Chapitre 2
-Comment?!
-Mais c'est pas toi?
-Attends, envoie moi des captures d'écran.
-Mais... ca veux dire que tu aura mon numéro... fit l'homme
-Et?
-Et... je sais pas... en fait, si je t'appelle, c'est pas pour rien.
-Tu change de sujet là non?(blanc) Ok donc tu m'appelle pour quoi au juste?
-Non non rien fait. J'ai changé d'avis.
-Quoi? Non attend! Hé! S'il te plaît !
Bip bip bip bip
Il m'avais raccroché au nez. Ni une, ni deux, j'ouvre ma page Instagram. En effet, des photos de moi des infos personnelles était révélé. Oh non non non non impossible! Je veux crever! Vite, je supprime tout! Mais qu'est-ce que c'est que ça ? Qui, quand, comment? Mes larmes recommence à couler.
10h30
Quand je suis ressorti de la cabine, j'avais les cheveux en pétard, le mascara qui avait coulé sur mes cernes énormes et noires et mes yeux étaient rouge. Avant la sonnerie de la pause, j'ai eu le temps de sortie ma brosse à cheveux, mon démaquillant de secour et ma trouse à maquillage de mon sac.
On s'est retrouver, comme à notre habitude, sur la troisième table de pique-nique en partant de la droite. Depuis le premier jour ici, on se retrouve toujours ici. Pour plusieurs raison. Par exemple, parce que c'est un coin assez éloigné de la cour, on peux donc être sur nos téléphones sans se faire réprimander par les surveillant qui ne sont pas hyper strict sur ce point (hé oui, il est interdit d'utiliser son téléphone dans l'enceinte de l'établissement sous prétexte que "certain élèves aurai pris des photos d'autres élèves en photo et les aurait publié sur les résaux sans leur autorisation"). Ensuite car il est assez loin du coin fumeurs et que cette odeur est abominable- Bonnie, persuadé du contraire depuis qu'elle s'est mis en couple avec Arthur, qui passe toute ses pauses dans ce coin malfamé-. Ah oui, aussi parce que c'est la seule table de pique-nique qui n'est jamais occupé car elle est la plus ancienne et abîmée de toutes celles du lycée.
-Ah bah t'es la, on t'a cherché partout, à fait Caro.
-Oui, oui désolé. Je... j'étais aux toilettes, je... j'avais mal au ventre.
-Ca va mieux?
J'ai hoché la tête d'un air approbateur.
Je ne peux pas leur dire!
-Ranger vos tel, vl'à Jaèinne! a fait Thomas.
Janne est une surveillante hyper sympa mais comme elle a un petit accent anglais, on aime bien s'amuser à l'appeler avec ce même ton. Ça la fait rire habituellement, mais la comme ces mots ne lui était pas destiné et que de toute façon elle était trop loin pour entendre, elle cria:
-Alow, maï qui voilà ? Maï peutit tchéwi!
-Coucou Janne! Alors, ça va?
- Wi ça vaw maiw aller ouite vous ranger, ça à sowné !
-Déjà ?! Vite, il faut qu'on y aille, à plus! a répondu Caro.
On a tous attraper nos sacs et on est parti en courant de peur de se faire gronder par madame Roseau.
Madame Roseau est sûrement la pire, la plus sadique des profs. Le genre qui te donne un contrôle du jour au lendemain, si toute fois elle prévient. Le genre qui te mets deux heure de colle si tu discute. Le genre qui refuse catégoriquement que ses élèves d'utiliser le correcteur sous prétexte que "il faut apprendre de ses erreur et que si on les cache, alors c'est inutile". Le genre ou même une mouche n'oserai pas volé. Le genre de madame Roseau.
-Bonchour, bonchour, bonchour, fait-elle à chaque élève en entrant
-Bonjour madame !
-Bon alors aujourd'hui j'ai decider qu'on allai faire un grand ménage de printemps ! Hahahaha!
Son rire est glauque et diabolique.
-Vous vous installer comme vous voulez, fille garçon à côté.
Oh non, pas à côté d'un garçon !
Au final je me suis retrouver à côté de Yanis, le PIRE garçon possible et inimaginable ! Heureusement, Cora me soutient en étant à côté de moi mais les tables sont espacées donc bon... Vivement la fin des cours car je ne compte pas laisser ce fameux harceleur d'appel de côté.
D'ailleurs, je sens mon téléphone vibrer légèrement dans ma poche. Yes, si c'est lui, ca veux dire qu'il a changer d'avis et qu'il va me dire pourquoi il appelait tout à l'heure...
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