"A l'aide, je vous en supplie !"

Cet phrase, je la répétait sans cesse, sans m'arrêter une seul fois.

Je la disais la nuit, à ma fenêtre, espérant que mon échos parviendrait au oreilles de quelqu'un.

Mais ils n'en fut jamais le cas.

Sois on ignorait mon appel, sois l'echos n'arrivait jamais la ou je voulais...

J'avais tellement besoin... De quelqu'un...
Mais je n'avais personne. Tout ceux que je croyais etres mes amis, ils ne m'ont enfaîte jamais considéré ainsi ...

Tandis que les personnes que je côtoyait un peu près tout les jours, eux, avait juste besoin de mon aide.

Moi, je les aidai. Je voulais continuer à montrer ma bonne âme.
Mais à l'intérieur, je souffrais, je tombais.

A l'extérieur, les gens pensaient que jetait heureux, un vrai ange.

Moi, je me considère plus comme un ange déchu...

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Cet nuit encore, j'ai appeler à l'aide. Mais toujours aucun appel.

Ma détresse ne semblait intéressée personne...
Encore...

Mon regard se baissa, je referma la fenêtre et m'allongea dans mon lit.
Seul, toujours seul...

Mes doigts tapotant la surface en bois de mon lit, rendu sombre à cause du noir de la nuit.

Mes yeux étaient vide, vide de sentiments.
A l'intérieur de moi, mon cœur, lui, emmenait une émotion.

La peur, la tristesse...

L'appel à l'aide.

Mais comme à chaque fois, on ignore ce message.

Toi, tu es toujours la pour aider les autres. Mais en retour, personne ne cherche à t'aider.

Car il te pense aller bien...

Mais ils n'ont jamais chercher à savoir si c'était un masque que tu portes...

Un masque pour cacher ta douleur, cacher tes émotions les plus profondes.

Pourquoi faire ça ?

Pour ma part, pour n'inquieter personne...

Le jour, je suis heureux.
La nuit, je suis triste.

Ce n'est que la nuit que je dis mon message.
Car je sais que le jour, il peut être ignorer.

Ce même moment se répète depuis maintenant 3 ans...
3 ans à tenir dans ce monde, dans ce monde où en vrai, je suis seul...

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Comme chaque matin, quand les premiers rayons de Soleil traversait ma fenêtre, faisant doucement allumer la pièce, je me réveilla.
Toujours seul, dans mon lit.

Même le chant des oiseaux ne venait pas m'aider à me réveiller, il préférai allez saluer les habitants du villages, près de chez moi.

Je descendis les marches d'un pas lourd, comme si mes pieds voulait simplement se figer, rester planter, encore fatiguer.

A la cuisine, je me fis un œuf.
Habituellement, les œufs montrait un visage souriant pour le matin.

Mais pour moi, comme de par hasard, c'était un visage triste, avec les mots écrit en gros; "A L'AIDE".

Un soupire s'échappa de ma bouche, je mangea l'œuf en entier, seul dans ma cuisine dans un silence pesant.

Autrefois, je m'étais imaginer le matin rempli de joie, de bonne humeur, de rire.
Mais dans la vérité, c'était le silence, le vide, la tristesse qui régnait.

Mon petit déjeuner terminer, je me leva de nouveau pour me diriger vers ma chambre, préparant mes affaires puis m'habilla.

Comme chaque matin, j'allais au marcher du village. Je devais me faire présentable pour garder ma bonne image, remettre donc mon masque.

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La routine du matin étant finis, J'étais désormais dehors, dans mon jardin plutôt joyeux, rempli de fleur qui formait un arc-en-ciel.
Quelques faux oiseaux placer en hauteur pour faire joli... etc.

Mais tout cela, ce n'était qu'une illusion.
Les fleurs étaient fanés, les faux oiseaux étaient déchiqueter. Le ciel était sombre, comme s'il allait pleuvoir.

Ma maison, mon jardin, tout était comme moi.
De l'extérieur, ils sont lumière.
De l'intérieur, ils sont ténébres.

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Marchant le long du chemin qui menait au village, je me perdis dans mes pensées, ne sifflotent aucune chanson comme certains pourrait le faire.

Ma route était tour aussi silencieuse que mon chez moi.
Mais quand je croisais des gens, je mettait mon masque, montrant un sourir au passant en les saluant.

Certains me répondait "bonjour", en retour.
Certains m'ignorait.

Mais il m'était également arriver que certains me bouscule "sans faire exprès", pour rigoler.

Cet fois-ci, je ne croisais personne.
C'était un soulagement, pour moi.
Mais aussi un vide...

Au fond, ça me faisais comme même plaisir de croiser des personnes, surtout si elles sont sympathique.

Finalement, quand j'arrive au village, contre toute attente, des pompiers me barrerent le passage.
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Le village était en feu...

Plusieurs personne avait été évacuer, mais certains était encore prisonnier des flammes.
Au loin, je pouvais entendre leur cri à sen déchirer les oreilles tellement c'était horrible.

Je fixais le village incendier, le regarde cette fois ci vide, comme si j'étais dans mon lit.

Le village que j'avais appris à connaître, le village que j'avais appris à apprécier, le village où je venais chaque matin, le village où, même si personne n'entendais mes appels à l'aide, m'avait offert quelques bonnes relations avec certains habitants.

Mais la, tout partait en fumer.

Juste, non ! Non, non, non, non !
Cela ne peut pas arriver !

Des larmes jaillir des mes yeux, cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas couler.

Je pleura tout en regardant le village finir en tas de cendre, quelques morceaux qui s'échappe avec la fumée...

Soudainement, par je ne sais quel force, je courru dans le village, personne n'ayant réussi à m'arrêter.

Ce village était précieux pour moi.

Je resta un temps autour des flammes, j'allais m'apprêter à enfin le quitter, après avoir retrouver mes esprits.

Mais un cercle de feu m'empêchait de m'enfuir.

Les flammes m'avaient prise au piège.

Je leva les yeux, voyant une poutre enflammer prête à me tomber dessus.

Dans un dernière espoir, je cria;

"A L'AIDE !!!"

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Puis le noir...

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"Bien le bonjour.

Hum, je sais que l'on ne se connaît pas mais....

J'ai une mauvaise nouvelle à t'annoncer.
Tu te souviens de cet personne qui avait l'habitude de toujours aider au village.

Hé bien...

Elle est décédée ...
Elle a courru vers les flammes qui avait raser le village.

Personne n'a pu tenter de l'en empêcher.

On espérais qu'elle en sortirait mais...
Le feu du diable la emprisonner.

Je me souviens encore de son appel à l'aide, avant que nous ne la perdions.

Mais personne n'est venue à son secoure...

But nodoby Came...

Aujourd'hui, sur sa tombe, aucun nom n'est graver.
De plus, beaucoup on finit par l'oublier.

Alors s'il te plaît, tant que j'arrive encore à avoir des souvenirs d'elle et à t'en parler, souviens-toi, ne l'oubli pas.

Ne l'abandonne pas comme tant on fait.
Dans sa vie, elle n'a jamais reçu d'aide.

On ne peut pas l'aider à revivre mais...
On peut toujours encore l'aider dans sa mort.

L'aider en ne l'oubliant pas...

Souviens-toi, garde la en mémoire...

Souviens-toi de...
Moi...

Signée; Ton ami"

Fin.
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Voilà .v."

Dite moi s'il y a des choses mal faite, ou à récrire.

(Désoler aussi si certaine chose peuvent être confusante-)