LE LAC

Il songea une nouvelle fois,
Le regard plongeant dans labysse,
Quelques espoirs qu'il fu abandonné,
Que les maigres rayons du soleil si désolé,
De ne pas pouvoir cicatrisé ses peines,
C'est dans le reflet du lac,
Que son propre miroir se révèle,
Le regard attiré dans les profondeurs
Il délaissa ses incertitudes,
Pour laisser ses voix si attirant,
Contrôler ses peurs,
Et arrachés toutes ses douleurs

La surface est si lointaine,
Maintenant que tout est noyé
Asphyxié
Tout son hêtre attiré dans les tréfonds,
Le silence profond,
Les portes de la noirceur t'accompagne.

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