« Je peux t'aider? »

Je suis au Blue And Gold, je suis seule là-bas, parce que Cheryl veut que je la retrouve ici, j'ai évidemment accepter et du coup, je me fais chier, je vais sur Instagram, et je fais ce que tous le fait quand il se fait chier.

Mais c'est comme même hyper bizarre qu'elle me donne une heure précise à laquelle venir, pour au final qu'elle soit en retard.

J- Je peux t'aider?

Je lève les yeux et je vois Jughead. Qu'est-ce qu'il fait la? Je croyais que je le soûlais trop. Cheryl! Elle fait vraiment trop chier.

J&B- Cheryl...

Génial! Je voulais le reconquérir à en essayant de le draguer, mais à partir du moment où il a embrasser Veronica, il m'a immédiatement refroidi.

B- Tu peux aller retrouver ta Veronica, moi je vais...je vais boire .

Une fois au niveau de mon bureau, je prends une bouteille de téquilla qui était dans le tiroir et je bois une gorgée, je prends une deuxième, puis trois, quand soudain, Jughead me prend la bouteille des mains.

Si je bois, c'est à cause de lui, il a embrasser ma pire ennemie, alors que j'allais ravaler ma fierté et venir m'excuser. Quand il me prends la bouteille de mains je lui dis:

B- Jughead?

J- Oui...

Je le regarde, lui prends la bouteille des mains, et en prends encore une gorgée.

B- Je te déteste...

Je le regarde intensément, il fixe ses lèvres puis je fixe les siennes, et on finit par s'embrasser, notre baiser devient de plus en plus intense. Il empoigne ma cuisse et me soulève, toujours en m'embrassant. Je croise mes jambes au niveau de sa taille.

Il me mène jusqu'à mon bureau, où il m'installe. Je retire son t-shirt, il retire le mien, il m'embrasse, sur la bouche. Il couvre ensuite la totalité de mon cou en y laissant des marque d'amour en aspirant la peau de mon cou.

Il vient ensuite embrasser mes seins après avoir retirer mon soutien-gorge, il prend un de mes  seins, et le malaxe, tandis qu'il embrasse l'autre. Il descend ensuite au niveau de mon ventre puis de plus en plus bas. Il arrive ensuite au niveau de ma culotte qu'il baisse doucement en effleurant le long de mes jambes.

J- Écarte les jambes!

Je fais ce qu'il me dit, tandis que sa langue passe sur le long de ma jambe, puis à l'intérieur de ma cuisse, pour ensuite la pressé au niveau du point le plus intime de mon corps. Il commence à tourner sa langue autour de mon clitoris.

B- Oh mon dieu! C'est...c'est tellement...bon.

Je sens que l'orgasme arrive, puis quelques secondes plus tard, mon plaisir explose et j'ai l'impression qu'une centaine d'orgasmes arrivent en même temps, il est tellement doué.

Il se lève pour ensuite m'embrasser, je croise mes jambes autour lui, ce qui presser dans éjection contre le point le plus intime de mon corps.

J- Tu le veux vraiment?

B- Oui...

Il embrasse mes seins, ça me fait tellement de bien, il me fait tellement de bien, il est si doué à ce jeu. Après il entre en moi, par rapport aux premières fois, la douleur n'est pas présente et le plaisir l'est deux fois plus.

Il y va doucement, sûrement par peur de me faire du mal, mais moi, je veux qu'il aille plus vite, c'est une torture.

B- Putain, Jughead! Va plus vite!

Il commence à faire des coups de reins, de plus en plus violent, je sens le plaisir qui monte, après quelques minutes, nous atteignons tous les deux notre limite et nous jouissons en parfaite synchronisation.

B- Waouh!

Jughead m'embrasse et remet son boxer et moi je remets aussi mes sous-vêtements. Il commence à m'embrasser dans le cou, quand soudain on entend la porte du Speak Easy qui s'ouvre, ça doit être Cheryl, dans le mille c'est elle.

Elle nous regarde, choquer. Je me doute qu'elle ne s'attendait pas à ce qu'on couche ensemble, elle pensait limite qu'on allait s'entretuer, c'est ce que je pensais aussi.

C- Waouh...Wouah...je vais...je vais vous laisser...

Elle finit par partir après nous avoir regardé fixement pendant une minute. Je ne sais pas quoi dire ou quoi faire alors je reste dans les bras des Jughead dans le silence totale.

J- Betty, c'était une erreur...

B- Espèce de connard! Tu dis me ça après m'avoir baiser, tu es qu'un...un connard.

Je me dégage de son étreinte et commence à me rhabiller mais il saisit mon poignet et me force à lui faire face.

J- Je reformule, c'était une erreur d'embrasser Veronica, c'est toi que j'aime, Betty Cooper.

Je sais que c'est sûrement une grande erreur, parce que si il la fait une fois, il pourrait le refaire mais je décide de le pardonner.

B- Je t'aime aussi, Jughead Jones!