chapitre : 9 du fer
Je me réveilla, je manga de la viande, ne me dite pas pourquoi car j'en et aucune idée. Je pris Bella et me dirigea ver la grotte que j'avais découvert hier, je pense que c'était de de la pur flemme mais je voulais pas vous montré que je je me tourner les pouce toute la journée. Au contraire plus d'amis et synonyme aussi de plus de travail. Je me suis fabriqué des torches pour y voir plus claire, je peut vous dire mon secret j'ai peur des chauve-souris, je n'aime pas leur tête Beurk ! Je pris tous mon courage et entra dans la sombre grotte qui me donner la chair de poulet ou plutôt de la chair Dodo. Je ne tarda pas à prendre ma torches dans les main, car je ne voyais déjà plus rien. Je fis quelques par dans la grotte, pour l'instant pas de chauve-souris en vue. Je n'approcha d'une pierre au reflet grisâtre, je reconnus ce que c'était du FER ! Je commença à miner tranquillement, mais je veillé à ne pas rencontré une chauve-souris. Je progresser lentement mais sûrement dans la grotte regardant toujours si il y a des chauve-souris à l'horizon, mais je suis contente de ne pas les trouver. je ramassa une bonne dizaine de minéraux. Je remonta à la surface. Je me décida de me laver puis je me fis fondre le fer et je me fis une armure, jambière...etc. Mon père descendais d'une lignée de forgeron mais il n'a jamais pris l'entreprise familiale. Je ne débrouille pas trop mal, je ne prend la grosse tête c'est juste que j'ai un pouvoir exceptionnelle celle de la pensée positive. Chouette pouvoir vous trouverez pas ! Bon je me suis assez attarder car je découvris que mes enclos était rempli d'excréments, vous n'avez qu'à me souhaiter bonne chance. Après cette corvée dégoûtante je retourna me prendre un bain, si j'avais su je l' orais plus tard. Je fis un petit ménage, et pêcha un peu puis j'avais envie de baie du coup je pris une poignée de baie je m'installe sûr une chaise et je manga, plus tard dans la soirée, je sortis et Je vis une pluie d'étoiles filantes, ce moment était magique impossible d'écrire ce que je ressent, mais vous devez comprendre que c'était splendide le me serait voulu si je l'avais raté. Puis je décida d'aller me coucher. Je monta à l'étage et je me rua sur mon lit.
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