Épilogue
La glace qui recouvre le cœur brisé, insensible de ses diamants
Les sentiments abattant de ses flèches sur l'empire sa malédiction
La renaissance lors de l'ère des héros, goutant à l'appel du sang
Les tragédies des familles étaient nées des battements d'ailes du papillon
Les légendes dans la poussière impitoyable de temps à jamais se perdaient
S'effaçant dans les cendres des incendies dévastateurs sous les pleurs
La condamnation de la déesse sauvage sans l'once humaine de pitié, damnait
Venus des ténèbres de la nuit, les monstres répondirent à son appel de douleur
Les chants contèrent les exploits des héros de leur ère et non plus les légendes d'antan
Les amants maudits de leur temps, confrontés aux choix du destin
Leur âme avait été un souffle de paix dans la tempête de leur vie
Avant que leur dessein ne s'abatte sur leur sinueux chemin
Ils n'auraient pas dû se terrer dans la noirceur des bois, car sous le gui
Les promesses et baisers échangés s'envolaient sous la puissance des ouragans
Aux fins des terres de glace, lieu que nul ne trouve sans la mort de s'y perdre
Le loup Fenrir à la sombre prophétie fut enfermé sous les liens d'argents
Condamné à être enchaîné sous sa forme animale, il était dans une cage de cèdre
Pour une faute qui n'était pas sienne, la malédiction de son cœur épargnant
La déesse Artemis, la reine brisée, cessa de combattre, embrassant les ténèbres
La couleur qui émanait de son tranchant regard n'était autre que le noir
Dans ses prunelles hazels pouvaient être aperçues des lueurs funèbres
Le reflet de son âme pleurant de ses larmes de sang le chant du désespoir
Elle tenta de combattre, se noyant dans le poison, s'accrochant à l'humaine
Noyée dans la peine, la souffrance des êtres déchirés par leur destinée
Il lui fut impossible d'ignorer ses pulsions meurtrières issues de sa haine
Nous devenons ce que le monde a décidé de faire de nous, âmes suffoquées
De son cœur meurtri, elle céda à la bête en elle, répondant à la promesse du sang
Les yeux brillants d'argent sous ses crocs et griffes ensanglantés, tout homme la craignait
Ses pas sauvages et meurtriers, ravageant sous les flammes suivaient le sens contraire du vent
Celle qu'elle avait été n'était plus, offrant le joug de son esprit aux instincts qui étreignaient
Ses bains relaxants qui caressaient son épiderme lacéré de ses blessures étaient rougis
Par la vie, semant à ses pas la mort qui ôtait la vie du survivant à jamais détruit
S'attaquant à tout être qui avait eu l'audace de défier ses flèches d'obsidienne dorée
Les souffles s'échappaient sous les assauts de son arc ravageur sous les éclats arborés
La nuit qui s'abat sur les espoirs endormis enflammés de son tranchant croissant argenté
Ne pourra plus éclairer. Les nuages noircis de la tempête s'imposent à la voûte éclairée
Comme dans toute ère la guerre et l'amour vont enlacés au clair de lune
La rêvante mythologie de l'Histoire et l'obscure tragédie des mots ne font qu'une
FIN
Voilà, c'était l'épilogue!
Pour la petite anecdote, il y a 9 paragraphes pour cet épilogue, comme les 9 muses!
J'ai n'ai pas fait en sorte que chacun se rapporte à une, j'ai laissé mon instinct.
Si vous voyez des choses et tout sachez que ce n'est pas fait exprès, je n'ai pas réfléchi chaque mot, chaque phrase. L'instinct parlait donc si vous avez l'impression d'analyser des choses qui ressortent et en avancer d'autres, vous êtes aptes à être prof de français
Comprendra qui pourra
RDV sur le prochain segment !
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