Chapitre 1: Suis-je maudite?
La lumière du soleil m'éblouie sans même que je n'ai eu à ouvrir les yeux.
Sous mes couvertures, les rayons de soleil me donnaient encore plus chaud.
Je dû me résoudre à ouvrir les yeux. La lumière me brûla la rétine et mes paupières se refermerent de leur propre chef.
Je me levais lassement, m'étant enfin habituée à la luminosité du jour.
Je titubais un petit peu et réussissais à tenir debout, suite à quelques secondes.
Je pris tout mon temps, passant par la salle de bain pour me brosser les cheveux.
Je comptais sortir de ma chambre, mais, je vis l'état de ma robe de chambre et je partis donc prendre une tenue pour me vêtir plus correctement.
Je mis un simple short assez court mais cachant mes fesses, contrairement à toutes ces horribles personnes qui les montraient ouvertement.
J'accompagnais mon short d'un tee-shirt au manche mi-longue, n'étant pas chaud.
Je sortis donc de ma chambre, les volets encore fermés, laissant entrer une partie de la lumière.
Quelle ne fus pas ma surprise lorsque je découvris un couloir entièrement plongée dans le noir.
Je fis un pas hors de mon antre et cherchais l'interrupteur, tatonnant sur les murs.
Je ne voyais quasiment rien.
Au bout d'un certain temps, mes yeux s'habituèrent, de nouveau, au noir.
Je réussit à distinguer les formes des meubles éparpillés dans ce couloir sinueux, profitant aussi de ma connaissance du lieu.
Je finis par trouver l'interrupteur tant recherché et je pressais dessus.
Rien ne se produit.
Je tentais ma chance encore un bon nombre de fois mais rien n'y fit.
Je grognais dans le noir, espérant ne pas réveiller ma famille.
Je rebroussais chemin et me dirigeais vers ma chambre en quête d'une bougie pouvant m'éclairer.
Il était clair que la malchance me poursuivait depuis la veille.
Entre cet anniversaire gâché, qui en y repensant me faisait sourire, et le fait de me lever alors que la lumière était inexistante, j'étais gâtée.
Une fois de nouveau dans ma chambre, mes yeux durent s' habituer, une fois de plus, à la lumière du jour, cette fois-ci.
Je profitais de cet instant pour ouvrir mes volets.
Dire que dans cet horrible couloir, il n'y avait aucune fenêtre, et pourtant, la place ne manquait pas.
La lumière innonda ma chambre et je pus facilement trouver ma chandelle.
Je sortis une allumette de l'un de mes tiroirs et allumais ma bougie.
Je resortis donc de ma chambre, accompagnée de mon éclairage maison.
La lumière m'entourait en un petit rond lugubre, me faisant frissonner.
Je priais pour ne pas croiser un voleur ou un inconnu.
Je continuais ma marche lente jusqu'au rez-de-chaussée.
Là-bas j'entrepris une recherche de mes parents et de mon petit frère.
La chambre de mes parents étant séparée d'un étage de la mienne ou celle de mon frère, je cherchais au bas.
La lumière ne fonctionnait, apparemment, ni à l'étage, ni au rez-de-chaussée.
Je maudissais le mauvais éclairage de ma demeure et le manque de fenêtre apparant.
Je marchais cinq bonne minutes dans l'étage cherchant à me repéré.
Comment faisais-je pour perdre mon bon sens de l'orientation, une fois dans le noir?
L'atmosphère était tout simplement mal saine et glauque.
Ne pouvions-nous pas vivre dans une maison comme de simple bourgeois?
Je me mis à tout maudir, la colère dirigeant mes choix et mes actes.
Lorsque je réussit à trouver la chambre de mes parents, je chuchotais un "Yata!" de joie, ma marque de fabrique.
Je toquais à la porte.
Attendant environ une minutes une réponse, je commençait à m'impatienter, prenant peur.
Je tapais du pied, attendant, chantonnant un petit air musical, comptant, regardant les gouttes de cires tomber, je ne pouvais plus attendre.
Je poussais la porte, prête à voir tout et n'importe quoi, m' attendant au pire, sauf ce que je vis.
Rien.
Personne.
La chambre était vide.
Je la fouillais de fond en comble, prise d'une peur indescriptible.
Il était impossible que mes parents soient partis sans me laisser ne serait ce qu'un mot.
Je cherchais dans tout les recoins, même dans un trou dans le mur, de la taille d'une main.
Rien ni personne.
J'halletais, paniquant de plus en plus.
Prête à crier, je mis ma main sur ma bouche, retenant un horrible cri.
Et si quelqu'un avait pénétré dans notre demeure?
Je partis, à nouveaux, à la recherche de mes parents, dans tout le bas étage.
Durant quinze bonnes minutes, je cherchais.
Au bout d'une demi-heure de recherche vaine, je m'arretais, la faim grondent en moi.
Je me dirigeais vers la cuisine et prit mon déjeuner.
Je ne pris pas la peine de réfléchir au fait que je mangeais alors que mes parents avaient, en apparence, déserté la maison.
Lorsque j'eu finit, je rangeais tout.
Je remontais les marches me menant à l'étage, quatre à quatre, et atteignais le long couloir.
Je recherchais dans la salle de bain, prête à trouvé une horrible scène s'il le fallait, mais rien.
Je continuais mes recherches dans les toilettes, la salle de jeu, mais rien.
Je montais même au grenier, ne trouvant rien.
Rien à part une peur bleu lorsque je vis mon chat sortir de derrière un vieux tableau.
J'accourus d'ailleurs vers lui, heureuse de voir une "personne" que je connaissais.
Pendant cinq bonne minutes je le chouchoutais, en pleine extase.
Au bout d'un certain temps, je me remis de ma transe et je descendis de ce lugubre endroit.
Mon chat resta pour dormir.
Une fois en bas de l'échelle, la peur me reprit.
Je cherchais dans toutes le pièces mais rien.
Toutes les pièces sauf une...
Assise dans ma chambre, l'illumination me vint...
Et si ils étaient dehors!
Je me jetais, quasi littéralement, à la fenêtre mais ne les vit pas.
J'étais persuadée de ne pas avoir cherché dans une pièce...
La chambre de mon frère!
Pourquoi n'y avais-je pas penser plus tôt?
Je sortis vivement, pensant tôt de même à ma bougie et me postais devant la porte.
Un bruit se fit entendre.
"Mère, père, je vous en prit, soyez présent!"Pensais-je.
J'ouvrais violemment la porte et vit une petite ombre assise à terre, s' amusant avec un jouet.
Il n'y avait que mon frère, mais cela était un bon début.
"Frérot, si tu savais comme je suis soulagée de te voir, il n'y a plus personne dans...
La personne à qui je m'adressais venait de se tourner vers moi, regardant mes bras grand ouvert.
- Tu n'es pas mon frère... Soufflais-je.
Le petit me se tourna vers le mur a sa gauche et dit:
-Mère, je croyais que la maison était vide.
Une ombre sorti derrière le petit garçon, lui répondant:
-Mère n'est pas encore là... Elle est sortie...
Ceci est le premier chapitre de ma toute nouvelle histoire!
J'espère que cela vous plaira, merci à tout ceux qui ont lit ma première fiction qui vient de ce finir.
Merci aussi à ceux qui lisent ms fiction sur Fairy Tail! 111 vue en seulement deux chapitres c'est inespéré! Si vous aimez, lisez mes autres fiction!
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