Templiers.
Aspasie envoya un messager dans chaque villeq, villages et îles de Grèce pour faire transmettre la nouvelle et redonner espoir a son peuple.
-Mes amis, mes frères, ceci est un grands jour pour la Grèce, grâce à nos amis Anglais nous avons libéré notre de l'envahisseur.
C'est un message d'espoirs pour le peuple grec, et pour ça nous allons faire une grande fête à cette occasion.
Son discours était court mais il avait redonner espoirs à ses hommes. La nuit était tombé et la fête battais son plein, moi je ne suis pas restée longtemps, je m'éclipser et regagnis mes appartements afin de préparer mes affaires pour le retour.
Une fois fait je m'assis sur mon lit de fortune et regarda la lance, je décidé de la prendre dans mes mains afin de l'analyser plus en détail.
-Qu'as tu à nous apprendrent encore ?dis je en la faisant tourner sur elle même.
Soudain quelqu'un vient frappé à ma porte.
-Oui ? Qui est la ?
-C'est moi Eve, puis je entrée ?
-Oui rentre
Je posa la lance la ou je l'avais prise et me rassit sur le lit, essayant d'enlever ma chemise afin de soigner d'éventuelles blessure. Je me dirigeais donc vers mon lavabo et regarda dans le miroir.
Je vis Eve rentre et faire quelque pas dans la chambre les mains jointes et la tête baissée.
-Arnaud je voulais te dire que.... Dit elle avant que je l'interrompe
-C'est moi qui suis désolé Eve, tu avais raison j'aurais dû tué le docteur quand j'en n'avais l'occassion...mais tu n'as pas vue dans quel état il était, jamais je n'aurais pu me pardonner le fait d'avoir tué un homme sans défense.
Je repris ma toilette examinant les hématomes présent sur mon corps
Eve me rejoignis sans dire un mot, puis elle se colla contre moi et me serra dans ses bras. Avant de parler.
-Tu as agis selon ton coeur Arnaud et cela est très important, c'est vrai que t'as réponse ma mise en colère, mais que veux tu, j'ai juste peur qu'ont subissent des représailles.
Elle me sera plus fort ce qui me fit mal sur le coup, mais je tacher de ne pas le montrer.
Puis elle murmura quelque chose dans l'oreille
-Je suis heureuse que tu sois encore en vie.
Je me retourna vers elle, et nous nous regardons, pendant un long moment ces yeux dans les miens. Puis j'ajouter.
-Eve...je
Mais elle m'interrompie en posant son doigt sur mes lèvres
-Chuut
Puis nous nous embrassâmes, de plus en plus passionnément, Eve me tira jusqu'au lit où elle s'allongea et me fit monter sur elle, la nos embrassade repris de plus belle, je me mis a enlever le chemisier de Eve, que je fis glisser le long de son corps soyeux, puis je lui détacha les cheveux. Elle avait de magnifique cheveux noir, puis nous reprimes nos intenses baisser.
La nuit était passer, et le jour venait prendre sa place, je me réveilla, Eve allonger sur mon torse, son visage magnifique comme celui d'un ange. À ce moment je me disais que c'était impossible qu'elle fasse parti de la confrérie.
Quand à moi ma nuit fut plus agité, des souvenirs me hantant du jour où j'ai vue mes amies et ma famille mourir dans les bombardements de Calais refaissaient surface, puis des voix que je ne connaissais pas, me parlaient de chose que je ne comprenais pas.
Tout ceci me réveilla et je décida donc de me lever, je fis en sorte qu'Eve ne sente rien, j'enfilais ma chemise mais je la laisser ouverte et remis mon pantalon, puis je sortis dehors, et je mis a regarder le lever de soleil sur la mer.
Espérant qu'un jour toute cette violence finirais par s'arrêter.
Nous somme en Octobre 1939
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