– Quand elle fut sur le toit c'est sans surprise qu'elle –

Quand elle fut sur le toit c'est sans surprise qu'elle trouva Audrey qui l'attendais de pied ferme.

- Tu arrive avec du retard, j'ai crus que tu avais fuie.
- Non j'ai juste trouvé une parade pour te rejoindre au plus vite. Mais je vais pas pouvoir rester trop longtemps.
- Pourquoi donc ?
- Je suis censé être aux toilettes donc je dois me spider. Tu m'as fais venir ici pour me dire quoi ?
petit silence
- A-alice ...
- Tu as perdu ton assurance d'hier ?
- C'est pas facile à dire !!
- Pardon, je te laisse finir.
- Merci ... Alice est ce que tu ... accepterais de sorti-

La porte donnant accès au toit s'ouvra de manière violente et inattendus, avec Laëtitia dans l'encadrement de celle-ci.

- Alice qu'est ce que tu fabrique ici ? Je te croyais aux toilettes mais non tu es avec Audrey ! Tu as une bonne excuse j'espère ...
- Laëti ... elle voulait me dire quelque chose.
- Ça peut tenir la route, mais est-ce que cette "chose" est plus importante que la réunion ?
- Pour Audrey oui, pour moi je ne sais pas ...
- Mais alors je vais me faire un plaisir d'écouter ce qu'a à dire Audrey de si "important".
- Ça se fait pas ce que tu fais  Laëti !
- Parce que tu crois que ça se fait de quitter la réunion en me sortant un prétexte bidon pour aller écouter une demande que tu allais une fois de plus refuser ?
- Qui t'as dis que j'allais refuser ?
- Qu- ... elle manque de s'étrangler en entendant cela.
Alice regarda de nouveau Audrey
- Vas y Audrey, fini ta phrase s'il te plaît.
- D'accord ... Alice est-ce que tu veux sortir avec moi ? elle détourna le visage qui étais rouge
- Je ne peux pas encore répondre à tes sentiments, mais je te promet d'y répondre au plus vite.

Audrey ne disait rien, sa gorge était nouée par les larmes qu'elle retenait.
Elle affichait juste un sourire mais les larmes roulèrent sur ses joues de leurs plein grès.
Alice fit un pas vers Audrey, mais celle-ci s'enfuit en courant et en pleurs.

- Alice ce que tu viens de faire et encore plus cruel que de la rejeter !
- Mais ... j'ai besoin de faire le point, je veux être sûr de mes sentiments envers elle ...
- Tu aurais mieux fais de lui dire ceci à la place !

Sur ces mots la vice-présidente partie en trombe dans le bâtiment à la recherche de Audrey, même si elle ne la porte pas dans son cœur la voir dans cette état la rend un peu triste.
Pour trouver Audrey la chose fut plutôt simple, on entendait des reniflements et des gémissements de tristesses sous un escalier

- Audrey ... c'est Laëtitia.
- T-tu me veux quoi ?
- C'est par rapport à ce que t'as répondus Alice, elle c'est mal exprimée.
- Pourquoi tu viens m'en parler à sa place ? Elle ose pas venir d'elle même ?
- Non c'est juste que j'ai dis ce que je pensais et du coup elle doit ce battre avec elle même la connaissant, ça risque de prendre un peu de temps
- Du coup elle voulait dire quoi à la place ? parce que je présume qu'elle te l'a dis à toi
- Elle voul-
- JE VOULAIS FAIRE LE POINT SUR MES SENTIMENTS ENVERS TOI !
- A-Alice ?!
- Présidente !?
- Audrey ... excuse moi de m'être mal exprimée ! j'ai fais le point sur les sentiments et tout le bazar qui a dans ma tête
- Et ?
- J'accepte de sortir avec toi !

Audrey se remit à pleurer de plus belle et c'était jeter au cou d'Alice, qui lui vola un bisous en mode ninja.
Quand à Laëtitia, elle rentra chez elle les laissant seules.

Alice appela ses parents pour leurs dire qu'elle restait dormir chez une amie.
Sur le trajet les filles se tinrent la main, et dans l'ascenseur Alice pris les devant en plaquant Audrey contre le miroir du fond et l'embrassa. Quand la porte s'ouvrit il y avais un gosse de 10 ans environs qui les regardées de manière choqué.
Audrey réagit en stoppant leur baiser et entraîna Alice qui avait bugée en voyant le gamin.
Arrivées dans l'appartement les filles éclatèrent de rire.

- Je cuisine pour me faire pardonnée !
- Il t'en faudra plus pour te faire pardonnée ...
- Idiote, tu arrête avec tes idées perverse >.<
- ouais ouais ...

Alice prépara donc le repas avec Audrey qui la dévorait du regard. Le reste de la soirée se passa entre elles devant un film qui fut bien vite oublié car elles s'endormirent sur le canapé dans les bras l'une de l'autre.

/ Et voilà la fin de mon histoire je tiens à remercier Tachebleu  qui m'as encouragé à écrire.
Ce chapitre est long mais si je coupé j'aurais pas pu en faire deux /