7.

Chapitre 7

—      WOAAAAAAAH J ARRIVE PAS A CROIRE TOUT CE QUE JE VOIS DEVANT MOI.

Les yeux d’Arya brillaient de milles feux avec beaucoup de cœur, des arc en ciels et une licorne en bonus XD

—      Arrêtes de crier et dépêches toi de choisir parmi ces robes, tu es sensé être une femme riche et noble je te rappelles, dit Issem un peu amusé.

—      Dis moi…

Elle s’approcha d’Issem à une vitesse que celui-ci n’a pas calculé.

—      EST-CE QUE JE POURRAIS TOUTES LES GARDER ?

Ses yeux sont littéralement devenu des cœurs avec de multiples cœurs à l’interieur qui brillent avec diamant et paillette (c’est possible ça ?**)

Issem a une espèce de trèfle mal fait sur la tête qui montre son exaspèrance, il pose sa paume de main sur son front et des lignes bleus vient s’ajouter à son expression (franchement les mangas nous font vraiment voir et dire n’importe quoi).

—      Est-ce que tu te rends compte des ennuies que tu es sur le point de nous attirer ? tu n’étais pas sensé te trouver là et moi, pas senser mentir.

—      Et alors si tu ment ? si on t’attrape, tu ordonnes ce que tu veux, tu es le prince non ?

Issem ouvre gros les yeux avant de les baisser avec un veine de trempe sur la…tempe.

—      Ça ne se passe pas comme ça, Arya. Quand on est prince il y a un conseil qui nous tombe sur le dos dès qu’on fait une erreur et des gens qui aiment profiter de l’occasion pour…

Arya l’a déjà oublié. Elle soulève les robes les unes après les autres avec les yeux brillants d’admirations.

Une goutte d’eau manga pour le prince, une.

—      Bon, dit il, je vois que ce n’est pas la peine de t’expliquer tout ça maintenant. Et si tu les essayais enfin afin que…

—      C EST D ACCORD.

Arya s’est empressé de se cacher derrière une sorte de cabine d’essayage. Tout en enfilant, sa robe préférée, parmi toutes ces autres préférées, il lui venait à l’idée qu’un château était vraiment impressionnant. Comment alors qu’il n’y avait guerre de princesse, pouvait on trouver autant de robe de qualité ?

—      Tu as fini ?

—      C EST BON J ARRIVE.

Si Arya avait l’air admirative devant toutes ses robes, ce n’en fut pas le cas devant le mirroir.

Première robe :

—      Trop grosse

Deuxième robe

—      Trop décolletée.

Troisième robe

—      Trop rouge.

Quatrième robe, cinquième robe, sixième robes.

Le prince soupire. Il n’était pas prêt de sortir de là. Une servante frappe à la porte. Il lui ouvre, échange quelques mots et revient.

—      Arya, peu importe la robe que tu as sur le corp, ça doit être celle là car nous n’avons plus le temps. Dayon nous attends pour le dejeuner.

—      QUOI ? mais attends on ne peut pas partir tout de suite, j’ai encore plein d’autre à essayer, dit Arya en sortant de la cabine.

—      Arya, les personnes nobles ne sont jamais en ret…

Il perdit les mots en voyant Arya dans sa nouvelle robe. Les autres aussi étaient magnifiques mais pour celle là elle avait pris soin de se redresser les cheveux en chignon, et…de retrousser les manches, choses jamais vu chez aucune princesse.

—      Je trouve que celle-ci est plutôt serré à l’interieur, dit elle avec une apparence de gacha curieuse. Je dois en mettre une autre.

—      Je..euh…non, je dois appeler une servante pour arranger tous les détails, les méches rebelles, le parfum etc…tous doit etre parfait.

Les yeux d’Arya s’enflamme :

—      Comment ça PARFUM,, ? insinues que je dégage une odeur quelconque HEIN ??

Deux gouttes d’eau manga pour le prince, deux.

—      Mais voyons c’est connu que le parfum fait partie des habitudes des nobles, cela ne veux pas dire que….rho et puis, écoutes, j’appelle une servante, ou deux je ne sais pas, elles vont se charger de tous, laisses les faire et ne leur pose aucune question, c’est d’accord ?

—      Mais pourquoi je devrais faire ce que tu me dis ?

—      Tu préfères peut être expliquer ce que tu faisais réellement dans ce château ?

—      …

—      Bien. Restes là, je n’en ai pas pour longtemps.

Les servantes arrivèrent et s’occupèrent comme il faut d’Arya. Celle-ci avait respecter les dires du prince, mais celui-ci aurait peut être mieux fait de lui donner plus d’instruction car, au déjeuner :

—      OH LA LA C EST LE MEILLEUR DEJEUNER QUE J AI PRIS DE TOUTE MA VIE.

Issem, Dayon et elle s’était assis autour d’une table d’entre 10 mètres de long remplies de divers mets juteux. Ils sont assez nombreux pour que toutes personnes y trouvent son paradis mais avec Arya, il n’était pas question de choix.

A peine assis, elle avait déjà dévaster les 3mètres 50 de la table. Elle était obligé de changer de geste à une de ses vitesses. Quel bonne nourriture il ne faut surtout pas la gaspiller.  Dayon et Issem la regarde avec des pupilles très élargies d’étonnement. Notre demoiselle n’a pas vraiment de complexe et ceci l’empeche de remarquer leur grand étonnement à leur égard.

—      Quel est le nom de son père « noble » déjà ? chuchota Dayon.

Issem ravala sa salive et…

—      Votre majesté, il est l’heure de votre cour d’économie, il sera suivi de votre séance d’entrainement au combat.

Tout le monde se tourna vers la  personne qui parlait. C’était un homme chargé de l’éducation de son altesse, peu souriant, et assez agée.

—      Je…dit Issem en regardant Arya avec inquiètude, puis l’homme. J’ai une invité, puis je remettre mes deux séances du jour à plus tard ?

—      Majesté votre humour est certe exemplaire mais il serait plus judicieux de l’améliorer.

—      Je ne plaisantais pas Osvald.

—      Vouliez vous réellement perdre des heures d’initiation nécessaire pour diriger le peuple pour cette modeste demoiselle qui ne sait manger correctement ?

La jolie rousse se sentit vexé. Sa tête le montre. Le prince lui jeta un regard puis dit avec un ton sévère :

—      Je ne vous le permet pas Osvald.

—      Je suis navré je me dois en effet de respecter vos invités. Pardonnez moi Mademoiselle si je vous ai offensé.

Arya ne réponds pas.

—      Osvald, je ne peux vraiment pas la délaisser, dit Issem inquièt.

Que ferais Arya en son absence ? Une seule erreur lui suffierait pour se faire démasquer.

—      Ne t’en fais pas, dit Dayon, je me chargerais de l’accompagner et de lui faire visiter le palais. La prochaine fois soit plus attentive à ton emploie du temps pour ton organisation.

—      Quel dommage que ce ne soit pas vous le prince, jeune Dayon, vous seriez sans doute plus adapté.

Issem allait protester pour rester avec Arya mais avant que cela ne devienne plus suspect cette dernière  prit la parole :

—      Ce n’est rien, vous pouvez disposer.. tout va bien allé.

Son sourire se voulait rassurant alors qu’au fond elle tremble de tout son être.

N’ayant pas le choix, le prince choisit d’accompagner son professeur.

ET MAINTENANT QU’EST-CE JE FAIS ? crie Arya interieurement.

—      Eh bien, dit Dayon.

Arya se tourne vers lui, le cœur battant la chamade. Celui-ci a ses yeux habituelles, assez impressionnant :

—      On dirait qu’il ne reste plus que vous et moi…

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J'espère n'avoir oublié aucun dessin. Ils sont tous de Myukima (trop mignon cha pdp😍💖) à part celui à la robe rouge qu'elle a commencé et que j'ai continué ×)

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