Michael : Mais il n'y a personne.

C.C. : S- Si ils sont là !

Michael : Tes cauchemars n'existent pas, C.C...

C.C. : Si- Si tu le dis...

Michael : Et donc, ces ailes ?

Le petit garçon fit sortir ses ailes qui, sans grande surprise pour Michael, étaient en aussi mauvais état que tout le reste.

Michael : Je m'en doutait...

C.C. : P- Pourquoi mes ailes...?

Michael : Tu veux que j'en sache quoi ? C'est toi qui a merdé avec ton "amie" !

C.C. : Je ne la considère plus comme une amie dorénavant.. Comme je ne te considère plus comme mon frère !

Michael : Je sais qu'au fond, tu m'aime encore.

C.C. : Toutes traces d'amour en moi a disparu.. Rien que sa notion me dégoûte.

Michael : Ahahah ! Très drôle ! Et ce que tu éprouves pour Elizabeth, c'est quoi ?

C.C. : J- Je l'ignore.. Enfin non. Ça ne sert à rien que je mente, là. Et bien.. Je pense que Lizzy est la seule personne en qui je peux éprouver de l'affection..

Michael : Bon ! Je vais chercher Papa. Il pourra très certainement mieux soigner ces vilaines blessures que moi.

C.C. : Bonne idée. Comme ça, je devrais pas supporter une seconde de plus ta présence dans cette pièce.

Michael sorti de la pièce laissant C.C. seul. Le garçon rentra ses ailes car, il avait fait comme si de rien n'était mais il voyait toujours ses cauchemars.

C.C. : Partez ! J'en peux plus ! Pou- Pourquoi vous êtes ici ?

Pas une seule réponse..

C.C. : Je deviens fou ? C'est ça ?

La lumière s'éteignit d'un coup laissant C.C. dans le noir.

C.C. : P- Pas ça..!

Le garçon était en train de paniquer : il avait une peur bleue de l'obscurité. Il sortit ses ailes toute abîmées et se mit à se balancer sur son lit, signe qu'il commençait une de ses crises de panique.

Il commença à pleurer et rigoler follement quand son père entra et ralluma la lumière.

William : C.C. !?

C.C. : Papa..?

William : Qui est la personne qui a éteint la lumière ?

C.C. savait que son père ne le croirait pas si il disait que c'était ses cauchemars. Il décida donc de lui mentir.

C.C. : C'est Michael qui l'a éteinte en sortant..

William : Il m'a expliqué comment tu avais eux tes blessures mais il doit savoir que... ça risque d'être encore pire si tu restes dans le noir..

Car, en effet, il s'était déjà retrouvé dans le noir pendant les deux dernières semaines et ça avait été... catastrophique, surtout l'état de son visage (qui était déjà recouvert de sang séché à la base).

William : Mais bon.. Changeons de sujet. Essaie de marcher, pour voir si tu en es encore capable.

C.C. essaya de se lever mais la douleur était tellement forte qu'il retomba aussitôt sur le lit.

C.C. : Je pense pas en être capable. Et comme mes ailes sont détruite, je ne peux vraiment pas me déplacer..

William : C'est vrai. Mais je pense que tu pourras remarcher d'ici deux trois jours. Ça ne m'a vraiment pas l'air d'être cassé ou encore qu'il y ait une entorse.

C.C. : QUOI ?! Ça veut dire que je vais devoir rester ici, dans cette maison, pendant trois jours ?!

William : Estime-toi heureux, tu resteras dans la chambre de Liz.

C.C. : Ok.. En parlant d'elle, je pourrais la voir ?

William : Je vais la chercher.

William sortie de la chambre pour chercher sa fille.

C.C. : Même ici je mens.. Je me montre amicale, enfin j'essaie, alors que je n'hésiterais pas à tuer la personne devant moi sans aucun regret..

N. Fredbear : Tu dis que tu risque d'être comme ton père mais tu es déjà pire que lui..

C.C. : C'est vrai.. Je l'assume. Et vous vous mettez enfin à parler ?

Le cauchemar disparu dès qu'une petite fille rousse entra dans la pièce.

Elizabeth : Grand frère !

Elle couru dans les bras de C.C..

C.C. : Ça va Liz ?

Elizabeth : Oui ça va ! Et je suppose que ça va pas trop pour toi..

C.C : Ne t'inquiètes pas, Liz. Ça va s'arranger..

Elizabeth : Mais comment as-tu eux ça ?

C.C. : Hum... C'est une ancienne amie qui m'a fait ça.

Elizabeth : Et c'est quoi son nom ?

C.C. : Hum.. Cassidy...

À suivre :')