Je me réveilla j'avais mal dormis, je pensais que de M. Cuisse de poulet. Il est mon ami, il ma sauver la vie hier, c'est le moins que je puisse faire pour lui. Je le vis il bougeait la patte en dormant il devait rêver, je lui fis un bisous sur la tête et il se calma aussitôt. Je sorti de ma maison, pris due bois,des fibre et des branchages et je me fabriqua une hache. Je tapa avec ma hache je pris des pierre et des silex et du bois et je me fabriqua une pioche. Je découvris pas loin de ma cabane, l'eau était fraîche. Je me lava et pris les nouvelles affaires j'aiter super belle. Je suis retourné à la cabane, M. Cuisse de poulet se leva d'un coup est se précipita sur moi, je lui fis un long câlin, ne me fait plus jamais M. Cuisse de poulet. Le Dodo aquiessa avec un mouvement de tête.
L'explora les plaine verte une valait bordait de l'on arbre on feuilles moitié jauni.  il y avait des coline, mais deux corne apparu c'était un TRICÉRATOPS, je le caressa son museau il reprenait  son chemin je vis un dimorfodon qu'il voler autour de moi, alor les DINOSAURES ON SURVÉCUE ! De mes propres yeux je voyais des dinosaures qui ont disparu depuis des centaine d'années, c'est surnaturel trop beau pour être vrai mais pourtant ils était la près de moi.  Ce monde pourtant calme caché s'est sombre dangerosité et j'en avait la désagréable fait expérience. Pourtant se calme me fis oublier toute les peine et inquiétude j'ouvris les bras et profita de la brise rafréchissante.  Je rentra dans la cabane car j'avais faim. Après avoir mangé et donner à M. Cuisse de poulet et je ramassa quelques baie, et je fis un enclos pour passer du temps je mis une mengoir  remplie de baie et une remplis d' eau, je planta de petite fougère et je fis une sorte de plafond pour protégé le dinosaure de la pluie. Après je me fabriqua un lit doux est confortable et un panier pour M. Cuisse de poulet. Je me dirigea ver la rivière pour boire un parasaur buvait aussi je buva à côté de lui, mon coeur se mis à battre très fort. Je le donna une baie qui était dans ma poche et le caressa son museau il repris son chemin, moi je ramassa le plus de baie possible pour ne pas en ramassé demain. Le soleil se mis à décliner, épuisé je me laissa tomber sur le lit et je dormis comme un bébé.