Ma nouvelle fiction - La promesse (Watty 2017)
Bonjour à tous !
Eh oui, tout arrive ! Après presque un mois et demi passé sans rien publier d'autre que quelques billets dans ce rantbook et deux ou trois bricoles dans mon recueil de Chroniques motardes, j'ai le plaisir de vous annoncer qu'hier soir, c'est le mot "FIN" que j'ai inscrit sous la dernière fiction dont l'écriture m'occupait depuis quelque temps.
Le titre en est "La promesse" et voici la superbe couverture réalisée, comme très souvent, par mon amie @OrezzaDantes que je remercie ici encore une fois.
Pas mal, non ?
Bon, pas besoin d'être grand clerc pour deviner de quoi ça parle, n'est-ce pas ?
Fin des années 1950, univers carcéral ressemblant à s'y méprendre à celui d'un pays de l'autre côté de l'Atlantique avec bien sûr de charmants pensionnaires, nouveau directeur novice... Bref, drôle d'ambiance et drôle d'endroit où tout est en place pour que cela finisse bien. Happy end, comme dans toutes mes histoires (c'est bizarre, j'en vois qui rigolent).
N'allez tout de même pas vous imaginer qu'il s'agit d'un remake de "La ligne verte" de Stephen King. Nous en sommes loin. J'en serais d'ailleurs, techniquement, bien incapable : le Maître est inimitable.
Non, il s'agit d'une fiction tout droit sortie de mon esprit tordu.
Tordu et sadique aussi, car comme je pars en vacances très bientôt et que la publication à raison d'un chapitre par jour serait interrompue par mon départ, avouez que ça n'irait pas : il va donc vous falloir attendre le 2 novembre prochain.
Vous voulez un petit avant-goût peut-être ?
Pour une fois je n'ai pas écrit de résumé proprement dit car il aurait fallu dire des choses... que vous n'aviez pas à savoir. Alors, en guise de pitch, j'ai choisi un petit extrait :
« David était pâle comme un spectre.
Jusqu'à présent, même devant tous ces détenus coupables des pires méfaits, même face aux menaces de Lucas, il n'avait pas vraiment réalisé où il se trouvait.
Mais là, la vue de cette terrible chaise... Ce fut comme si on tirait soudain un rideau qui aurait caché une scène, la dévoilant brutalement à ses yeux. Une scène lugubre, macabre, effroyablement implacable.
Il comprit qu'en venant ici, il avait pénétré dans une cage, une immense cage enfermant des êtres humains et dont l'unique porte de sortie, inéluctable, était cette chaise létale... »
Si ça vous plaît, rendez-vous le 2 novembre pour le 1er chapitre :-)
PS : Bon ben ça y est, "La promesse" a gagné un Watty 2017 dans la catégorie "Maîtres conteurs" !
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