Voilà CallMeJustCoco ! J'aime pas particulièrement Mike mais bon. C'est normal si il est pas super bon. Contexte de moi.

J'ouvris la porte, angoissée. Trois paires d'yeux m'observaient. Je m'assis sur le petit tabouret, je rabattus le bout de mes manches et je positionna mes doigts comme j'avait je l'avais appris. Je commença à jouer, doucement. Les notes résonnaient dans la salle vide. La juge Hanji Zoé écrit quelque chose sur son ardoise. Le juge Erwin Smith, lui, observait mes mains bouger rapidement et avec grâce. Le juge Livaï Ackerman semblait indifférent à ma prestation, il marquait des choses de temps en temps mais son attention se portait ailleurs. J'avais chaud. C'était ma carrière de pianiste qui était en jeu. J'était seule, sans mon coach Mike Zacharias, un grand pianiste assez étrange, mais talentueux. Il était toujours là quand je me pratiquait, il m'aidait et me donnait des trucs. C'était un des seuls appuis que j'avais. C'est surement pour ça que je l'aimais tant. Il avait toujours été là pour moi. Quand mes parents sont décédés, il m'a accueillit chez lui le temps que je me trouve un travail et que je m'achète un appartement. Et c'est comme ça que j'ai découvert le piano car il en avait un. La grosse boîte à musique était poussiéreuse alors j'ai saisit le plumeau. Puis je me suis assise et j'ai joué quelques notes aléatoires. Ensuite Mike m'a dit que j'avais un don pour le piano. Par conséquent, il m'a appris le piano. Et il guidait mes mains en étant très proche de moi, j'était assez gênée. Après neuf and j'ai décidé de m'inscrire au concours de la région qui se déroulerait deux ans plus tard.

Je ne voulais pas le décevoir. Je savais que les trois juges étaient sévères et qu'ils n'aurait pas de pitié. Sur vingt candidats, seulement cinq pianistes étaient passés en demie-finale, dont moi. J'avais la passion de la musique en moi et je m'était préparée pendant deux ans à ce concours. J'avais quinze ans quand j'avais commencé le piano, maintenant je suis à ma vingt-sixième années de vie. Je continuais à jouer quand le juge Erwin parla.

-C'est bon, (P). Retourne chez toi. Nous t'enverrons un mail dans quelques jours pour te communiquer notre verdict.

-D'accord Monsieur.

Je me levas et sortit de l'immeuble, la tête basse. Je n'était surement pas prise. Je m'avança vers ma voiture quand je percuta quelqu'un. L'impact me fit perdre l'équilibre mais de puissantes mains me rattrapèrent. Je regarda l'homme que j'avais heurté.

-Mike?!

-Rien de cassé? Demanda t'il en souriant.

J'était surprise et heureuse. Normalement, je devais rentrée seule chez moi et l'appeler pour lui dire sur comment ça s'était passé. Mais il était là, avec un bouquet de rose à la main.

-Tient. Il me le tendit.

Je le pris en inspirant le bon parfum.

-Alors?

-Bah il m'ont renvoyé après quelques minutes. Donc je pense que je ne suis pas prise...

-Au moins tu t'es rendue en demie-finale, ce n'est pas rien.

-M'ouais.

Il me reconduit chez moi et les jours suivants étaient angoissants. Je n'arrivais presque pas à dormir, regardant tout le temps mes mails.
Puis après deux semaines:

Objet:Concours de piano

Mademoiselle, (N), nous vous envoyons ce mail par rapport à votre prestation de piano au concours régional de musique.

Nous sommes ravis de vous annoncer que vous êtes prise pour les finales! Voici le verdict de chaque juge.

Erwin Smith.

Très bonne prestation. Bon mouvement, gracieux et propres.
Je pense que presque 12 ans de piano ont portés fruits sur vous!

Hanji Zoé

Bon rythme, mouvement fluides et bonne maîtrise des pétales. Mais il faut travailler un peu les compositions. Vous êtes sur la bonne voie, (N)!

Livaï Ackerman

J'ai aimé. C'est très bien. Bonne chance pour la finale.

Et d'autres informations inutiles.

J'étais bouche-bée, même si l'avis du troisième juge me laissait perplexe, j'était heureuse. Je m'empressa d'appeler Mike et le jour suivant je vint chez lui pour pratiquer.

La foule m'applaudissait comme jamais. Ont sifflait et criait pour me féliciter. Je me leva de mon petit banc et salua avant de repartir en coulisse, le sourire au lèvres. Une boule de bonheur s'était formée dans ma gorge et je ne pouvais que crier pour l'extraire.

Et j'aperçus mon mentor de toujours qui me souriait avec affection.

Avec autant de courage et d'audace je m'approcha et lui fit signe de se baisser. Il obéit et je lui offrir un magnifique baiser.

Il resta un peu en retraite avant de me soulever et de tourner.

C'était magique. Je sais que les autres participants nous regardaient mais je m'en fiche.

Celui que j'aime me posa au sol et nous nous séparions en souriant...

Fiiiiniii! Oui y'a plusieurs mois de retard et alors!? XD. Bon. Bah tu me dis si t'aime. :3

Lectra, 809 mots.