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Moi qui n'a jamais vu une arme d'aussi près et bien je suis servis.

Lionel : On va aller en douceur, prend ça.

Il me tend une petite arme. Certes elle est minuscule comparé aux autres, mais c'est comme même une arme. Je n'en avais jamais touché auparavant.

Je suis persuadé que j'allais commettre une erreur avec cette arme et je ne veut pas la toucher, mais voyant le regard insistant de Lionel, je la prend en main. Lionel me dit ensuite :

Lionel : Détend toi Wsh c'est qu'une arme

Moi : C'est qu'une arme? Eh bien c'est déjà beaucoup pour moi!

Je me suis retourné en sa direction en parlant et j'ai pointé l'arme en sa direction sans m'en être rendue compte.

Cette séance n'a pas débuté, mais je sais dès maintenant qu'elle va être très longue et éprouvante pour moi.

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Cela fait dix minutes que nous avons commencé la séance de tir et dix minutes que je rend Lionel fou.

Il a juste envie de mourir. Je suis en face d'une cible et je dois viser son centre.

Je suis en face d'elle, ne savant pas quoi faire. Lionel, quant à lui, meurt d'impatience, il attend que je tir mais je ne suis pas prête. Comprenez moi, je n'ai jamais touché à une arme.

Il m'a passé cette arme sans indications. Il ne 'a dit ni comment je dois la tenir, ni comment on fait pour tirer.

Je n'ai jamais touché à une arme et aujourd'hui je dois m'en servir sans aucunes indications. Hier, je disais que jamais je ne toucherai à une arme, mais voilà qu'aujourd'hui je me retrouve avec une arme à la main ne savant pas m'en servir.

j'ai peur de faire une connerie avec cette arme. Ce n'est pas un jouet et je peut blesser, voir tuer une personne avec elle.

Je tient l'arme avec mes deux mains et ferme les yeux. J'ai fermé les yeux car je ne veut pas voir ce qui va ce passer.

Je m'apprêtais a tirer, mais les cris de Lionel m'interompent.

Lionel : OUVRE TES YEUX PUTAIN! COMMENT TU VEUT ATTEINDRE TA CIBLE SI TU FERME LES YEUX ?

Il est vraiment énervé. Il doit vraiment en avoir marre de moi. En même temps, je suis resté devant la cible pendant plus de dix minutes, à la regarder comme une idiote.

Moi : Tu n'a pas besoin de mettre dans un tel état. En plus je ne sais pas me servir d'une arme et tu le sait très bien. Tu pourrai au moin me dire comment je doit m'y prendre.

Lionel : Fait toi juste confiance, détend toi et tir. Je veu juste voir comment tu t'y prend après j'te montre comment on fait.

Moi : Oui mais tu voit dans les film, quand une personne apprend à utiliser une arme et à tirer sur une cible? Eh bah elle porte un casque et des lunettes pour sa sécurité. Où sont-ils?

Lionel : On n'est pas dans un film. Bref jai pas que ça a faire moi donc tir.

Plus froid que lui tu meurt.

J'inspire un bon coup puis me remet face à la cible.

Je prend l'arme dans mes deux mains et les tend face à la cible. Je pannique car je ne veut pas faire une bêtise.

Tout mes membres tremblent et mes mains sont moites.

Après une longue esitation, j'appuie enfin sur la détente de l'arme.

Je m'attendais à entendre un enorme bruit et a voir un trou sur la cible, comme on peut le voir à la télévison, mais au lieu de cela, rien, nada, nothing.

Lorsque j'ai tirer, une minuscule boule orange est sortit de l'arme et n'ai même pas atterri sur la cible qui est à environ 6 mètres de moi.

C'est une blague? Ce n'est pas une vrai arme ça! Je ne m'en suis jamais servi auparavant, mais je sais que celle que je tient dans les mains n'en est pas une vrai. C'est sans doute un pistolet à bille.

Je me tourne en direction de Lionel et l'interroge du regard.

Moi : Euh tu m'explique?

Lionel : Quoi?

Moi : Ça, *en lui montrant larme*, c'est tout sauf une véritable arme.

Lionel : Ta cru que j'allais te passer une vrai arme alors que t'en a jamais touché? Je tien à ma vie moi.

Il m'a dit cela comme ci c'était une evidence.

Moi : Tu aurait au moin pu me dire qu'il ne s'agissait pas d'une véritable arme, j'aurais moins paniqué.

Lionel : Mon but c'était dvoir comment t'allais t'en servir, si je t'avais dit que c'était un jouet t'aurais pas fait attention.

Moi : D'accord, mais à quoi, apprendre à utiliser une arme me servirait ?

Lionel : Règle sa avek Krims. Il m'a dit de t'apprendre à viser c'est tout.

Hier, quand il parlait avec moi, il était plus aimable et moins froid. Je l'apprécie bien et je ne comprend pas ce subit changement de comportement.

Lionel : Bref maintenant jvai te montrer comment on fait.

Il saisit une arme sur le mur, semblable à celle que j'ai, mais la sienne est une vrai arme.

Il me dit c'est un pistolet semi-automatique. Il m'explique ensuite comment on se sert de cette arme.

Pendant toute son explication, je l'ai écouté très attentivement. J'ai analysé ses moindres faits et gestes afin de pouvoir les reproduire à l'identique.

Il a tiré six fois et a atteint sa cible six fois. Il a été tres précis.

Il me tend ensuite le pistolet et je prend. J'ai encore plus peur que tout à l'heure car je sais que ce pistolet est réel.

Je me place ensuite en face d'une autre cible. Je me positionnencomme l'a fait Lionel. Mais, mes jambes tremblent et je n'arrive pas à rester droite.

Lionel : Pourquoi tu flippe? Ta juste à tirer sur la cible c'est pas comme ci c'est une vrai personne.

Il a rasion, je n'ai pas à avoir peur. C'est seulement une cible et non un être vivant. Je ne vais blesser personne.

Enfait, c'est le fait de savoir que j'ai une arme entre les mains, qui me rend nerveuse. Il faut juste que je me concentre et que je vise la cible.

Je me remet en position et tire sur la cible après avoir fermer les yeux.

Lionel : Refait le avek les yeux ouvert.

J'ouvre les yeux et vois que je n'ai pas atteint ma cible. Je recommence cette fois ci les yeux ouvert.

J'ai tirer sur plusieurs cibles avec différentes armes pendant une bonne heure. La précision et moi ne sommes pas amis. J'ai rate toute mes cibles, mais je m'ameliore à chaques tirs.

Je ne suis pas très à l'aise avec une arme a la main, mais avec le temps je prendrais l'habitude.

Pendant que je tirais, Krims est venu et avait jetter un petit coup d'oeil a ma maîtrise. Sa présence m'a déstabilisé car il ne faisait que de me regarder et je n'aime pas être le centre d'attention.

[...]

Après cette séance de tir, Lionel m'enmene dans la salle de sport.

Pendant plus de deux heures, j'ai souffert. Il m'a fait faire des exercices de musculation.

Selon lui, il faut que je me sculpte le corps pour pouvoir être efficace lors des missions. De un, je n'ai pas envie de me sculpter le corps car je me trouve très bien comme je suis. Et de deux, je n'ai en aucun cas envie de faire leur mission. On m'oblige à intégrer un gang et maintenant j'apprend que je dois faire des missions. Lol!

Nous avons fini mon entraînement dans les alentours de 12 heures. Il m'a dit que chaque matin, il m'entraînerait à la même heure qu'aujourd'hui. Soit de 9h30 a 12h30.

Nous quittons ensuite le sous sol. Au salon, se trouve plusieurs hommes dont Issa et Medhi.

Je sais qu'Issa et Medhi vivent ici, mais les autres hommes je ne les ai jamais vu. Ils sont s'en doutes les hommes de Krims. Je lance un timide salam puis part en vitesse dans ma chambre afin de ne pas trop attirer leur attention.

J'avais pu entendre des hommes me "complimenter" sur mon physique. Ils me répugne.

Arrivé dans ma chambre, je ferme la porte à clef, puis je part prendre une douche.

Je m'habille ensuite et enfille mon masque, mes lentilles et ma perruque.

J'en ai déjà marre de devoir me cacher à travers ces artifices, mais je dois m'y faire. Je ne sais pas combien de temps je dois rester ici et je devrais m'adapter.

Blacky est venu m'apporter à manger. C'était des frittes et un steak. Je n'avais pas très faim. Elle m'a limite forcé à manger car elle voulait que je prenne des forces.

Je sais que je pouvais lui faire confiance. C'est une personne certes très mystérieuse sur sa vie privée, mais très gentil et honnête. Du moin d'après ce que j'ai pu voir depuis mon arrivé d'hier.

Nous avons parlé un peu puis elle m'a laissé̀. Je ne lui ai pas posé de question sur sa vie privée car je savais qu'elle n'allais rien me dévoiler maintenant. Il faut que je gagne sa confiance. De plus j'ai vraiment envie d'apprendre à la connaître et de savoir des tas de choses sur elle. Derrière son masque doit ce cacher une très bonne personne.

[...]

Quinze heures sonne et je me fait extrêmement chier.

Je suis assise sur le fauteil à regarder le sol. Des larmes inondent mon visage lorsque je pensenà mes parents. J'ai peur de ne plus pouvoir les voir.

Je suis condamné à rester ici pour je ne sais combien de temps. Je veut quitter cette immense villa et rejoindre mes parents.

Il faut que je m'enfuie de cette villa. Je ne sais pas comment je vais m'y prendre, mais il est hors de question que je reste ici.

A suivre...

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Salam, j'ai l'impression que la chronique part un peu en couilles donc je vais essayer de me rattraper dans les prochaines suites.

Suite bientôt, un peu de patience
#Pricess_of_afriica 💚💛❤