03
Luke ouvrait sa porte d'entrée. Directement, il prenait place sur son canapé, s'affalant dedans. Si sa mère aurait été présente, elle lui aurait d'avoir un peu plus de tenue, et qu'un canapé est fait pour s'asseoir et non s'affaler dedans comme un cachalot. Elle le lui avait souvent dit. Luke n'était pas non plus un garçon facile, de plus, elle était seule pour l'élever. Luke n'avait jamais connut son père. Il c'était fait une raison. Il ne reverra jamais son père, s'il l'avait déjà vu une fois dans sa vie. Il se le répétait chaque jour. Sa mère vivait dans la souffrance d'élever un enfant seule, qui n'était pas si facile à éduquer, et en plus avoir l'absence d'un mari qui avait toujours été exemplaire. Luke souffrait lui aussi de l'absence de son père. Il avait déclaré lors de son adolescence sa douleur, par une crise, en enchaînant les gaffes et les heures de colles, les devoirs non fait et les cris avec sa maman.
Luke écoutait toujours sa musique. Il ne l'avait pas lâché. Il se demandait pourquoi il avait eu l'idée de cette chanson. Il était peut-être homosexuel, ou hétéro ou même bisexuel, à l'instant il ne savait pas vraiment. Il savait néanmoins qu'il aimait les femmes. Mais les hommes ? Il n'en avait aucune idée. Il était lucide, indécis, perdu. Il ne savait plus vraiment, ce qui valait le mieux dans sa vie. Il réfléchissait peut-être trop. Il pensait peut-être trop.
Il aurait dû être comme cela à l'école. Réfléchir. Ce verbe n'avait jamais fait partit de son vocabulaire lors de sa crise d'adolescence. Il partageait le même avis qu'Ashton, lorsqu'il était plus jeune. Les parents, sont chiants, mais malgré tout, on les aime comme même. Un père absent. Une mère trop sévère et trop protectrice. Des amis qui savaient le faire sourire. La mort. Luke avait connu pas mal de choses dans sa vie. « Ce que la vie a donnée, elle le reprendra. Toujours. » C'était ce que venait dans la tête de Luke.
Il savait être poétique, lorsqu'il le voulait. Luke bénissait en partie de ne pas connaître son père, parce qu'il ne sait pas qui il est, alors il aurait pu très bien être pire que sa mère. Luke tenait beaucoup de choses de son paternel, mais seule sa génitrice le savait. Elle connaissait bien, le monsieur qu'avait été le père de Luke. Un bel homme merveilleux à première vu. Il avait mal tourné. Luke n'avait jamais entendu parler de son père, parce que sa mère ne voulait pas parlée de lui. Il était en prison. Il est condamné à perpétuité. Luke n'en savait rien. Il n'en saura jamais plus, que rien du tout, pour son père.
Luke avait perdu son père. Pour finir, au fil des années, il a cru qu'il était mort. Sa mère avait juste honte de l'homme avec qui elle c'était mariée. Luke fermait les yeux. Il essayait d'imaginer les traits qu'avait son père. Il imaginait, quelqu'un avec les mêmes traits que lui. Lui en plus vieux. C'était dur pour lui de s'imaginer plus vieux. Il se voyait mal plus âgé. Il avait aussi une mauvaise idée de lui-même. Si son père était comme lui, il plaignait son père, et il se plaignait lui-même. Luke se relevait. Il rouvrait les yeux. Même si il vit dans ce petit appartement depuis des années, il connaissait l'endroit par cœur. C'était comme même mieux de marcher avec les yeux ouverts, plutôt que les yeux fermés.
Son sens le plus développé est la vue, si il devait s'en passer, il ne sait pas vraiment s'il y arriverait. Il aurait beaucoup de mal en tout cas. Luke se dirigeait vers la cuisine. Il se versait un verre de jus d'orange. Il n'aimait pas la pulpe. Savoir qu'il y a des petits filaments dans son verre, il n'aimait pas. Luke regardait l'heure. Il allait devoir bientôt faire à manger. Il n'avait presque plus de temps pour lui, plus de temps pour penser aux autres, plus de temps pour aller voir ses amis, plus de temps pour penser qui pourrait être son père, plus de temps pour s'évader, plus de temps pour chanté une petite chanson. Luke ignorait bien ce qu'on disait sur lui. Il n'était plus sur la couverture des magasines, c'est tout ce qui comptait pour lui. Il avait une soirée pour faire à manger, se préparer et trouver l'endroit où est cette boîte de nuit.
De plus, il paraît qu'il y a de la bonne musique qui passe, et des jolies filles qui se déhanchent très bien. Luke soupirait. Les filles. Il n'avait pas eu de relation amoureuse depuis longtemps. Depuis, avant même que sa carrière ne se finisse, il était déjà célibataire. Luke Hemmings, célibataire depuis des années. Il n'avait pas remarqué le temps qui était passé depuis qu'il était entré dans le noir. On ne le regardait plus de la même manière dans les rues. On ne faisait plus aussi attention à lui. Il ne se faisait plus coursé par des fans excentriques. Il ne devait plus signer et faire des autographes à la chaîne à chaque fois qu'il sortait. Il n'avait presque plus rien à faire dans la rue, juste marché. Il pouvait être libre de ses mouvements.
Même plus besoin d'un garde du corps. La peur qu'un paparazzi le suive était partie. Luke était tombé dans l'anonymat. Cela le dérangeait un peu, mais cela l'arrangeait bien mieux. Luke regardait dans ses placards, ce qu'il pouvait bien cuisiné. Rien ne lui faisait envie ce soir. Il ne voulait rien. Il n'avait besoin de rien, ou peut-être d'une simple compagnie féminine. Luke mit la radio. Il écoutait les informations. On parlait de son ancien groupe. Il n'en revenait vraiment pas. Ce que l'homme de la radio disait, le rendait vraiment triste. On parlait de Michael, qui se trouvait peut-être à l'hôpital. Malgré qu'ils ne dévalent plus les tapis rouges, ils restent comme mêmes sous les projecteurs des médias.
Si un des membres va à l'hôpital ou se trouve à l'hôpital, on en parle partout, mais si un des membres invite une demoiselle chez lui, personne ne le saura jamais. Tout le monde s'en fout un peu du destin des membres. Les fans sont juste encore nostalgique, elles continuent toujours d'écrire des histoires aussi loufoques et improbables les unes que les autres. Elles rêvent toujours de rencontrés leur idoles, leurs anciens idoles. Luke se sent coupable, de les avoir lâchement laissé tomber, au lieu de persisté. Mais le groupe était finit, il avait marqué leur temps, et maintenant, il faisait partit du passé. Le groupe n'avait plus aucune chance de réussir encore.
Ils étaient fichus, ni plus ni moins. Chacun doit vivre sa vie maintenant. Niant ou non les ragots et rumeurs qui peuvent encore tournés autour d'eux. Luke voyait encore Michael et Ashton. La malchance était tombée sur Calum, un malheureux accident de voiture, qui lui coûta la vie. Luke avait faim. Il culpabilisait sur le tragique destin de Calum. Il croyait que c'était de sa faute, alors que c'était loin de l'être. Ce n'était pas lui, l'alcoolique qui conduisait l'autre voiture. Ce n'était pas lui, et ce ne sera jamais lui. Il n'était pas un quarantenaire alcoolique qui venait de recevoir la lettre de demande de divorce signé par sa femme, et qui en plus, pour violence conjugale, avait demandé une distance de sécurité qui ne devait pas franchir, sous peine de prison.
Luke avait de la peine pour ce monsieur, mais cela ne lui avait pas donné une raison pour emporter la vie de son ami. Il en voulait à ce monsieur. Il ne voulait pas que son ami meurt, mais cela à renforcer les liens qui unissaient Ashton, Luke et Michael. Les quatre membres c'étaient perdus de vus, mais la mort d'un, à réunit les autres. C'est dommage qu'il ait fallut cela pour qu'ils se revoient. C'est triste. La mort est irréversible. Luke ne trouvait rien pour manger. Il partit alors dans son salon, en même qu'il prit la télécommande pour allumer sa télévision écran plat, il prit le téléphone fixe. Luke commandait une pizza. Il n'avait rien de mieux à faire. Luke prenait une simple Margarita. Il n'avait pas envie de cherché plus loin.
C'était la seule dont il connaissait le nom en plus. Luke tombait sur un documentaire. Il n'aimait pas les documentaires, mais cela parlait de coiffure. L'heure du commencement du journal avait déjà sonné, depuis plusieurs minutes. Luke changea son habitude, de toujours regardé le journal, à l'heure pile où il commençait. Luke était intéressé. Pour une fois qu'il trouvait un documentaire sur son métier. C'était rare qu'il en trouve. Luke était tellement dans le documentaire qu'il n'entendit pas la sonnette. Luke ouvrir et paya le livreur. Il n'était pas très galant. Luke ne lui en voulait pas, lui aussi, en avait peut-être marre de sa journée. Peut-être qu'il la commençait seulement mais qu'il avait passé une mauvaise journée. Luke termina toute une pizza, à lui tout seul, en un rien de temps. Il n'avait rien apprit, parce que tout ce dont parlait le documentaire, il le savait déjà.
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